Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Critikat.com
par Josué Morel
Plongeant pleinement dans l’introspection, le doute et la crise de foi, Glass témoigne surtout, dans les plis de ses expérimentations, de la sensibilité intacte de ce cinéma de la croyance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Avec autant de panache que de roublardise, Shyamalan propose en fait un récit à double lecture absolument jouissif.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La première chose qui frappe ici est l’étonnante frontalité de la mise en scène. "Glass" semble en effet nous regarder. Droit dans les yeux. Comme à travers un miroir sans tain que serait la toile de cinéma tendue devant nous.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
"Glass" est donc un grand film du neutre, un conte de la normalité déjouée. Neutre, comme ce twist ultime tenant dans une flaque d’eau, toute petite et terrible de tragédie anodine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Sylvestre Picard
Glass confirme le retour au premier plan de Shyamalan.
Voici
par La Rédaction
Une plongée vertigineuse, en quasi huis clos, dans l'univers mental de deux super-héros.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Marqué par l’exubérance glauque et l’image numérique de Split, Glass n’a pas la beauté lugubre d’Incassable, l’éclat ocre du Village, l’humour torve de La Jeune Fille de l’eau ni la ferveur chaotique de Signes. Mais, enjambant et racontant à sa manière l’effondrement d’Hollywood, dont le disque s’est rayé précisément entre Incassable et Glass, Shy prouve qu’il est bien vivant.
Closer
par La Rédaction
Un épilogue réussi.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
[...] aussi brillant que politique, véritable reflet de notre société capitaliste.
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Désamorçant toutes nos attentes, M. Night Shyamalan délivre un regard acéré sur notre rapport à la figure du super-héros moderne. Grâce à une mise en scène en tous points exceptionnelle, il parvient même à commenter le genre tout en le célébrant avec une tendresse non feinte.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec Glass, dernier volet d'une trilogie, le réalisateur de Sixième sens confirme son retour au premier plan à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Intelligent, foisonnant, voire déroutant, le récit prend du recul sur un genre hollywoodien pour le métamorphoser avec une audace et une originalité détonantes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le nouveau film du réalisateur américain confirme son statut de dernier grand romantique d’Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Philippe Rouyer
La force de "Glass" est de tenir l'équilibre entre le théorique et l'émotionnel avec un trio de personnages principaux remarquablement incarnés, accompagnés de comparses qu'ils côtoyaient déjà dans les films précédents.
Première
par Christophe Narbonne
La trilogie superhéroïque de M. Night Shyamalan se termine en beauté avec Glass, synthèse improbable mais séminale d’Incassable et de Split.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
James McAvoy est extra et asse avec virtuosité d'une personnalité à l'autre.
CNews
par La rédaction
Un affrontement ultime entre les trois protagonistes qui devrait ravir les fans de la première heure, malgré une seconde partie qui peine à trouver de la cohérence mais sauvée par un twist final de haute volée
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Glass" a des ambitions évidentes et excitantes, mais aussi de grosses lacunes en terme d'écriture, et ne parvient jamais à donner du sens et de l'ampleur à la rencontre de ces trois personnages hors-normes. Et si la mise en scène de Shyamalan reste solide, le film laisse regretter la maîtrise et la précision de ses premiers films - notamment "Incassable".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Igor Hansen-Løve
Malgré un scénario méticuleusement écrit et de belles performances d'acteurs (mention spéciale à James McAvoy), l'ennui s'impose, las, dès l'internement des protagonistes, au bout des trente premières minutes.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Visuellement, Glass tient ses promesses. Dommage que ce soit au service d'un récit assez laborieux. Le film n'est pas une mauvaise conclusion, mais avec Incassable en tête de file, on s'attendait peut-être à mieux, surtout qu'on en sait M. Night Shyamalan capable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Huis clos étonnant, le film, assez bavard, développe un peu trop de théories fumeuses sur les super-héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
19 ans après "Incassable", Shyamalan clôt sa trilogie des super-héros, et continue de développer un univers complexe, à l'opposé de celui proposé par la franchise Marvel depuis dix ans. Un film aussi étonnant que bancal, qui alterne le pire et le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Jessica Saval
Tiraillé entre des fascinantes fulgurances et des facilités d'écriture grossières, "Glass" ne parvient que péniblement à convaincre de son intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si la réflexion est passionnante et explore, finalement, notre humanité, mieux vaut connaître l'univers du réalisateur de "Sixième sens" pour apprécier pleinement ce thiller baroque, trop sinueux et bavard, mais magistralement mis en scène et habité par un fabuleux James McAvoy.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
[...] un huis clos à la remarquable ambition esthétique. Sur le fond, le film ne tient pas toutes ses promesses.
