Derniers Avis : Glass - Page 26

Bon ben voilà, la déception Shyamalan a encore frappé, soit il est excellent, soit il est médiocre. Et là malheureusement c'est la version médiocre. Tout est bancal, les dialogues insipides, le scénario d'une lenteur insoutenable. Malgré un début prometteur, le film s'enlise dans la psychologie de comptoir dès que les personnages sont dans l'asile. On a l'impression qu'il est tellement pressé de passer à autre chose que les traitements des personnages est affreusement bâclé !
Malgré des prestations d'acteurs de qualité, rien ne sort vraiment de cette bouillie, le pire étant le traitement du personnage de David Dunn. La fin est absolument ridicule, d'une fainéantise scénaristique indigne d'un réalisateur de ce niveau. Avec un twist final qui aurait pu être tellement plus et qui fait plouf comme la fin honteuse d'un personnage.
On est loin de la classe folle d'"Incassable", du mystère de "Sixième Sens" ou même de la psychologie retorse et flippante de "Split".
On ne peut s'empêcher de penser: tout ça pour ça !

M. Night Shyamalan, maestro des retournements de situation, surprend en amenant assez rapidement le premier conflit attendu entre le « gentil » David Dunn et la « méchante » « Bête », comme s’il fallait arriver au plus vite dans l’espace où se déroule l’essentiel du film : un hôpital psychiatrique, dans lequel les trois protagonistes sont envoyés afin d’être étudiés par une psychiatre rationaliste (Sarah Paulson), spécialiste des personnes qui s’identifient de manière excessive aux héros des comics. Dans ce lieu (invraisemblablement mal surveillé alors qu’il abrite les trois personnes les plus potentiellement dangereuses du monde), un huis-clos prend le temps de s’établir, assez bavard, qui ne dispense pas de quelques longueurs heureusement jamais pesantes grâce à la mise en scène dans laquelle chaque cadrage est pensé. S’instaure alors une atmosphère tendue réussie, parfois proche de la claustrophobie inspirée dans Split. Les cellules dans lesquelles les trois personnages sont enfermés deviennent des zones de tous les dangers. La menace est multipliée par la personnalité du schizophrène interprété par James McAvoy (très brillant, aussi terrifiant qu’émouvant), et par celle d’Elijah, marionnettiste d’autant plus machiavélique que son apparence est paradoxalement faible – il est assis dans un fauteuil roulant, le visage penché à cause d’une fracture et les membres fragilisés. Une séquence entre Elijah, un gardien et sa lampe torche, qui met en avant la force de l’esprit face à la violence physique et gratuite, est particulièrement révélatrice du moteur du récit. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2019/01/13/glass/)

Je n'avais pas d'attente particulière en allant regarder Glass.
J'avais aimé Incassable et apprécié Split.
Mais cette conclusion est juste excellente et sublime l'ensemble.

Le film garde le rythme des films précédents, il avance doucement et s'attarde moins sur la psychologie de David et de la Bête déjà développées dans les films précédents.
A défaut de les développer il les utilisent efficacement et arrive à créer une nouvelle intrigue.
Pour la réalisation, celle-ci est toujours aussi efficace que d’habitude.
Je recommande très fortement ce film, mais il est cependant nécessaire d'avoir vu Incassable et Split avant d'aller le voir.

Bien, sans plus. J'ai eu l'impression de déjà vu avec le show de John Mac Avoy endossant sa multitude de personnages ... de déjà vu avec une fin que le réalisateur aurait voulu aussi stupéfiante que dans Sixième Sens. Sans doute la surprise ne joue plus.

