AlloCiné
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Votre avis sur Glass ?
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Plutôt déçu malheureusement. La prestation de James McAvoy est toujours aussi bonne, mais le tout est si fade ! Confronter les quelques héros aurait du donner quelque chose de grandiose, de surprenant, d'efficace ! Mais la mise en scène et les répétitions des flash visant à montrer les personnalités de "Kevin" finissent pas lasser très vite au détriment de l'intrigue qui n'avance pas. Je me suis beaucoup ennuyé, attendant un peu d'action qui finalement n'a que peu d'intérêt. Dommage pour les 19 ans après et les raccords plutôt réussis mais sans surprise.
L'AlsacienParisien
Les super héros existent-ils vraiment au sein de notre société moderne ? Voilà la question saugrenue à laquelle on tente de répondre pendant cette suite, clôturant ainsi une trilogie qui s'est amorcée il y a 18 ans avec "Incassable". Certes, les comics et autres blockbusters servent de base, de référent, mais restent ici fictifs et critiqués. Car M. Night Shyamalan, avec une maitrise esthétique et des effets qui lui sont propres, nous fait prendre de la distance sur un genre hollywoodien adulé pour le déformer, le métamorphoser, l'aborder sous un autre angle, avec une audace intelligemment originale ! D'autant plus qu'il arrive à point nommé dans une période où les super-héros divertissent encore et toujours.
Quand il achève "Split" avec un twist le reliant à "Incassable", j'étais à la fois intrigué et sceptique. Mais on retrouve son style, sa folie, son intelligence, son goût pour l'horreur réaliste et les twists imprévisibles. Ce "Glass" s'impose comme porteur d'un univers tout entier, chargé d'indices et de mystère si bien qu'on doute, nous aussi, de l'origine des pouvoirs de nos personnages qui nous laisserait entendre que de telles forces pourraient être absolument normales. Le trio de patients analysé au crible dans un hôpital psychiatrique promet un huis-clos explosif. Ce qui est sûr, c'est que Shyamalan sait mettre l'eau à la bouche avec une première partie à l'atmosphère lourde et étrange, sombre et palpitante. C'est vrai que le scénario se révèle un peu bavard mais le talent des acteurs a su préserver toute mon attention jusqu'à un final diabolique et multiple, enchainant les retournements de situation avec une fluidité qui procure des frissons.
La force et la subtilité de "Glass", c'est que toute cette réflexion autour des super-héros est ancrée dans notre réalité. Il donne ainsi à ce genre totalement prévisible de nouvelles étincelles. Les effets visuels ne sont pas gratuits et s'intègrent harmonieusement au monde réel. C'est subtil et donc encore plus puissant et jouissif ! Son point de vue s'avère fascinant et insuffle un nouveau souffle aux super pouvoirs, qui semblaient assez banalisés ces derniers temps. La mise en scène est précise, esthétiquement singulière et parfaite, la musique, elle, est glaçante et le dernier acte promet un affrontement épique et musclé. Personnellement, j'ai adoré ce scénario ambiguë qui aboutit sur un grand spectacle qui répond à des attentes rarement assouvies au cinéma !
Notre excitation serait moindre sans l'interprétation scotchante des acteurs. James McAvoy est incroyable et je trouve qu'il éclipse facilement ses partenaires. Mais Samuel L. Jackson et Bruce Willis, monstres du cinéma avant d'être super héros, ne se laissent pas impressionner et assurent une partition mémorable et vicieuse. Face à eux, Sarah Paulson, campe un personnage majeur, aux ambitions troubles qui sert habilement la réflexion portée par le metteur en scène.
Ceux qui n'ont pas vu les deux précédents films auront sûrement du mal à tout comprendre, mais je pense que ce n'est pas impossible de se concentrer sur la ligne rouge du film. Mais pour comprendre tous les enjeux, toutes les personnalités, c'est vrai que "Glass" se regarde en tant que troisième film et non pas individuellement.
