Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Sous l’aspect d’un conte de fées musical, "My Love Affair with Marriage" produit la peinture d’une société gangrénée par le patriarcat, dans une animation qui brille par son ingéniosité et ses métaphores infinies.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Déborah Lechner
Simone de Beauvoir a écrit "on ne naît pas femme, on le devient" et Signe Baumane l'explicite sur grand écran avec autant de fougue narrative que de créativité visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ouest France
par Thierry Chèze
Un peu long mais réjouissant.
L'Obs
par François Forestier
Ponctuée par des intermèdes musicaux, cette comédie bizarroïde est à la fois une satire, une sotie absurde, une promenade philosophique, une leçon d’éducation sexuelle, une séance de thérapie psy. C’est beaucoup, et enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par V. Cau.
Non dépourvu d’humour, agrémenté de séquences musicales, le film n’en demeure pas moins attaché, tout du long, à une esthétique dont la dureté, l’âpreté – aplats de couleurs mates et sombres, traits affirmés, décors artisanaux sculptés dans du papier mâché – tiennent en respect la moindre tentative de séduction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Avec ce récit initiatique animé et musical, Baumane entremêle conte et discours scientifique pour exposer le poids des injonctions sociales liées au genre. Un film original et pertinent, quoique son ambition didactique s’avère parfois trop envahissante.
Première
par Thierry Chèze
L’exubérant My love affair with marriage saisit les préoccupations et les débats de l’époque avec une virtuosité gourmande.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
En réduisant, schémas du cerveau à l’appui, le mécanisme de prise de décision à de la pure biologie — stimulus extérieur, sécrétion hormonale, réponse neuronale —, le film semble, bien malgré son autrice, déposséder l’héroïne de tout libre arbitre. Soit l’inverse de l’émancipation espérée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Sous l’aspect d’un conte de fées musical, "My Love Affair with Marriage" produit la peinture d’une société gangrénée par le patriarcat, dans une animation qui brille par son ingéniosité et ses métaphores infinies.
Ecran Large
Simone de Beauvoir a écrit "on ne naît pas femme, on le devient" et Signe Baumane l'explicite sur grand écran avec autant de fougue narrative que de créativité visuelle.
Ouest France
Un peu long mais réjouissant.
L'Obs
Ponctuée par des intermèdes musicaux, cette comédie bizarroïde est à la fois une satire, une sotie absurde, une promenade philosophique, une leçon d’éducation sexuelle, une séance de thérapie psy. C’est beaucoup, et enthousiasmant.
Le Monde
Non dépourvu d’humour, agrémenté de séquences musicales, le film n’en demeure pas moins attaché, tout du long, à une esthétique dont la dureté, l’âpreté – aplats de couleurs mates et sombres, traits affirmés, décors artisanaux sculptés dans du papier mâché – tiennent en respect la moindre tentative de séduction.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce récit initiatique animé et musical, Baumane entremêle conte et discours scientifique pour exposer le poids des injonctions sociales liées au genre. Un film original et pertinent, quoique son ambition didactique s’avère parfois trop envahissante.
Première
L’exubérant My love affair with marriage saisit les préoccupations et les débats de l’époque avec une virtuosité gourmande.
Télérama
En réduisant, schémas du cerveau à l’appui, le mécanisme de prise de décision à de la pure biologie — stimulus extérieur, sécrétion hormonale, réponse neuronale —, le film semble, bien malgré son autrice, déposséder l’héroïne de tout libre arbitre. Soit l’inverse de l’émancipation espérée.