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Un visiteur
2,0
Publiée le 15 décembre 2019
La fin du Film nous laisse sur notre fin sans véritable explication comme bon nombre d'autres films. Pas assez de suspens le film est long sur l'intrigue. C'est dommage je pense qu'il aurait pu plus exploiter le film.
De la science-fiction dans cette réalisation que c'est drôle, zéro originalité recherche désespérément style propre distinction peu inspirée flagrante avec les blockbusters américains, la séquence mélo-dramatique du début et de la fin. En demi-teinte l'explication scientifique sur les conséquences de la pollution parisienne est ahurissante, panique erronée et larme abusive avec cette mise en scène.
Le mode zoom caméra sur la terreur lointaine de la foule au sacré cœur sans rien montrer d’autre, the mist est une brume irrespirable qui devient chez certains êtres vivants non mortels. Si c’est toxique les effets de l'odeur, des corps qui jonchent le trottoir au conduit, le choc sera émotionnel ne sachant comment réagir face à une telle situation catastrophique.
La romance est tragiquement titanesque, que ça gonfle l’appartement embrumé comme un bateau à la dérive coulante. Le dénouement philosophique laisse des bidons, inversement des rôles parents enfants, comme une cassette qui se rembobine, rien compris.
Les films de SF sont rares dans le cinéma français. Inévitablement, le sujet nous renvoie à The Mist, d'après Stephen King, l'imagination et les scènes d'"horreur" en moins. Ici on est dans une version édulcorée qui ne fait même pas l'effort de nous apporter des explications sur le phénomène ou quelques rebondissements dans le scénario. Tout est beaucoup trop gentillet. Par exemple, ne devrait-on pas ressentir un peu de panique quand autour de soi des millions de personnes sont vraisemblablement mortes? Il reste Romain Duris, une mystérieuse brume (spoiler: dont on ne saura rien...ce qui plombe le résultat final ) et un gros sentiment d'inachevé malgré une réalisation correcte.
Etant donné que c’était le même Dominique Rocher qui devait le réaliser à l’origine, ‘Dans la brume’ est en quelque sorte le film-jumeau de ‘La nuit a dévoré le monde’ puisque dans les deux cas, la menace provient des rues parisiennes et la sécurité réside dans les appartements situés sous les combles et les toits...sauf qu’ici, les avenues ne sont pas envahies de morts-vivants mais noyées dans une brume toxique qui s’élève jusqu’aux étages supérieurs des bâtiments haussmaniens, ce qui offre l’opportunité de quelques vues saisissantes sur la capitale française transformée en Venise nuageuse . Evidemment, on fait le rapprochement avec ‘The mist’, excellente nouvelle de Stephen King ayant donné lieu à une non moins excellente adaptation au cinéma de Frank Darabont, si ce n’est que la version française n’invite pas l’explication fantastique et ne repose pas sur les interactions au sein d’un large groupe humain en huis-clos. Dommage que les déroulé des événements souffre d’un certain nombre d’incohérences et abonde en décisions auxquelles on a un peu de mal à croire alors qu’il s’efforce justement de maintenir une certaine crédibilité à ce scénario-catastrophe, perçu à hauteur d’un couple de rescapés d’autant plus déboussolé que leur fille est confinée dans une chambre stérile située à un étage contaminé, paradoxalement préservée de l’empoisonnement mais intransportable à l’air libre. Cette idée, qui semble un peu gratuite de prime abord, ouvre la porte à pas mal de possibilités intéressantes qui font de ce film, bien que loin de la perfection, offre un exemple probant de cinéma de genre à la française, ambitieux et sans triomphalisme mal placé. Craignant que se vérifie l’adage qui prétend que “Film de genre français” soit un concept aussi crédible et sexy que “comédie estonienne” ou “Film d’arts martiaux suisse”, la production avait toutefois confié la mise en scène à un Nord-Américain : un pari réussi sur le plan qualitatif, beaucoup moins sur celui du box-office.
Un scénario malin et des séquences efficaces qui plassent ce film parmi les très bonnes surprises françaises. La gestion de l'espace et du temps renforce son côté anxiogène. Les dialogues très accessoires, voir pas du tout soignés et la matérialisation de la brume ne rendent malheureusement pas justice aux autres qualités techniques de ce petit film de S.F.
J'ai franchement même la flemme de mettre 100 caractères dans mon avis. Effets visuels nuls, jeu d'acteur passable, intrigue et dénouement à pleurer d'ennui.