En préambule, le synopsis (officiel ?) d'allociné doit être revu.
Mr Glass n'a aucune révélation à faire sur les deux autres. Cette annonce n'apporte rien et trompe même sur le film...
Amateur d'incassable, un peu moins de Split malgré l'excellente performance de James McAvoy, j'avais surtout envie de retrouver Bruce Willis.
Et j'y ai pris du plaisir. Blanchi mais toujours en forme, l'acteur est de plus en plus mutique, trimbalant sa petite moue moqueuse tout au long du film.
Mc Avoy développe encore plus son personnage multipolaire et Samuel L Jackson est lui aussi impeccable dans son rôle.
Les 3 personnages secondaires sont bien développés (j'ai tout de même un peu de mal à croire à l'amourette naissante entre Casey et McAvoy, ok syndrome de Stockholm tout ça mais il y a des limites) et Sarah Paulson est irritante à souhait dans son rôle de psy (cho rigide) à tel point qu'elle donne envie de la baffer..
Le scénario m'a bien plus. Cette idée de déconstruire le mythe du super-héros par la science ( spoiler: même si tout cela est manipulé)
est bien amenée.
Agréablement surpris par la fin spoiler: (la tristesse de perdre les personnages étant compensée par le twist final plus "moral")
qui conclut parfaitement cette trilogie.

Bref, un bon moment qui ne me laissera pas un souvenir impérissable mais que j'ai quand même bien aimé.

Glass est une suite complétement catastrophique de Split, qui celui-ci s'avérer de très bonne facture, doté d'un bon scénario et d'une réalisation efficace. Glass qui parvient à glacer tout sauf le sang, ne fait que signer le retour raté et laborieux de M. Night Shyamalan, donnant l'impression d'être à bout de souffle et à court d'idée. Par contre mention spéciale pour James McAvoy encore une fois remarquable de performance dans son jeu d'acteur. Pour l'ensemble très déçu !

Un bon film, sans plus. il y a quelques rebondissements intéressant et les acteurs jouent bien. La réalisation est pas mal. c'est un film correct

J'ai adoré le scénario, la performance des acteurs, Samuel L Jackson toujours aussi bon, Bruce Willis au top et James Mcavoy tout bonnement extra (avec par moments des faux airs d' Eminem 🙂).
Le final est spectaculaire. J'ai trouvé ce film drôle, inquiétant , surprenant et tellement captivant !!
Bravo

une vrai suite de incassable et split. mais on peu le voir sans les 2 premiers. passé un excellent moment, bien tourné, bonne réalisation.

quelle nullité ce film, ennui à mourir on a l'impression qu'il dure 4 heures
Pourtant je suis un fan de ces acteurs
De bons acteurs mais un scénario pour 5 ans d'age mental
économisé votre argent ou aller voir un autre film

Ne connaissant pas les connus films Incassable et Split, je me suis empressée de regarder ces deux films que j’ai beaucoup aimé avant d’aller voir Glass.
Glass est un bon film qui vient clore cette trilogie. On retrouve l’univers perçu dans les deux films précédents, toujours en accentuant le lien avec les Comics. En revanche, il est peut être pour moi le moins réussi de la trilogie, certaines scènes étant peut être un peu tirées par les cheveux ou un peu longues.
Quoi qu’il en soit, je pense quand même que Glass est un film à aller voir, les fans de comics apprécieront tout particulièrement.

Super film beaucoup de choses exploré tres bon scénario exactement dans la lignée d ucassable glass est violent touchant marquant les acteurs sont très bon excellent prestation 5 étoiles pour moi

James Mc Avoy sauve a peu près un scenario BIDON, incohérent du debut a la fin, des longueurs a n'en plus finir....................... ! Un réalisateur qui tente en vain de traiter différents sujets de société ; il s'y perd lui-même. À éviter sans faute, ou attendre la difusion Tv ... sur france 3 ... dans 10 ans

Je sors de la séance.... J'avais aimé Split particulièrement efficace et là ...? Glass, qui se veut être la suite, semble perdu dans la confusion, On se perd dans du grand n'importe quoi, Pffff, j'ai eu du mal à rester jusqu'au bout de la séance, sans doute parce que le film est un peu long. En revanche, James McAvoy reste particulièrement efficace et convainquant.

Split était inabouti mais jouissif tout de même et surtout plein de promesses. Incassable est un des films cultes de Shyamalan. Comment a-t-il pu rater Glass à ce point ? Tous les éléments d'un magnum opus y sont pourtant : acteurs de série A, personnages extrêmes, grandioses et attachants, et l'espoir d'une confrontation cathartique. Chou blanc. Scènes improbables, banales ou navrantes de vacuité se succèdent jusqu'au final décevant malgré les acrobaties scénaristiques (peut-on parler de rebondissement ?). S'il y a une (énième) suite je n'irai pas la voir.