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vidalger
Après "Hippocrate" et "Médecin de campagne", Thomas Lilti poursuit son exploration du monde médical, en nous montrant cette fois le rite de passage ardu des jeunes lycéens souvent brillants et aspirant à entreprendre des études difficiles pour accéder à un métier rêvé. Ce concours de 1ère année des études médicales génère beaucoup de vocations et peu d'élus: 350 reçus sur 2500 candidats dans la faculté parisienne qui sert de cadre à ce film. Comme d'autres filières "élitistes", telles les classes préparatoires aux grandes écoles par exemple, ce choix exige entre autres qualités, travail, sérieux et opiniâtreté. Il apparait d'évidence que ces concours sont la voie la plus démocratique pour accéder à un métier recherché : Études gratuites, concours uniquement écrit (en tout cas en médecine).
On imagine bien les efforts demandés à ces jeunes étudiants mais était-il bien nécessaire d'en faire un long métrage ? La faiblesse du scénario, la pauvreté des dialogues apportent une première réponse. Si l'on ajoute le discours gentiment hypocrite, voire sournoisement bourdieusien qui transparait dans certaines scènes où l'on voudrait opposer l'héritier "qui connait les codes" et le jeune issu de milieux populaires qui doit se débattre courageusement pour accéder aux postes que l'élite se réserverait, on conviendra que Lilti est ici plus un pamphlétaire qu'un artiste.
Et donc un film inutile et pauvrement interprété de surcroit.
On imagine bien les efforts demandés à ces jeunes étudiants mais était-il bien nécessaire d'en faire un long métrage ? La faiblesse du scénario, la pauvreté des dialogues apportent une première réponse. Si l'on ajoute le discours gentiment hypocrite, voire sournoisement bourdieusien qui transparait dans certaines scènes où l'on voudrait opposer l'héritier "qui connait les codes" et le jeune issu de milieux populaires qui doit se débattre courageusement pour accéder aux postes que l'élite se réserverait, on conviendra que Lilti est ici plus un pamphlétaire qu'un artiste.
Et donc un film inutile et pauvrement interprété de surcroit.
C'était une idée intéréssante de faire un film sur des étudians en médecine mais je m'attendais à un peut plus d'humour de punch ' les dialogues sont un peut faibles il ne se passe pas grand chose sinon la prestation des deux acteurs principaux est assez bonne.' mais je me suis un peut ennuyer à un moment mais rassurez vous je n'est pas quitter la salle je suis rester jusqu'à la fin ce film est sans doute pour un public plus intellectuel que moi ce film est assez moyens je ne le l'acheterais surement pas en DVD être aller le voir au cinéma m'a largement suffit c est un film moyen voila tout qui n'est pas nul mais qui n'est pas non plu très intèrrèsant
2 très bons acteurs, une bonne réalisation, une dimension quasi documentaire intéressante, mais un scenario qui déçoit dans sa fin par son manque de crédibilité. Dommage.
ce film fait davantage penser à un reportage documentaire sur la première année très sélective des études de médecine, qu'à un véritable scénario....certes, les deux étudiants sympathiques et au caractère si différent sont bien interprétés, certes les points durs des études de médecine sont bien illustrés : course aux meilleurs place de l'amphi, bachotage, surinvestissements personnels, salles d'examens immense, rares moments de détente, mais bon, tout cela n'est guère passionnant et même la chute est prévisible
2,5/5 Moyen. Ce film s’adresse à un certain public plus particulièrement, les autres, dont je fais partie, retrouveront des éléments vus à de nombreuses reprises et un ensemble plaisant mais vite oubliable. Moyen.
Le bachotage énorme et mécanique de ce concours est bien rendu, mais c'est tout (on imagine que les tournages ont eu lieu en conditions réelles le plus souvent). La critique sous jacente de ce bourrage de crâne qui met a mal la vie privée et la santé des étudiants est bien là. Par contre la fin, romanesque et altruiste n'est pas crédible dans cet environnement hyper compétitif.
