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Ykarpathakis157
4 728 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 30 juillet 2021
Ce soi-disant film est vraiment horrible. Les terroristes sont montrés comme des gentils. Ils disent que ce soi-disant film est basé sur la réalité mais c'est un gros mensonge. Vous ne verrez pas les faits réels comment ces gens ont torturé des femmes et des enfants comment ils ont fait tout cela juste parce qu'ils avaient soif de popularité et d'argent comment ils riaient en tuant des gens et à quel point leur cruauté était énorme. Et comment presque tous les terroristes étaient des enfants en or dont les riches parents ont essayé de racheter avec leurs millions par la suite. Imaginez qu'un menteur fou fasse un film avec l'idée que les terroristes du 11 septembre étaient des gens bien qui se sont rebellés contre le régime et que nous sommes tous trop stupides pour les comprendre. On m'a dit que le réalisateur Rezo est un gigolo russe qui n'a pas de vrai travail. Eh bien Hostages est la preuve que si vous êtes bon sur un canapé vous feriez mieux de rester sur un canapé et de ne pas ennuyer les gens avec votre sois disant créativité ...
Assez mal filmé, lent, brouillon, l'histoire met du temps à se mettre en place. Vers la moitié du film, l'action commence. Puis cela redevient lent. Le seul intérêt est que le film raconte une histoire vraie.
Un événement historique et dramatique que je ne connaissais pas. Une première moitié de film très longue (trop ?), une seconde passionnante. Otages de leur pays, otages de leur voyage et surtout otages de leurs rêves. Bien maîtrisé, le scénario montre les dégâts d'un totalitarisme, reste la mise en scène discutable. Cela reste un film à voir ! 3/5 !!!
Un film un peu froid et trop factuel, à la mise en scène pesante. L'histoire est incroyable mais le film ne développe pas suffisamment ses personnages dont on ne comprend pas vraiment les motivations.
Adaptation d'un fait divers qui secoua la Géorgie en 1983 avec ses 7 jeunes issus de la bourgeoisie qui tentèrent de passer à l’ouest en faisant une prise d'otages dans un avion qui tourna au massacre .L'ensemble est filmé avec une certaine frénésie et reste fidèle à la réalité mais sans surprise et leur motivation est mal traitées pour une jeunesse qui s'est sacrifiée..
La première partie de Hostages, consacrée à la présentation des protagonistes et à leurs préparatifs, est confuse. Du montage éclaté adopté par Rezo Gigineishvili, il est difficile de tirer toute empathie envers des personnages dont les motivations peu explicites ne convainquent pas d’autant que ces sept jeunes gens ne font pas partie des plus miséreux. La deuxième partie plus classique privilégie l’action et le suspense (un peu). Le vol intérieur emprunté doit mener nos « héros » de Tbilissi à Batoumi, une station balnéaire proche de la frontière turco-géorgienne et possible porte de sortie depuis une Géorgie pas encore indépendante. Mais ici Gigineishvili ne relate pas le détournement d’avion survenu en novembre 1983. Il s’en inspire très librement et déforme le déroulement des évènements. Hostages, film russo-géorgien, ménage les autorités des deux parties productrices. Ainsi, le spectateur devra se contenter d’un très rapide survol du procès et des sanctions prononcées envers les sept jeunes protagonistes. Le titre même du film semble inapproprié même si on le rapproche du carton final qui stipule que, jusqu'en 1991, les ressortissants des États satellites de l'URSS n’étaient pas autorisés à quitter leur pays.
Pour son cinquième film, Rezo Gigineishvili s'intéresse à un fait divers qui avait secoué l’Union soviétique. En 1983, sept amis décident de détourner un avion pour s'enfuir vers le monde "libre". Avec ce film, le réalisateur ne révolutionne rien, on retrouve les différentes étapes habituelles (mise en place, préparation, exécution, dénouement) les unes après les autres, mais le récit n'en reste pas moins prenant même s'il est long à se mettre en place. À la fois un drame social et politique lorsqu'il se concentre sur le quotidien terne de ces jeunes qui ont tout d'après certaines personnes, mais qui sont privées de certaines libertés, et un thriller plutôt efficace et intense lors des moments clés. Je ne connaissais pas cette histoire et en la découvrant, je me suis dit que c'était du gâchis... Non, pas le film, mais bien l'histoire de ces jeunes qui ont gâché plusieurs vies que ce soit la leur, celles de leurs proches ou celles des victimes. Vu le sujet, le choix du titre n'est pas innocent et à clairement un double sens. Bref, un film géorgien plutôt pas mal.
Dommage,le sujet est intéressant mais mal traité,déroulement de l'action,si on peut parler d'action,désordre,ennuyeux.Un bon point:Ce film m'aura fait connaître un fait divers dont je n'avais jamais entendu parlé et on reste conterné par la naïveté de ces jeunes futurs criminels.
"Hostages" traite d'une tentative de détournement d'avions par 7 jeunes gens, amis de toujours. Cette tentative demeure le fait divers le plus sanglant du pays.
Hostages est un film géorgien sorti en 2017 de Rezo Gigineishvili. Le film montre comment 7 jeunes adultes tentent de détourner un appareil pour gagner l'Europe de l'ouest lors d'un vol intérieur.
Attention, cette critique contient de nombreux spoilers.