Télérama
par Frédéric Strauss
En faisant se rencontrer les personnages qu’il avait créés pour Incassable (2000) et Split (2016), M. Night Shyamalan dialogue avec lui-même, comme s’il était le quatrième patient admis ici en psychiatrie. Une fantaisie plus communicative se déploie heureusement quand l’encombrant Crumb (...) laisse les plus séduisants David Dunn et Mr Glass prendre le dessus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Shyamalan clôt plus qu’honorablement une vision de cinéma en trois volets sans le brio de Split, mais en réparant les blessures du ronflant Incassable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Dix-neuf ans après "Incassable" et trois ans après "Split", M. Night Shyamalan tente d’offrir une suite cohérente à ces deux films très dissemblables. Le résultat, à la fois bancal et émouvant, vaut beaucoup pour le regard que porte le réalisateur sur ses comédiens, impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Trop bavard et didactique, Glass n’a ni l’élégance de Incassable, ni les atours amusants de série B introspective de Split. Reste la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Glass" s'inscrit dans la lignée de "la Jeune Fille de l'eau" : il théorise vainement sur son propre échec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Philippe Guedj
On a bien conscience que Shyamalan a exploité les codes super-héroïques pour produire un discours pompeux et docte sur le genre qui ravira les fins gourmets, mais sa démonstration est aussi rasoir qu'un cours magistral d'amphithéâtre. Et cheap en plus. Tout ça pour ça !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Critikat.com
Plongeant pleinement dans l’introspection, le doute et la crise de foi, Glass témoigne surtout, dans les plis de ses expérimentations, de la sensibilité intacte de ce cinéma de la croyance.
La Voix du Nord
Avec autant de panache que de roublardise, Shyamalan propose en fait un récit à double lecture absolument jouissif.
Les Inrockuptibles
La première chose qui frappe ici est l’étonnante frontalité de la mise en scène. "Glass" semble en effet nous regarder. Droit dans les yeux. Comme à travers un miroir sans tain que serait la toile de cinéma tendue devant nous.
Libération
"Glass" est donc un grand film du neutre, un conte de la normalité déjouée. Neutre, comme ce twist ultime tenant dans une flaque d’eau, toute petite et terrible de tragédie anodine.
Ouest France
Glass confirme le retour au premier plan de Shyamalan.
Voici
Une plongée vertigineuse, en quasi huis clos, dans l'univers mental de deux super-héros.
Cahiers du Cinéma
Marqué par l’exubérance glauque et l’image numérique de Split, Glass n’a pas la beauté lugubre d’Incassable, l’éclat ocre du Village, l’humour torve de La Jeune Fille de l’eau ni la ferveur chaotique de Signes. Mais, enjambant et racontant à sa manière l’effondrement d’Hollywood, dont le disque s’est rayé précisément entre Incassable et Glass, Shy prouve qu’il est bien vivant.
Closer
Un épilogue réussi.
L'Ecran Fantastique
[...] aussi brillant que politique, véritable reflet de notre société capitaliste.
La Septième Obsession
Désamorçant toutes nos attentes, M. Night Shyamalan délivre un regard acéré sur notre rapport à la figure du super-héros moderne. Grâce à une mise en scène en tous points exceptionnelle, il parvient même à commenter le genre tout en le célébrant avec une tendresse non feinte.
Le Figaro
Avec Glass, dernier volet d'une trilogie, le réalisateur de Sixième sens confirme son retour au premier plan à Hollywood.
Le Journal du Dimanche
Intelligent, foisonnant, voire déroutant, le récit prend du recul sur un genre hollywoodien pour le métamorphoser avec une audace et une originalité détonantes.
