Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Une comédie dramatique en amphi qui soigne sans ordonnance.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
En apparence très simple, son scénario révèle un cinéma d’une immense empathie, grondant toutefois d’une colère sourde.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film plein de justesse et en phase avec l'actualité politique puisque le gouvernement a décidé d'annuler ce concours.
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Lacoste, juste comme toujours, communique l'angoisse d’un jeune homme submergé par la terreur d’examens purement théoriques.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un film éloquent et cadencé, doublé d’une belle histoire d’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un film quasi documentaire porté par un duo d’acteurs déjà réuni dans "Jacky au royaume des filles" (2014) de Riad Sattouf, qui semble d’autant plus nécessaire que le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, souhaite la refonte du numerus clausus qu’il juge "périmé".
Closer
par La Rédaction
Vincent Lacoste et William Lebghil sont impeccables.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Thomas Lilti décrit ici cette machine à examens qu'il connaît bien pour l'avoir expérimentée, à travers les parcours de Benjamin, novice, et Antoine qui tente sa première année pour la troisième fois... Saisissant.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Par bonheur, Thomas Lilti soigne sa saine colère en faisant le portrait d’une très belle amitié, qu’il élève ici au rang de panacée, et dont l’épilogue a valeur de morale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Peut-on faire d’une année d’études et de révisions un long métrage captivant ? Thomas Lilti en apporte la preuve avec une réalisation rythmée qui mêle à la fiction le réalisme des situations et des décors, avec l’appui des témoignages d’étudiants qu’il a rencontrés. Scènes intimistes et de foule en amphi alternent efficacement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Après « Hippocrate » en 2014 et « Médecin de campagne » en 2016, Thomas Lilti continue de disséquer un milieu qu’il connaît bien et avec « Première année » et porte un regard critique sur les études de santé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À travers le fil romanesque mouvementé de leurs rapports, Thomas Lilti, médecin luimême, passe sans complaisance la formation médicale au crible de son oeil critique, et met en avant la dureté de l'apprentissage et le côté quelque peu aberrant de la préparation qu'il nécessite.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Thomas Lilti signe un beau long-métrage sur l'amitié à l'épreuve de la compétition parmi les étudiants en médecine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
On est immédiatement capté par cet univers d’amphis et de débrouille où règne une violence sournoise… Un film qui a beaucoup de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Ça bouillonne, ça fuse, ça doute, ça faiblit, ça fonce jusqu'au sprint final. C'est violent, parfois drôle, souvent émouvant parce que la vie future de ces filles et garçons de 18 ans est suspendue au numerus clausus où tout se joue à une place. Au nom de l'excellence et d'un élitisme qui cache son nom.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Anne Diatkine
Mais en plus d’exposer très clairement en quoi la première année de médecine est calamiteuse, le film touche une fibre sensible : l’impossible solidarité lorsque les places manquent, et c’est lors du dénouement que la fiction fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une fiction incisive sur notre époque et sur le culte de la compétition.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un joli film, un cran en-dessous d'Hippocrate, mais avec une description sociologique précise de ces étudiants qui travaillent.
Paris Match
par Yannick Vely
Le voici le grand film populaire français de cet automne. Sujet contemporain - le bachotage auquel sont soumis les étudiants en première année de médecine et au-delà -, jeunes comédiens parfaitement castés - la confirmation Vincent Lacoste, la révélation William Lebghil - et une science du rythme et de l'écriture qui confirme après "Hippocrate" le talent de chroniqueur de Thomas Lilti.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
"Première Année", aimable préquel à "Hippocrate", renoue avec ce ton humoristique impertinent, façon film de potes, entre le fort-en-thème sans réelle vocation (Lebghil) et le triplant idéaliste (Lacoste, toujours impeccable).
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Collant à la réalité dans sa description du bourrage de crâne inimaginable (et du stress qu'il induit), il s'en affranchit aussi dans ce nouveau manifeste pour une médecine plus humaine. Si l'on regrette parfois le petit côté artificiel et appuyé de sa démonstration, William Lebghil et Vincent Lacoste sont d'excellents porte-drapeaux.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Après "Hippocrate" et "Médecin de campagne", Thomas Lilti décrit avec finesse la brutalité d'un système éducatif ultracompétitif et son injustice. Peinture sociale, parcours initiatique, son film est aussi l'histoire d'une belle amitié, avec deux acteurs bluffants de naturel.