Quand il achève "Split" avec un twist le reliant à "Incassable", j'étais à la fois intrigué et sceptique. Mais on retrouve son style, sa folie, son intelligence, son goût pour l'horreur réaliste et les twists imprévisibles. Ce "Glass" s'impose comme porteur d'un univers tout entier, chargé d'indices et de mystère si bien qu'on doute, nous aussi, de l'origine des pouvoirs de nos personnages qui nous laisserait entendre que de telles forces pourraient être absolument normales. Le trio de patients analysé au crible dans un hôpital psychiatrique promet un huis-clos explosif. Ce qui est sûr, c'est que Shyamalan sait mettre l'eau à la bouche avec une première partie à l'atmosphère lourde et étrange, sombre et palpitante. C'est vrai que le scénario se révèle un peu bavard mais le talent des acteurs a su préserver toute mon attention jusqu'à un final diabolique et multiple, enchainant les retournements de situation avec une fluidité qui procure des frissons.
La force et la subtilité de "Glass", c'est que toute cette réflexion autour des super-héros est ancrée dans notre réalité. Il donne ainsi à ce genre totalement prévisible de nouvelles étincelles. Les effets visuels ne sont pas gratuits et s'intègrent harmonieusement au monde réel. C'est subtil et donc encore plus puissant et jouissif ! Son point de vue s'avère fascinant et insuffle un nouveau souffle aux super pouvoirs, qui semblaient assez banalisés ces derniers temps. La mise en scène est précise, esthétiquement singulière et parfaite, la musique, elle, est glaçante et le dernier acte promet un affrontement épique et musclé. Personnellement, j'ai adoré ce scénario ambiguë qui aboutit sur un grand spectacle qui répond à des attentes rarement assouvies au cinéma !
Notre excitation serait moindre sans l'interprétation scotchante des acteurs. James McAvoy est incroyable et je trouve qu'il éclipse facilement ses partenaires. Mais Samuel L. Jackson et Bruce Willis, monstres du cinéma avant d'être super héros, ne se laissent pas impressionner et assurent une partition mémorable et vicieuse. Face à eux, Sarah Paulson, campe un personnage majeur, aux ambitions troubles qui sert habilement la réflexion portée par le metteur en scène.
Ceux qui n'ont pas vu les deux précédents films auront sûrement du mal à tout comprendre, mais je pense que ce n'est pas impossible de se concentrer sur la ligne rouge du film. Mais pour comprendre tous les enjeux, toutes les personnalités, c'est vrai que "Glass" se regarde en tant que troisième film et non pas individuellement.
Pas aussi marquant que Split, mais tout aussi intéressant que Incassable, Glass nous fait passer un excellent moment de cinéma grâce à la présence d'une superbe interprétation de son casting (notamment celle exceptionnelle de James McAvoy) et pour sa mise en scène qui possède une certaine élégance. Quant au script, s'il ne possède pas forcément beaucoup de rebondissement, il s'avère tout de même agréable à suivre.
Vanessa L
C’était le film assez inattendu, une annonce totalement folle d’un film qui regroupe des héros issus deux films espacés de 16 ans Incassable (2000) et Split (2016). Personnellement, je ne voyais pas trop comment ils allaient faire et surtout ce que serait réellement ce film ! La pirouette est plutôt bien faite entre les deux films. La rencontre de David Dunn et Kevin Crumb qui en plus se retrouvent avec Elijah Price c’est dans un sens assez gros mais plutôt habilement trouvé. J’ai quand même trouvé que Bruce Willis est plus en retrait des autres. James McAvoy est tout aussi exceptionnel dans ce rôle, on a le droit ici de voir toutes les facettes et personnalités de son personnage et ça donne un truc de tellement fou qu’on ne peut que l’applaudir pour sa prouesse tellement ça semble réel ! J’ai beaucoup aimé le passage quand ils sont tous internés et qu’ils se rencontrent. Il faut dire que la liaison entre les personnages est bien fait, on se prend au jeu, on se demande où ils veulent en venir et ça donne une fin totalement folle que l’on attendait pas du tout ! Et puis, la chute est wow ! Tellement inattendue que l’on reste sur le cul et on se dit qu’il fallait trouvé un tel pitch surtout réparti sur tant d’années ! Même si la fin clôture parfaitement l’histoire de ces trois personnages, elle ouvre les portes vers d’autres possibilités ! A voir si celles-ci seront exploitées !