PARIS. Anna et Mathieu ont une fille, Sarah, de 12 ans souffrant du syndrome de Stein berger devant passer sa vie enclose dans un cylindre stérile aménagé, dont elle ne peut sortir. Et voilà, qu'une secousse fait trembler l'immeuble ou cette famille habite. Une épaisse brume jaunâtre et mortel envahit la capital . Celle-ci monte, et se stabilise au-dessus de l'appartement d'Anna et Mathieu. Sarah, dans son caisson est protégée de tout inhalations nocifs. Ses parents doivent s'abriter à l'étage supérieur, chez leur voisins, ou ils seront en sécurité; Ils devront trouver des solutions aux problèmes qui se dressent devant eux. Nous nous trouvons dans une course sans fin entre les étages, puis à travers Paris devenue une ville aveugle. Filmé de façon remarquable, avec un vrai sens du suspens, ne laissant place à aucun flottement scénaristique. Des dialogues réduits à l'essentiel, et une rage de vivre donnent l'énergie nécessaire à cette histoire. Une émotion toujours présente, dans une atmosphère claustrophobe La prestation de Romain Duris et de Olga Kurylenko nous emporte dans leurs égarements, provoquant un espoir qui s'amenuise au fur et à mesure que les épreuves se dressent. La vision panoramique d'un Paris cauchemardesque réduit au silence est impressionnante. L'horreur des cadavres jonchant les trottoirs, nous fait penser à une fin du monde géologique pointant l'idée que la nature veut se venger de l'homme qui ne cesse de la blesser Une réalisation sans virilité, sans supers héros aux multiples pouvoirs, sans humour potache. Une façon de tourner au plus prêt de la réalité d'une catastrophe. Ce film est très réussi
En 2018, deux bons films français très originaux sont sortis et "Dans la brume" fait partie des quelques films coups de poing comme le plus récent "Le Chant du Loup". Dans la Brume reprend le principe de Stephen King/John Carpenter avec une brume mortelle envahissant Paris. Malgré un scénario un peu faiblard, Dans la Brume propose une expérience immersive avec un casting intéressant et des personnages attachants. Un film original qui change qui est à voir.
Un grand film spoiler: jusqu’au dernier quart d’heure ; quand soudainement les scénaristes laissent le spectateur sur sa faim. Dommage, car on y croit pendant longtemps. Et l’on attend avec impatience le dénouement final qui eut été l’occasion rêvée de délivrer un puissant message environnemental.
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2,0
Publiée le 20 juillet 2019
Tout part d'une ètrange brume opaque et silencieuse qui envahit Paris! Non seulement elle est mortelle si on la respire mais en plus elle envahit la capitale comment dire...jusqu'au-dessous des toits! Pas plus haut sinon il n'y aurait pas de thriller catastrophe où le Mal a la forme d'un brouillard toxique! Les seul survivants sont donc sous les toits avec ni eau, ni èlectricitè [...] Si le metteur en scène est quèbècois, il s'agit bien là d'une production française à vocation grand public! Une curieuse histoire où l'on ne nous explique rien sur ce phènomène! On ne sait pas si cette brume provient d'une catastrophe nuclèaire, d'un sèisme ou d'une attaque terroriste! Romain Duris, dans un rôle à la Brad Pitt, doit sauver sa femme et sa fille qui a la particularitè de vivre à l'intèrieur d'une bulle! Beaucoup d'errance sur les toits parisiens pour Romain qui s'investit physiquement en tentant de survivre à une brume qui est partout, avec un simple masque à oxygène! Un film de genre honnête mais bourrè de clichès! La faute en revient au scènario, aux personnages et au dènouement final! C'est dommage car le rèalisateur a rèussi à rendre la brume très cinègènique...
A part de rares exceptions, la France ne brille guère dans le cinéma de genre. Même si le réalisateur est ici québécois, on n peutpas dire que "Dans la brume" soit une réussite. Il lui manque les ingrédients principaux que l'on attend dans ce genre de film et dont le premier est une ambiance de qualité c'est-à-dire, dans le cas présent, de l'angoisse et un sentiment d'oppression. A cela s'ajoute une intrigue bancale avec son lot d'incohérences et de scènes tirées par les cheveux. Le postulat de base était pourtant bon mais cela ne suffit pas à faire un bon film.
Trés bonne surprise Habitué au cinema francais ennuyeux et sans imagination un petit film de sf qui fait avancer le genre en france demontre que l'on peut faire autre chose que des drame et des comédie dans notre pays et ce sans monstrueux budget pour faire sauter tout paris.