Hostages est clairement découpé en 2 parties.spoiler: La première partie du film nous montre les préparatifs dans le plus grand secret de nos apprentis terroristes, leurs familles étant ben loin d'imaginer ce qu'ils ont préparé. La deuxième partie du film montre la tentative de détournement, les coups de feu dans l'appareil.
On constate l'impréparation du commando, la "légèreté" des autorités aéroportuaires de l'aéroport et le gâchis en vies humaines.
Le film est aussi intéressant qu'un mauvais documentaire, je n'ai ressenti aucune empathie pour les terroristes amateurs. En effet, là où le bât blesse, c'est au niveau du message. Le réalisateur tente assez maladroitement de réhabiliter un acte criminel 34 ans après les faits et 25 ans après la chute du mur de Berlin.
spoiler: Tout d'abord, le commando de jeunes gens qui pose sur l'affiche du film tel un groupe de rock satisfait de son image est aux antipodes de l'assurance affichée. Certains sont déterminés, d'autres se sont faits entraînés, d'autres ne sont même pas au courant. S'ils ont mal préparé leur coup, leur capacité à faire feu sur l'équipage ne souffre en revanche d'aucune hésitation. Le réalisateur insiste sur le procès expéditif qui a suivi, la peine de mort prononcée contre les pirates (à l'exception de la fille) et l'endroit gardé secret par les autorités de l'Etat de leurs sépultures après leur exécution.
Il est patent que bien des années après les faits, le réalisateur règle ses comptes avec "le grand frère soviétique" avec qui les relations ont été - et demeurent- houleuses. Cependant, le message lors du générique de fin selon lequel les ressortissants des Etats satellites de l'URSS ne pouvaient quitter leurs pays pour voyager à travers le monde et ce jusqu'en 1991, aussi restrictif des libertés qu'il soit, ne justifie en rien cette prise d'otages.
Un peu trop impersonnel, le film n’en est pas moins un témoignage intéressant. (...) La narration très classique est au service du propos, pour retranscrire l’histoire au plus proche de la réalité, montrant le décalage entre deux générations.
Hostages evoque le fait divers le plus violent de l'histoire de la Géorgie, à l'époque de l'URSS (1983) et quelques années avant l'indépendance. Le film tranche avec la production actuelle géorgienne, du moins celle qui nous parvient habituellement. Reconstitution historique minutieuse et thriller sanglant, Hostages est clairement constitué de deux parties. Malheureusement, aucune d'elle ne s'avère concluante. Tout le début du film est confus, passant sans transition d'un personnage à un autre sans que l'on saisisse vraiment les motivations des candidats au passage à l'ouest. Les scènes se succèdent sans créer de liant et encore moins d'empathie pour eux. L'action qui a lieu dans la deuxième partie du film, dans l'avion, est parfaitement mise en scène et stressante. Mais il y a une certaine lourdeur dans l'exposition des faits et une complaisance à montrer le sang qui coule. Avec les ingrédients dont il disposait, on attendait bien mieux de Hostages.
Le dernier film de Rezo GIGINEISHVILLI (2017) est plus tôt une bonne surprise avec deux grandes qualités . Un aspect documentaire (facon doc actualité) qui donne au film un coté immersif au plus près des personnages et de leur histoire. Les acteurs sont tous justes dans leurs rôles . Le film montre et dissèque les évènements sans en expliquer le pourquoi du comment sauf peut-être la jeunesse et l'immaturité des personnages qui en seraient la cause. Une jeunesse étouffée par un régime liberticide . D'ailleurs la justification des autorités comme un leitmotiv sonne vraiement comme une ncompréhension : " Ils avaient tout " ! C'est dire le décallage de perseption d'un pouvoir autoritaire avec sa population et sa jeunesse. L'absurde de la situation n'est jamais loin et donne une ligne de force au film. Une réflexion au travers d'un fait divers sur la réalité policeère d'un régime aux portes de l'Europe il n'y a pas si longtemps de cela!
Le film est un peu long à se mettre en place, alternant des scènes assez ternes avec d'autres plus prenantes (la scène d'adieu du marié à sa famille est particulièrement réussie) et se termine dans l'avion, où là le rythme est plus soutenu et où le déroulement s'avère assez inattendu. Effectivement, le début du film survole un peu trop les protagonistes et on ne s'imagine pas que leur action n'est absolument pas préparée et finalement vouée à l'échec. Film honnête dans son ensemble.
Pour une réalisation de cette nationalité, le film s'en sort plutôt bien. Une mise en scène propre et soignée. Ou calme se pose avec un climat un peu plus palpable" (un peu plus de tension va t-on dire). LEs acteurs s'en sortent assez bien même si pour ma part, ils sont tous méconnus. Basé sur un fait violent mais concret, le réal a su mettre en valeur se qu'il fallait puis mettre en seconde partie ce qu'il l'ait un peu moins. Ce n'est pas un chef d'œuvre et le film ne sera pas un succès ; mais comme film ; a défaut des blockbusters de cette semaine. Il s'en sort assez bien et l'on ne voit pas le temps passer ; la mise en scène bien joué et bien mis en route. L'histoire révèle quelques surprises que la BA ne montre pas ,ni dans le synopsis et c'est une bonne chose. Ce qui permets de retenir notre attention pour le dernier quart d'heure et ou l'on comprends de bout en bout comment le film a été "faite".