En résumé, Glass est un film à la hauteur mais dont on aurait pu se passer au final … A la fin, on a envie de dire tout ça pour ça ?! Mais bon finalement, la fin reste assez bien foutu et le message est passé ! Par contre, l’intérêt de tout ça ? j’avoue que je le cherche encore … ça reste bien joué, assez bien ficelé pour regrouper deux films en un troisième assez improbable mais réel. Bref, un film qui sort de l’ordinaire et c’est plutôt pas mal !
En résumé, Glass est un film à la hauteur mais dont on aurait pu se passer au final … A la fin, on a envie de dire tout ça pour ça ?! Mais bon finalement, la fin reste assez bien foutu et le message est passé ! Par contre, l’intérêt de tout ça ? j’avoue que je le cherche encore … ça reste bien joué, assez bien ficelé pour regrouper deux films en un troisième assez improbable mais réel. Bref, un film qui sort de l’ordinaire et c’est plutôt pas mal !
Clémentine K.
Après Incassable et Split, j’avais tellement hâte de voir Glass, où les deux histoires se rencontrent. Je dois avouer que j’ai été déçue car je trouve que ce film veut passer en revue beaucoup de choses en très peu de temps, on n’a donc pas le temps d’en savourer la richesse des personnages comme dans les deux premiers opus. C’est bien dommage et la fin m’a vraiment laissée sur ma faim... De plus, le personnage de Bruce Willis était très effacé. Entre incompréhension et déception, je pense que les inconditionnels de Split comme moi n’ont également pas été entièrement convaincus.
Je ne m'attendais à pas grand-chose, mais ce fut au final un film plus poussé que je ne le pensais. L'histoire est en effet à ne pas prendre à la légère, et M. Night Shyamalan a su montrer ses preuves dans cet ultime opus qu'est Glass. Réal dynamique, scène d'action envoûtante, et musique hypnotisant sont au rendez-vous dans ce dernier volet. Peut-être quelques longueurs à certains moments, mais vraiment pas handicapant si c'est pour apprécier le jeu d'acteur de Willis, Jackson et McAvoy. Je ne peux que conseiller Glass, à condition d'avoir bien vu Incassable et Split.
Semie deception pour ce qui est censé clore la trilogie Shyamalan sur les supers-heros, c'est moins sombre, moins psychologique, un melange plus lisse, assez special, mais pas mal quand meme.
HamsterPsycho
Dans ce crossover issu d'Incassable et Split, les deux univers se rejoignent plutôt bien. Les personnages tendent à se diluer quand même au contact des autres. Celui qui ressort le mieux reste l'inquiétant James MacAvoy et ses 23 alter ego. On s'attendait à autre chose, mais Shyamalan a toujours le don de prendre des chemins de traverse. On sort donc des ficelles et des canons du genre.
Glass est une très bonne fin à la trilogie démarrée par le cultissime Incassable. C'est un vrai plaisir de retrouver Bruce Willis, Samuel L Jackson et James McAvoy dans leur rôle respectif et une fois de plus ils crèvent l'écran. Le film tourne exclusivement autour de ces 3 personnages même si on regrettera que le personnage de Glass est un peu en retrait. Il y a une alchimie entre les acteurs qui rend le film agréable à suivre et permet de rappeler que Bruce Willis est toujours un super acteur. La fin du film est malheureusement un peu frustrante alors qu'on était en droit d'attendre un final plus fulgurant. Le film s'achève sur un cliffhanger qui laisse la porte ouverte à d'autres histoires. Glass est moins bon qu'Incassable, moins bon que Split mais reste quand même très bon.
