Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Désorientant et envoûtant.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Une noirceur indéfinie imprègne ainsi l’atmosphère tragi-comique du film, qui semble parfois loucher vers La Cienaga de Lucrecia Martel, le génie chorégraphique en moins, dans son attention aux gestes, aux détails, aux répliques affûtées pour décrire par petites touches cette famille excentrique (...). Dans ses vingt dernières minutes, Adiós entusiasmo finit par réellement troubler, en basculant de la cocasserie à l’inquiétante étrangeté.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Aussi anti-conventionnel que les personnages eux-mêmes de cette fiction, le premier film de Vladimir Durán raconte dans un ton mystérieux et inédit le drame d’une famille privée de la présence de la mère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Adios entusiasmo" a tous les défauts d’un premier film, de son ambition à sa petite vanité expérimentale, n’affrontant jamais vraiment le cœur de son histoire, préférant rester à la surface des choses. Mais [...] il mérite d'être vu pour son originalité et son audace, si on aime un cinéma atypique qui se désintéresse de la dramaturgie classique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Télérama
par Mathilde Blottière
Verbeux et oiseux, truffé de scènes qui s’étirent jusqu’à se dévitaliser complètement, le film passe à côté de son ambition : une réflexion sur l’absence d’intimité et la vie en collectivité dans un espace clos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Adios Entusiasmo nous oblige à l’observation de ce petit laboratoire au sein duquel ce qui se joue reste mystérieux, obscur et sibyllin. L’expérience, dont le sens échappe à toute logique, réussit à se rendre oppressante. Difficile de s’y accrocher.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Yohan Haddad
On assiste dès lors à une chronique superficielle, où le cadre du (quasi) huis-clos n’est jamais transcendé, et où les personnages, creux au possible, apparaissent au gré de séquences insipides qui n’ont ni queue, ni tête.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Désorientant et envoûtant.
Cahiers du Cinéma
Une noirceur indéfinie imprègne ainsi l’atmosphère tragi-comique du film, qui semble parfois loucher vers La Cienaga de Lucrecia Martel, le génie chorégraphique en moins, dans son attention aux gestes, aux détails, aux répliques affûtées pour décrire par petites touches cette famille excentrique (...). Dans ses vingt dernières minutes, Adiós entusiasmo finit par réellement troubler, en basculant de la cocasserie à l’inquiétante étrangeté.
aVoir-aLire.com
Aussi anti-conventionnel que les personnages eux-mêmes de cette fiction, le premier film de Vladimir Durán raconte dans un ton mystérieux et inédit le drame d’une famille privée de la présence de la mère.
Culturopoing.com
"Adios entusiasmo" a tous les défauts d’un premier film, de son ambition à sa petite vanité expérimentale, n’affrontant jamais vraiment le cœur de son histoire, préférant rester à la surface des choses. Mais [...] il mérite d'être vu pour son originalité et son audace, si on aime un cinéma atypique qui se désintéresse de la dramaturgie classique.
Télérama
Verbeux et oiseux, truffé de scènes qui s’étirent jusqu’à se dévitaliser complètement, le film passe à côté de son ambition : une réflexion sur l’absence d’intimité et la vie en collectivité dans un espace clos.
Le Monde
Adios Entusiasmo nous oblige à l’observation de ce petit laboratoire au sein duquel ce qui se joue reste mystérieux, obscur et sibyllin. L’expérience, dont le sens échappe à toute logique, réussit à se rendre oppressante. Difficile de s’y accrocher.
Première
On assiste dès lors à une chronique superficielle, où le cadre du (quasi) huis-clos n’est jamais transcendé, et où les personnages, creux au possible, apparaissent au gré de séquences insipides qui n’ont ni queue, ni tête.