Télérama
par Jérémie Couston
Dans un registre plus grave qu’à l’accoutumée, Vincent Lacoste se révèle drôle et émouvant face à un William Lebghil déconcertant de naturel. Le film, moins frivole qu’il n’en a l’air, repose sur leur nonchalance, qui fait presque oublier le dénouement un rien artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Le film montre parfaitement l'hallucinant chemin de croix des étudiants en médecine.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Si la réussite de ce troisième long-métrage est solide et doit beaucoup au talent d’humaniste de son scénariste-réalisateur, elle provient aussi de l’évidente complicité de ses deux principaux comédiens.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
S'il se repose toujours autant (et trop) sur des recettes et stéréotypes, Thomas Lilti touche ici à quelque chose de plus humain et touchant, et donc d'un peu moins scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Le dossier se suit sans déplaisir, c'est proprement mis en scène, bien rythmé, les personnages sont incarnés, mais il ne se passe rien d'étonnant. Bref, la fiction n'est pas mal. Le documentaire aurait été formidable.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tout en nous plongeant de façon quasi documentaire au coeur de la compétition impitoyable entre aspirants docteurs, le torture Vincent Lacoste et le flegmatique William Lebghil portent, grâce à leur énergie et à leur enthousiasme, cette belle leçon d'amitié.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette contradiction entre le savoir inculqué et restitué mécaniquement et la complexité humaine de ce qui viendra, Thomas Lilti la dissèque avec méthode, un peu de colère et l’appui de deux acteurs qui font de ce qui est un film à thèse l’épisode d’un roman de formation.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Thomas Lilti clôt sa "trilogie médicale" avec un film à la forme étonnamment scolaire, porté par un duo de jeunes acteurs qui lui insuffle un charme indéniable.
Première
par Gaël Golhen
Une nouvelle plongée dans le milieu médical par le réalisateur d’Hippocrate. Solide mais un peu prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Malgré un scénario et une mise en scène peu surprenants, un joli moment de cinéma accessible à tous.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepasiter
Confit dans ses souvenirs d’amphi et de BU, Première Année n’a pas saisi l’opportunité de parler au-delà de son petit milieu pour devenir une vraie fable sur la vocation et la sélection.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Et voilà aujourd’hui un produit mi-bromance, mi-success story d’amphi, qu’on rapprocherait volontiers d’un cinéma français estudiantin 90’s – un air désuet traverse "Première année", dont les vestes en jean et les surchemises bûcheronnes pourraient bien servir d’indication temporelle, si quelques smartphones ne venaient corriger leurs effets d’époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
BIBA
Une comédie dramatique en amphi qui soigne sans ordonnance.
CinemaTeaser
En apparence très simple, son scénario révèle un cinéma d’une immense empathie, grondant toutefois d’une colère sourde.
Sud Ouest
Un beau film plein de justesse et en phase avec l'actualité politique puisque le gouvernement a décidé d'annuler ce concours.
20 Minutes
Vincent Lacoste, juste comme toujours, communique l'angoisse d’un jeune homme submergé par la terreur d’examens purement théoriques.
Bande à part
Un film éloquent et cadencé, doublé d’une belle histoire d’amitié.
CNews
Un film quasi documentaire porté par un duo d’acteurs déjà réuni dans "Jacky au royaume des filles" (2014) de Riad Sattouf, qui semble d’autant plus nécessaire que le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, souhaite la refonte du numerus clausus qu’il juge "périmé".
Closer
Vincent Lacoste et William Lebghil sont impeccables.
Femme Actuelle
Thomas Lilti décrit ici cette machine à examens qu'il connaît bien pour l'avoir expérimentée, à travers les parcours de Benjamin, novice, et Antoine qui tente sa première année pour la troisième fois... Saisissant.
L'Obs
Par bonheur, Thomas Lilti soigne sa saine colère en faisant le portrait d’une très belle amitié, qu’il élève ici au rang de panacée, et dont l’épilogue a valeur de morale.
La Croix
Peut-on faire d’une année d’études et de révisions un long métrage captivant ? Thomas Lilti en apporte la preuve avec une réalisation rythmée qui mêle à la fiction le réalisme des situations et des décors, avec l’appui des témoignages d’étudiants qu’il a rencontrés. Scènes intimistes et de foule en amphi alternent efficacement.
La Voix du Nord
Après « Hippocrate » en 2014 et « Médecin de campagne » en 2016, Thomas Lilti continue de disséquer un milieu qu’il connaît bien et avec « Première année » et porte un regard critique sur les études de santé.
Le Dauphiné Libéré
À travers le fil romanesque mouvementé de leurs rapports, Thomas Lilti, médecin luimême, passe sans complaisance la formation médicale au crible de son oeil critique, et met en avant la dureté de l'apprentissage et le côté quelque peu aberrant de la préparation qu'il nécessite.
Le Figaro
Thomas Lilti signe un beau long-métrage sur l'amitié à l'épreuve de la compétition parmi les étudiants en médecine.
Le Parisien
On est immédiatement capté par cet univers d’amphis et de débrouille où règne une violence sournoise… Un film qui a beaucoup de mordant.