M. Night Shyamalan clôt sa trilogie superhéroïque avec " Glass ", une spectaculaire synthèse d’Incassable et de Split. M.Night Shyamalan ne cesse de surprendre. C'est un pari réussi. Jamais il ne dénature les deux films qui le précèdent, jamais il « n’annule » de vérités établies. Une boucle géniale concluant une trilogie dessinée sur 18 ans où trois œuvres se répondent et se rendent hommage pour ne former plus qu'un seul univers. Bruce Willis, Samuel L. Jackson et James McAvoy se réunissent dans ce périlleux long-métrage et l'affrontement semble inévitable. Un affrontement qui se révèle spectaculaire voir magnifique. Bruce Willis retrouve son personnage, le gentil David Dunn, prêt à sauver son prochain, excellent par sa prestance et son physique à toute épreuve qui le rend par moment touchant. Samuel L. Jackson est absolument parfait, car le rôle d’Elijah Price le force à plus de subtilité (
spoiler:
Un haussement de sourcils, un tressaillement de paupière, et c’est tout le génie malfaisant du personnage qui transparaît sans qu’il n’ait à prononcer un mot)
. Et enfin, l'impeccable James MacVoy, de nouveau sous les traits de l’imprévisible Kevin Wendell Crumb et de ses multiples personnalités, tout aussi dangereuses que mortelles. Le questionnement sur la figure du super-héros est au cœur du film (sans vous en révéler davantage), pleine de crédibilité et intelligemment traité en profondeur. Plein d'audace, " Glass ' est un thriller psycho- fantastique à la fois malsain, glauque et gore, qui prouve avec efficacité la renaissance incontestable du talent d’antan de monsieur M. Night Shyamalan. Le dénouement, bien qu'il divise la critique, est surprenant et très inattendu. Du grand Shyamalan.
. Et enfin, l'impeccable James MacVoy, de nouveau sous les traits de l’imprévisible Kevin Wendell Crumb et de ses multiples personnalités, tout aussi dangereuses que mortelles. Le questionnement sur la figure du super-héros est au cœur du film (sans vous en révéler davantage), pleine de crédibilité et intelligemment traité en profondeur. Plein d'audace, " Glass ' est un thriller psycho- fantastique à la fois malsain, glauque et gore, qui prouve avec efficacité la renaissance incontestable du talent d’antan de monsieur M. Night Shyamalan. Le dénouement, bien qu'il divise la critique, est surprenant et très inattendu. Du grand Shyamalan.
L'Info Tout Court
Fort du succès de Split, il donne enfin suite à l’un de ses joyaux, Incassable, et compose à sa sauce un récit super-héroïque où sauveur, menace musclée et méchant diabolique se confrontent. Toutes les cartes étaient sur la table avec Glass, avec deux données inédites pour le cinéaste : une attente narrative forte de la part des spectateurs, et un marché du genre inondé de propositions. La résultante s’avère pour le moins désarçonnante. La mise en scène, puissamment symbolique dans Incassable, d’une efficacité chirurgicale dans Split, se contente ici du strict minimum, avec ça et là quelques saillies dignes du talent de Shyamalan. On en ressort avec le sentiment d’avoir assisté à un rendez-vous manqué, parfois stimulant, unique à son auteur et pourtant si chiche de ses promesses.
