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Seule dans la salle...tranquille quoi alors l'histoire de 2 étudiants en 1ere année de médecine. On voit le rythme insensé que subissent ces élèves pour espérer aller en fac de médecine...je veux bien qu'il faut être excellent mais quand on voit comment cela ce passe et le manque de médecin c'est...incompréhensible.
Bref le film en lui même est pas mal, bon faut ce coltiner les passages avec les termes techniques mais cela démontre le travail de malade pour en arriver là. C'est bien joué dans l'ensemble et passage émouvant (suite a l'obtention...etc...) mais le finale mouais happy end mais tellement improbable...
NOTE: 6/10
Bref le film en lui même est pas mal, bon faut ce coltiner les passages avec les termes techniques mais cela démontre le travail de malade pour en arriver là. C'est bien joué dans l'ensemble et passage émouvant (suite a l'obtention...etc...) mais le finale mouais happy end mais tellement improbable...
NOTE: 6/10
Vu le 22/04/2021.
J'ai vu ce film que j'avais enregistré avec mon grand fils et mon épouse et franchement, je ressors très mitigé. Perso, je n'ai fait que deux années de fac, j'ai vite compris que je n'étais pas à ma place mais je suis heureux de voir que mon ainé ne va pas aller s'enterrer dans ces filières ultra-bouchonnées mais plutôt apprendre un métier manuel qui saura lui servir au quotidien.
Rien que la première scène du film est édifiante avec des étudiants qui huent le doyen venu leur présenter le parcours (bon pas très doué le doyen qui leur sort qu'ils n'ont que 2% de réussite à moins d'avoir eu mention au bac, quand on sait à quoi tient une mention parfois...), c'est un total manque de respect et après ces gens là vont devenir médecin et sauver des vies? une vraie farce...
Les deux acteurs principaux Antoine (Vincent Lacoste) et Benjamin (William Lebghil) sont assez bons même si j'ai eu plus de mal avec le deuxième qui transporte sa tête d'ahuri un peu partout comme s'il découvrait le monde. On voit les étudiants réviser en permanence (jamais de fêtes par ex) au point de devenir à moitié gâteux: dans le bus, dans la douche (sérieux, des fiches de révisions dans la douche, c'est du grand n'importe quoi), pétage de plomb garantie, matérialisé par l'hospitalisation de Antoine.
Le seul bon moment du film pour moi, c’est quand il font une scène dans la cour de leur copro, avec des poubelles, j'ai trouvé ça excellent parce que c'est justement avec des moyens mnémotechniques simples qu'on arrive le mieux à retenir. Après on voit bien le stress que cela engendre, la pression, la rivalité "bon ben ça fait une place de plus" ou encore "tu piques tous les bouquins pour que les autres puissent pas réviser?", monde cruel et sans pitié...
Fuyez les facs avec des débouchés minimes, apprenez un vrai métier, c’est pas la main d’œuvre qui manque! Bien content en tout cas, d'avoir eu un boulot tôt et de pas m'encrouter pendant des années sur les bancs de la fac
J'ai vu ce film que j'avais enregistré avec mon grand fils et mon épouse et franchement, je ressors très mitigé. Perso, je n'ai fait que deux années de fac, j'ai vite compris que je n'étais pas à ma place mais je suis heureux de voir que mon ainé ne va pas aller s'enterrer dans ces filières ultra-bouchonnées mais plutôt apprendre un métier manuel qui saura lui servir au quotidien.
Rien que la première scène du film est édifiante avec des étudiants qui huent le doyen venu leur présenter le parcours (bon pas très doué le doyen qui leur sort qu'ils n'ont que 2% de réussite à moins d'avoir eu mention au bac, quand on sait à quoi tient une mention parfois...), c'est un total manque de respect et après ces gens là vont devenir médecin et sauver des vies? une vraie farce...
Les deux acteurs principaux Antoine (Vincent Lacoste) et Benjamin (William Lebghil) sont assez bons même si j'ai eu plus de mal avec le deuxième qui transporte sa tête d'ahuri un peu partout comme s'il découvrait le monde. On voit les étudiants réviser en permanence (jamais de fêtes par ex) au point de devenir à moitié gâteux: dans le bus, dans la douche (sérieux, des fiches de révisions dans la douche, c'est du grand n'importe quoi), pétage de plomb garantie, matérialisé par l'hospitalisation de Antoine.
Le seul bon moment du film pour moi, c’est quand il font une scène dans la cour de leur copro, avec des poubelles, j'ai trouvé ça excellent parce que c'est justement avec des moyens mnémotechniques simples qu'on arrive le mieux à retenir. Après on voit bien le stress que cela engendre, la pression, la rivalité "bon ben ça fait une place de plus" ou encore "tu piques tous les bouquins pour que les autres puissent pas réviser?", monde cruel et sans pitié...
Fuyez les facs avec des débouchés minimes, apprenez un vrai métier, c’est pas la main d’œuvre qui manque! Bien content en tout cas, d'avoir eu un boulot tôt et de pas m'encrouter pendant des années sur les bancs de la fac
Tout comme « L’étudiante » de Claude Pinoteau avec l’agrégation de lettres 30 ans auparavant, « Première Année » est une très bonne incursion dans les us et coutumes du milieu estudiantin médical avec quelques bons dialogues – dont celui, fameux, présent dans la bande-annonce, « tu vois la différence entre un étudiant en médecine et un étudiant en prépa ? Demande leur d’apprendre le bottin par cœur, l’étudiant en prépa, il te demandera ‘pourquoi ?’ et l’étudiant en médecine ‘pour quand ?’ » - et surtout une critique féroce du système actuel de sélection et d’apprentissage. La démonstration et son final original marquent des points mais on reste un peu sur sa faim sur certaines histoires à peine effleurées. Après « Médecin de campagne » et ce « Première Année », il me reste désormais à voir « Hippocrate » pour achever la trilogie médicale du réalisateur Thomas Lilti.