Le Monde
Le nouveau film du réalisateur américain confirme son statut de dernier grand romantique d’Hollywood.
Positif
La force de "Glass" est de tenir l'équilibre entre le théorique et l'émotionnel avec un trio de personnages principaux remarquablement incarnés, accompagnés de comparses qu'ils côtoyaient déjà dans les films précédents.
Première
La trilogie superhéroïque de M. Night Shyamalan se termine en beauté avec Glass, synthèse improbable mais séminale d’Incassable et de Split.
Public
James McAvoy est extra et asse avec virtuosité d'une personnalité à l'autre.
CNews
Un affrontement ultime entre les trois protagonistes qui devrait ravir les fans de la première heure, malgré une seconde partie qui peine à trouver de la cohérence mais sauvée par un twist final de haute volée
Ecran Large
"Glass" a des ambitions évidentes et excitantes, mais aussi de grosses lacunes en terme d'écriture, et ne parvient jamais à donner du sens et de l'ampleur à la rencontre de ces trois personnages hors-normes. Et si la mise en scène de Shyamalan reste solide, le film laisse regretter la maîtrise et la précision de ses premiers films - notamment "Incassable".
L'Express
Malgré un scénario méticuleusement écrit et de belles performances d'acteurs (mention spéciale à James McAvoy), l'ennui s'impose, las, dès l'internement des protagonistes, au bout des trente premières minutes.
Le Journal du Geek
Visuellement, Glass tient ses promesses. Dommage que ce soit au service d'un récit assez laborieux. Le film n'est pas une mauvaise conclusion, mais avec Incassable en tête de file, on s'attendait peut-être à mieux, surtout qu'on en sait M. Night Shyamalan capable.
Le Parisien
Huis clos étonnant, le film, assez bavard, développe un peu trop de théories fumeuses sur les super-héros.
Les Fiches du Cinéma
19 ans après "Incassable", Shyamalan clôt sa trilogie des super-héros, et continue de développer un univers complexe, à l'opposé de celui proposé par la franchise Marvel depuis dix ans. Un film aussi étonnant que bancal, qui alterne le pire et le meilleur.
Rolling Stone
Tiraillé entre des fascinantes fulgurances et des facilités d'écriture grossières, "Glass" ne parvient que péniblement à convaincre de son intérêt.
Télé 7 Jours
Si la réflexion est passionnante et explore, finalement, notre humanité, mieux vaut connaître l'univers du réalisateur de "Sixième sens" pour apprécier pleinement ce thiller baroque, trop sinueux et bavard, mais magistralement mis en scène et habité par un fabuleux James McAvoy.
Télé Loisirs
[...] un huis clos à la remarquable ambition esthétique. Sur le fond, le film ne tient pas toutes ses promesses.
Télérama
En faisant se rencontrer les personnages qu’il avait créés pour Incassable (2000) et Split (2016), M. Night Shyamalan dialogue avec lui-même, comme s’il était le quatrième patient admis ici en psychiatrie. Une fantaisie plus communicative se déploie heureusement quand l’encombrant Crumb (...) laisse les plus séduisants David Dunn et Mr Glass prendre le dessus.
aVoir-aLire.com
Shyamalan clôt plus qu’honorablement une vision de cinéma en trois volets sans le brio de Split, mais en réparant les blessures du ronflant Incassable.
Bande à part
Dix-neuf ans après "Incassable" et trois ans après "Split", M. Night Shyamalan tente d’offrir une suite cohérente à ces deux films très dissemblables. Le résultat, à la fois bancal et émouvant, vaut beaucoup pour le regard que porte le réalisateur sur ses comédiens, impeccables.
CinemaTeaser
Trop bavard et didactique, Glass n’a ni l’élégance de Incassable, ni les atours amusants de série B introspective de Split. Reste la mise en scène.
L'Obs
"Glass" s'inscrit dans la lignée de "la Jeune Fille de l'eau" : il théorise vainement sur son propre échec.
Le Point
On a bien conscience que Shyamalan a exploité les codes super-héroïques pour produire un discours pompeux et docte sur le genre qui ravira les fins gourmets, mais sa démonstration est aussi rasoir qu'un cours magistral d'amphithéâtre. Et cheap en plus. Tout ça pour ça !