Audrey L
Pour conclure la trilogie comme il se doit, Glass avait une sacrée pression après un très bon thriller Incassable et un surprenant Split. Et l'on peut dire que jusqu'à la fin (non incluse) le film tire son épingle du jeu, frôlant l'excellence par son action soutenue (les combats), les retournements de situations typiques de Shyamalan (le coup de la lentille laser), des moments de tension palpables (les séquences dans l'obscurité avec La Bête) et parfois quelques notes d'humour cynique très agréables.Hélas, je retire exprès la fin de cet éventail de talents, car subjectivement elle m'a énormément déçue : quel goût amer après la promesse d'un combat grandiose entre le trio de "super-héros" et d'une exploration finale de chacun des personnages quand on voit [//SPOILER//] seulement cinq minutes d'un combat gentillet et la mort des trois personnages en une seconde de façon complètement pitoyable... Franchement, une balle dans le ventre, une flaque d'eau et se faire bousculer de son fauteuil...[/FIN DE SPOILER]. L'habituelle chute finale est d'une banalité confondante et n'apporte rien (//SPOILER//] le "nouvel univers" et la bande de méchants sous couverture ne servent à rien car ils concluent de façon bancale cet opus et annoncent une suite qui n'aura jamais lieu [FIN DE SPOILER]). Heureusement, les acteurs sont excellents, encore chapeau au travail d'interprétation de James McAvoy, une belle composition musicale souvent stressante, une belle mise en images, une métaphore du verre brisé ("glass") et une critique douce-amère de Marvel, le film est clairement soigné. Pour ma part, Glass aura été un délice mêlant une belle palette d'acteurs qu'on trépignait de voir ensemble, mais personnellement la fin reste une douche froide.
De nombreuses années après l’avoir commencée, M. Night Shyamalan concrétise enfin l’aboutissement de sa trilogie en confrontant les protagonistes d’Incassable et de Split dans un troisième film intitulé Glass, titre tirant son nom de celui que David Dunn appelait encore « le bonhomme qui casse » lors du cliffhanger du dernier film. Les trois personnages se confrontent ici dans un final assez prenant qui se déroule la majeure partie du temps dans l’hôpital psychiatrique où est retenu Elijah, David et Kevin le rejoignant assez vite suite à une première altercation. Le docteur Ellie Straple tente de les convaincre que leurs capacités surhumaines ne sont qu’une illusion. Mais le cerveau d’Elijah avait prévu cet affrontement depuis sa cellule. Il va instaurer toute une mise en scène afin de
spoiler:
se faire passer pour un patient tranquillisé par ses médicaments
et agir dans l’ombre en s’associant avec Kevin, tous deux devenant ainsi le mastermind et la bête manipulée, duo classique dans les comics.
Si le croisement entre les univers des précédents films peut avoir du mal à convaincre totalement, le scénario est également porté par les duos formés par chaque accompagnateur des héros. Ainsi, David travaille dans un commerce de dispositifs de sécurité avec son fils Joseph, toujours joué par Spencer Treat Clark. Elijah est toujours soutenu par sa mère et Casey accompagne parfois Kevin, qui fait cette fois-ci ressortir largement plus de personnalités avec un jeu d’acteur toujours plus exceptionnel. Le cliffhanger final est loin d’être aussi marquant que celui d’Incassable mais fait son petit effet alors qu’Elijah considère qu’il a spoiler: créé les deux autres super-héros
en provoquant le déraillement du train. Le père de Kevin faisait effectivement spoiler: le même voyage que David (d’où les fleurs déposées sur le quai de la gare dans Split), sa mort ayant causé de mauvais traitements infligés par sa mère
, provoquant l’apparition de ses multiples personnalités.
Loin d’être exceptionnelle, la fin n’en reste pas moins émouvante alors que chacun des héros spoiler: meurt lors de leur affrontement
sur le parking de l’hôpital. En prenant la main du docteur Straple, David comprend alors qu’elle spoiler: travaillait en fait pour une organisation secrète combattant les super-héros, qui existent bel et bien. Mais malgré leur disparition,
le génie d’Elijah s’était arrangé pour que spoiler: les films créés par les caméras de l’hôpital soient diffusés afin de révéler au monde l’existence de ces êtres exceptionnels,
cassant d’autant plus les quelques éléments de manichéisme qui pouvaient subsister dans le scénario et consolidant le titre du film décidément porté par le cerveau le plus brillant. « Mais qu’avez-vous fait, Elijah !? », une apostrophe qui en dit long sur la réflexion apportée par Shyalaman dans cette trilogie à la construction atypique.
et agir dans l’ombre en s’associant avec Kevin, tous deux devenant ainsi le mastermind et la bête manipulée, duo classique dans les comics.