C'est éreintant d'observer des étudiants pendant 1h30 se battre pour leur petit égo et leur réussite personnelle...A part ça on a un beau documentaire sur la première année de PACES ( je ne connaissais pas du tout le monde des études de médecine) mais trop peu d'humour ou d'humanité. C'est plutôt une restitution froide de la première année de médecine. La fin semble inconcevable
spoiler:
car Benjamin (William Lebghil) ne pouvait pas calculer combien de lauréats choisiraient pharmacie ou dentaire pour se permettre de se désister, et ainsi de mieux laisser passer son ami (Vincent Lacoste)
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Seule dans la salle...tranquille quoi alors l'histoire de 2 étudiants en 1ere année de médecine. On voit le rythme insensé que subissent ces élèves pour espérer aller en fac de médecine...je veux bien qu'il faut être excellent mais quand on voit comment cela ce passe et le manque de médecin c'est...incompréhensible.
Bref le film en lui même est pas mal, bon faut ce coltiner les passages avec les termes techniques mais cela démontre le travail de malade pour en arriver là. C'est bien joué dans l'ensemble et passage émouvant (suite a l'obtention...etc...) mais le finale mouais happy end mais tellement improbable...
NOTE: 6/10
Bref le film en lui même est pas mal, bon faut ce coltiner les passages avec les termes techniques mais cela démontre le travail de malade pour en arriver là. C'est bien joué dans l'ensemble et passage émouvant (suite a l'obtention...etc...) mais le finale mouais happy end mais tellement improbable...
NOTE: 6/10
Je voulais voir ce film pour bien me rendre compte du chemin de croix que représente la PACES mais j'en suis ressorti un peu déçu. J'ai vraiment eu l'impression que l'enchaînement des actions était trop artificiel pour dépeindre la réalité, que la vérité sur la PACES était exagérée ou atténuée et que le choix des acteurs n'était pas le bon (Lebghil et Lacoste auraient dû échanger leurs rôles). Quant à la fin, elle m'a laissé plus que...dubitatif Bref, le mélodrame a pris le pas sur la critique de l'abattoir qu'est la PACES ce qui est bien dommage.
Assez juste dans la description de la vie de carabin, mais un peu long. L'acteur des beaux gosses est bon.
Lilpi avait réussi à donner du corps à Hippocrate . Ce film ne parvient pas à décoller. Hormis l'ambiance des amphis et la férocité de la lutte pour passer en 2ème année, le récit s'eternise. La chute du film est improbable. Il aurait mieux valu faire un bon docu sur ce sujet.
Ca se laisse regarder comme un téléfilm du dimanche soir mais alors gare aux lenteurs et aux scènes répétitives qui s'accumulent sur les 3/4 du film. En tout cas, je ne sais si ça donne un bon aperçu de ce qui se passe dans les facs de médecine mais l'ambiance est sans doute largement surestimée, à tel point que quelques passages sont vraiment sans intérêt, où on a l'impression que le réalisateur était à court d'idées.
Bref, tout est axé sur les révisions : aucune love story, dialogues un peu creux, fin un peu prévisible... difficile de trouver des qualités originales à ce film.
Bref, tout est axé sur les révisions : aucune love story, dialogues un peu creux, fin un peu prévisible... difficile de trouver des qualités originales à ce film.
Sans plus quelque passages drôle mais ça manque un peu de vivant dans certains passages .. c’est dommage . Mais il retrace bien la première année d’un(e) élève en médecine
Le film est ennuyant, les seuls moments drôles sont dans la bande annonce (alors qu'il y a de quoi faire avec ce thème) et tout tourne autour du travail. Il est vrai qu'en paces on bosse beaucoup beaucoup mais dommage d'avoir tout centré sur ca et de ne pas avoir plus développé le reste, les états d'âmes, les doutes, les moments d'égarement. Pour moi le sujet est traité de manière trop superficielle.
Cependant cela reste un bel hommage aux nombreux sacrifices que les étudiants en médecine ont faits et continuent de faire.
Cependant cela reste un bel hommage aux nombreux sacrifices que les étudiants en médecine ont faits et continuent de faire.
Y a star 80 pour les nostalgiques de leur adolescnce, il y a premiere année pour les nostalgiques de leurs études, douloureuses surtout dans le film, car je rassure, ce n’est pas une forcément douleur dans la réalité.
Bon, faudrait qu’il change de sujet, parce qu’il y a de moins en moins de cinéma et de plus en plus de vis ma vie de médecin dans ses films.
J’ai de plus en plus de mal à ne pas m’y ennuyer.
Bon, faudrait qu’il change de sujet, parce qu’il y a de moins en moins de cinéma et de plus en plus de vis ma vie de médecin dans ses films.
J’ai de plus en plus de mal à ne pas m’y ennuyer.
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