Le Point
Ça bouillonne, ça fuse, ça doute, ça faiblit, ça fonce jusqu'au sprint final. C'est violent, parfois drôle, souvent émouvant parce que la vie future de ces filles et garçons de 18 ans est suspendue au numerus clausus où tout se joue à une place. Au nom de l'excellence et d'un élitisme qui cache son nom.
Libération
Mais en plus d’exposer très clairement en quoi la première année de médecine est calamiteuse, le film touche une fibre sensible : l’impossible solidarité lorsque les places manquent, et c’est lors du dénouement que la fiction fait mouche.
Marianne
Une fiction incisive sur notre époque et sur le culte de la compétition.
Ouest France
Un joli film, un cran en-dessous d'Hippocrate, mais avec une description sociologique précise de ces étudiants qui travaillent.
Paris Match
Le voici le grand film populaire français de cet automne. Sujet contemporain - le bachotage auquel sont soumis les étudiants en première année de médecine et au-delà -, jeunes comédiens parfaitement castés - la confirmation Vincent Lacoste, la révélation William Lebghil - et une science du rythme et de l'écriture qui confirme après "Hippocrate" le talent de chroniqueur de Thomas Lilti.
Positif
"Première Année", aimable préquel à "Hippocrate", renoue avec ce ton humoristique impertinent, façon film de potes, entre le fort-en-thème sans réelle vocation (Lebghil) et le triplant idéaliste (Lacoste, toujours impeccable).
Télé 7 Jours
Collant à la réalité dans sa description du bourrage de crâne inimaginable (et du stress qu'il induit), il s'en affranchit aussi dans ce nouveau manifeste pour une médecine plus humaine. Si l'on regrette parfois le petit côté artificiel et appuyé de sa démonstration, William Lebghil et Vincent Lacoste sont d'excellents porte-drapeaux.
Télé Loisirs
Après "Hippocrate" et "Médecin de campagne", Thomas Lilti décrit avec finesse la brutalité d'un système éducatif ultracompétitif et son injustice. Peinture sociale, parcours initiatique, son film est aussi l'histoire d'une belle amitié, avec deux acteurs bluffants de naturel.
Télérama
Dans un registre plus grave qu’à l’accoutumée, Vincent Lacoste se révèle drôle et émouvant face à un William Lebghil déconcertant de naturel. Le film, moins frivole qu’il n’en a l’air, repose sur leur nonchalance, qui fait presque oublier le dénouement un rien artificiel.
Voici
Le film montre parfaitement l'hallucinant chemin de croix des étudiants en médecine.
aVoir-aLire.com
Si la réussite de ce troisième long-métrage est solide et doit beaucoup au talent d’humaniste de son scénariste-réalisateur, elle provient aussi de l’évidente complicité de ses deux principaux comédiens.
Ecran Large
S'il se repose toujours autant (et trop) sur des recettes et stéréotypes, Thomas Lilti touche ici à quelque chose de plus humain et touchant, et donc d'un peu moins scolaire.
L'Express
Le dossier se suit sans déplaisir, c'est proprement mis en scène, bien rythmé, les personnages sont incarnés, mais il ne se passe rien d'étonnant. Bref, la fiction n'est pas mal. Le documentaire aurait été formidable.
Le Journal du Dimanche
Tout en nous plongeant de façon quasi documentaire au coeur de la compétition impitoyable entre aspirants docteurs, le torture Vincent Lacoste et le flegmatique William Lebghil portent, grâce à leur énergie et à leur enthousiasme, cette belle leçon d'amitié.
Le Monde
Cette contradiction entre le savoir inculqué et restitué mécaniquement et la complexité humaine de ce qui viendra, Thomas Lilti la dissèque avec méthode, un peu de colère et l’appui de deux acteurs qui font de ce qui est un film à thèse l’épisode d’un roman de formation.
Les Fiches du Cinéma
Thomas Lilti clôt sa "trilogie médicale" avec un film à la forme étonnamment scolaire, porté par un duo de jeunes acteurs qui lui insuffle un charme indéniable.
Première
Une nouvelle plongée dans le milieu médical par le réalisateur d’Hippocrate. Solide mais un peu prévisible.
Rolling Stone
Malgré un scénario et une mise en scène peu surprenants, un joli moment de cinéma accessible à tous.
Cahiers du Cinéma
Confit dans ses souvenirs d’amphi et de BU, Première Année n’a pas saisi l’opportunité de parler au-delà de son petit milieu pour devenir une vraie fable sur la vocation et la sélection.
Les Inrockuptibles
Et voilà aujourd’hui un produit mi-bromance, mi-success story d’amphi, qu’on rapprocherait volontiers d’un cinéma français estudiantin 90’s – un air désuet traverse "Première année", dont les vestes en jean et les surchemises bûcheronnes pourraient bien servir d’indication temporelle, si quelques smartphones ne venaient corriger leurs effets d’époque.