Si le croisement entre les univers des précédents films peut avoir du mal à convaincre totalement, le scénario est également porté par les duos formés par chaque accompagnateur des héros. Ainsi, David travaille dans un commerce de dispositifs de sécurité avec son fils Joseph, toujours joué par Spencer Treat Clark. Elijah est toujours soutenu par sa mère et Casey accompagne parfois Kevin, qui fait cette fois-ci ressortir largement plus de personnalités avec un jeu d’acteur toujours plus exceptionnel. Le cliffhanger final est loin d’être aussi marquant que celui d’Incassable mais fait son petit effet alors qu’Elijah considère qu’il a spoiler: créé les deux autres super-héros
en provoquant le déraillement du train. Le père de Kevin faisait effectivement spoiler: le même voyage que David (d’où les fleurs déposées sur le quai de la gare dans Split), sa mort ayant causé de mauvais traitements infligés par sa mère
, provoquant l’apparition de ses multiples personnalités.
Loin d’être exceptionnelle, la fin n’en reste pas moins émouvante alors que chacun des héros spoiler: meurt lors de leur affrontement
sur le parking de l’hôpital. En prenant la main du docteur Straple, David comprend alors qu’elle spoiler: travaillait en fait pour une organisation secrète combattant les super-héros, qui existent bel et bien. Mais malgré leur disparition,
le génie d’Elijah s’était arrangé pour que spoiler: les films créés par les caméras de l’hôpital soient diffusés afin de révéler au monde l’existence de ces êtres exceptionnels,
cassant d’autant plus les quelques éléments de manichéisme qui pouvaient subsister dans le scénario et consolidant le titre du film décidément porté par le cerveau le plus brillant. « Mais qu’avez-vous fait, Elijah !? », une apostrophe qui en dit long sur la réflexion apportée par Shyalaman dans cette trilogie à la construction atypique.
Qu'est-ce qu'un super-héros ? 19 ans après Incassable, Shyamalan se frotte encore les mains et sème le doute. Qui est un héros ? Un père justicier pour son fils dévoué ? La personnalité courageuse qui a secourue une jeune femme des griffes d'une bête qui la hante ? L'homme de foi qui depuis sa naissance lutte cruellement contre la plus abominable des maladies ? Et si notre héros se croit en plus doté de certaines capacités surhumaines, cela le rend-il dangereux pour lui et autrui, sauvage, voire inhumain ? Réunir David Dunn, Elijah Price et Kevin Wendell Crumb dans un même espace et les confronter les uns aux autres, cela fait-il de Glass un film ultime de super-héros ? Qu'est-ce qu'un film de super-héros en fait ? Glass est en tout cas un habile thriller bien pervers et ingénieux.
filme plat. le Scénario doit tenir sur une demi-page.
Même une maison de retraite est mieux sécurisée que cet hôpital psychiatrique pour personnes dont on sait qu'ils sont spéciaux mais quo doivent être cachés aux yeux de tous.
En plus de ça le film est bourré d'incohérences...
autant Split était pas mal, autant celui la est une bouse écrit par un enfant de 9 ans...
Même une maison de retraite est mieux sécurisée que cet hôpital psychiatrique pour personnes dont on sait qu'ils sont spéciaux mais quo doivent être cachés aux yeux de tous.
En plus de ça le film est bourré d'incohérences...
autant Split était pas mal, autant celui la est une bouse écrit par un enfant de 9 ans...
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