Une très belle et très réaliste entrée dans le monde de la PACES, la première année de médecine ! On y suit ce tandem qui porte ce film et qui le porte très bien, avec du rire, des interrogations et de l'émotion on arrive à être transporté en très peu de temps, dans l'année de PACES.
Le réalisme du film de Thomas Lilti m’a confronté à un univers que je ne connais pas, n’ayant pas fait d’études universitaires. J’ai trouvé cette première année de médecine très immersive et critique, à la limite du documentaire. Je le recommande d’autant plus que Vincent Lacoste et William Lebghil sont formidables dans leurs rôles respectifs.
« Toubib or not Toubib ! » Vincent Lacoste et William Lebghil (surtout) qui se rèvèle! La rencontre fait tilt! Le parcours de deux ètudiants en première annèe de mèdecine selon Thomas Lilti, un mèdecin cinèaste qui a la facultè de transformer en or tout ce qu'il touche! Ce troisième long-mètrage sur le monde mèdical est une nouvelle rèussite! Le film nous plonge dans l'enfer d'une première annèe de mèdecine! Un monde fou avec très peu de place! On savait que c'ètait difficile mais là on ècarquille les yeux en permanence devant tant de travail, d'efforts et de sacrifices! De plus c'est un film ultra-rèaliste qui collait parfaitement à l'actualitè puisque le gouvernement cherchait à supprimer en 2018 le concours (souvent injuste et cruel) de fin de première annèe! On n'attend de voir quelle rèforme on nous propose car de toute èvidence il faut changer le système (pour beaucoup, ce serait la fin de l'enfer). Un petit coup de pouce salutaire pour le rèalisateur de "Hippocrate" dont on n'attend avec grande impatience les films suivants! Allez on fait une pause...
ce film fait davantage penser à un reportage documentaire sur la première année très sélective des études de médecine, qu'à un véritable scénario....certes, les deux étudiants sympathiques et au caractère si différent sont bien interprétés, certes les points durs des études de médecine sont bien illustrés : course aux meilleurs place de l'amphi, bachotage, surinvestissements personnels, salles d'examens immense, rares moments de détente, mais bon, tout cela n'est guère passionnant et même la chute est prévisible
Assez juste dans la description de la vie de carabin, mais un peu long. L'acteur des beaux gosses est bon.
Les acteurs sont excellents et de nombreux sujets pertinents sont traités avec subtilité et réalisme (cynisme ambiant entre solidarité des groupes de travail et l'esprit de compétition, méthodes de travail et préparation, ambiance potache ou cynique des amphis, etc.)
A mon sens, une réussite et un rôle à contre emploi pour William Lebghil jusqu'ici connu pour son rôle d'ignare dans la série Soda, rôle qui lui va comme un gant
A mon sens, une réussite et un rôle à contre emploi pour William Lebghil jusqu'ici connu pour son rôle d'ignare dans la série Soda, rôle qui lui va comme un gant
gabdias
Plongée acide dans l’univers impitoyable des études supérieures à la française : compétition, manque de moyens des universités, pression des parents pour une vision hallucinante de la purge pour chaque étudiant. Plutôt dramatique et se basant sur un duo étincelant notamment W.Lebeghil. Une belle promesse à déguster.
Ce long métrage tourné comme une quasi 'docufiction' est une pure réussite. Des acteurs au ton juste tiennent la rampe de bout en bout. Rien n'est dit mais tout est suggéré et tout fait sens.
Toujours un régal de retrouver ces acteurs !
Le film restitue parfaitement ces années de stress et parfois les candidats qui ont des facilités face à ceux qui galèrent !
Réalisation très humaine, vivement les autres films !
3,7/5
Le film restitue parfaitement ces années de stress et parfois les candidats qui ont des facilités face à ceux qui galèrent !
Réalisation très humaine, vivement les autres films !
3,7/5
Un film qui nous plonge dans le quotidien d'étudiants, ce n'est pas si fréquents. Et ce ne sont pas des fêtards vulgaires ou pédants pour une fois, plutôt intéressant à suivre pour ma part la fin cousue de fil blanc n'était pas indispensable.
Je dois dire en préambule que quand j'entends parler de suite ou - en occurrence - de préquelle ce n'est pas quelque chose qui m'emballe de prime abord. Je guette alors les notes et n'hésite pas à éliminer tel ou tel film.
Introduction terminée je vais vous expliquer pourquoi j'ai presque mis la note maximale à Première année.
L'explication est simple : Une très TRÈS belle histoire d'amitié, à tel point que je pardonne sans problème un côté un peu trop cliché et une incohérence à la fin.
À part ça il serait dommage de passer à côté de cette pépite. Le film est bon, très bon même. Quasi parfait.
Introduction terminée je vais vous expliquer pourquoi j'ai presque mis la note maximale à Première année.
L'explication est simple : Une très TRÈS belle histoire d'amitié, à tel point que je pardonne sans problème un côté un peu trop cliché et une incohérence à la fin.
À part ça il serait dommage de passer à côté de cette pépite. Le film est bon, très bon même. Quasi parfait.
Excellent film. Excellente interprétation.
On retrouve toute l'atmosphère oppressante des écoles de médecine.
On retrouve toute l'atmosphère oppressante des écoles de médecine.
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