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ferdinand75
551 abonnés
3 872 critiques
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2,0
Publiée le 19 mai 2020
Ce pauvre Casonava parait bien ridicule dans cette vision de Benoit Jacquot. Vincent Lindon ne joue pas juste; trop mou , taciturne et impotent . Un gros ratage .On n'y croit pas du tout. Cela se voulait probablement une démystification du mythe.Le séducteur à genoux devant une jeune péronnelle qui le mène par le bout du nez. Et en conclusion l'amour incompris. Pourtant les décors et les costumes étaient très soignés, réussis., Mais le scénario trop bancal. Dommage
Après “Les Adieux à la Reine” et “Journal d’une femme de chambre”, Benoît Jacquot revient aux films à costumes en transposant la vie et l’oeuvre de Giacomo Casanova. Cet aventurier vénitien est tour à tour violoniste, écrivain, magicien, espion, diplomate, puis bibliothécaire mais toujours l'homme qui fit de son nom un synonyme de « séducteur ». Vincent Lindon incarne cet homme à une phase de sa vie où le séducteur devient fatigué et ruiné. Stacy Martin est la Charpillon, une courtisane de dix-sept ans qui sait manipuler les hommes. Casanova en tombera amoureux au point d’oublier toutes les autres femmes et de vouloir se suicider. Cet amour manque néanmoins de psychologie puisqu’il avance dans une mise en scène molle et déprimée. Le drame ne nous envoûte pas malgré la délicatesse des personnages. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Benoît Jacquot s'est déjà montré plus habile dans le registre du film dramatique en costumes, notamment avec les Adieux à la Reine. Ici, l'on a bien du mal à accepter ce Casanova anti-séducteur dans sa démarche (un comble), qui se donne un objectif difficilement palpable et auquel le spectateur que je suis n'adhère pas, tellement la mise en scène morne et, plus encore, le jeu minimaliste des acteurs ne soulèvent pas l'enthousiasme. L'écriture du film est plutôt faible et, s'il n'y avait le soin de la reconstitution d'époque et l'illustration des mœurs de ce temps, on ne trouverait pas grand intérêt à ce Dernier Amour.
Vincent Lindon (il n'est pas le seul) n’y est pour rien dans son interprétation empesée. Il doit son travail à la vision du réalisateur. Le ton employé du film lui donne un caractère lourd et pénible. On se perd rapidement. Entendez, j’ai perdu ma concentration par tant d’artifices forcés du langage. Poussif.
Renouant une fois de plus avec ce 18ème siècle qui lui est cher, Benoît Jacquot aborde ici la figure du Casanova vieillissant. Pas celui qui tentait un dernier coup d’éclat sous les traits d’Alain Delon en 1992 mais un homme au bout du chemin, condamné à périr d’ennui dans un château tchèque, et qui ne craint plus de confesser à une jeune admiratrice ce qui fut le pivot de toute son existence : sa rencontre avec une prostituée anglaise plusieurs décennies plus tôt, la moins prestigieuse de ses conquêtes, la seule qui se refusa à lui et la première et la dernière dont il tomba éperdument amoureux. La vision du célèbre séducteur tranche ici avec ses précédentes apparitions à l’écran : loin du libertin sans scrupules qu’il était dans la version de Fellini, il est cette fois un homme éperdu qui accepte de s’abaisser dans l’espoir de conquérir, et subit les événements plus qu’il ne les suscite. Avec Vincent Lindon dans une partition qui s’accorde plutôt bien avec son jeu éteint mais un rythme un peu empesé, le film ne dégage pas vraiment la sensualité à laquelle on pouvait s’attendre : il se montre au contraire froid et cérébral, sans parvenir à s’approprier la langue et le ton du siècle des lumières aussi brillamment que le faisait, par exemple, le ‘Mademoiselle de Jonquières’ d’Emmanuel Mouret, à peu près basé sur la même idée.
Les décors sont beaux et les comédiens jouent bien. Vincent Lindon a toujours autant de charisme. Mais c'est un peu long et ça manque de rythme. Dommage.
Vraiment pas terrible à pas voir du tout j aurai jamais payer une place de cinéma pour aller voir se torchon moi qui aime les film historique et du XVIII siècle celui là j'ai pas du tout accrocher je sais pas si c'est une histoire vrai de casanova ou ci c'est une histoire qu il a écrite acteur principal Lindon est a fuir I'm aurait dû Jamais y jouer dedans à la bas j accroche pas mais là on commence mprend à peine le dialogue articule pas très mauvais film à fuir
Ce film se définit par sa platitude dans tous les domaines. Comme il faut cent caractères, on peut dire qu'il y a quand même du suspens mais avec, une fois de plus, un grand néant à la fin.
Décevant, trop de longueurs, Casanova dans le registre nostalgique bof et Vincent Lindon peu convainquant en Casanova sur le retour, empêtré dans son costume avec une perruque grotesque, voix des acteurs retravaillées sur la pellicule beaucoup trop "OFF" par rapports aux scènes, bref pas terrible Certes il y a la musique et les costumes et le décor avec quelques anachronisme d'objets de décoration mais malgré tout ce film est ennuyeux