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Impossible de ne pas se dire qu’il y a beaucoup d’Omar Sy dans Yao. Le réalisateur Philippe Godeau y décrit l’amitié improbable entre un acteur français qui découvre l’Afrique dont il est originaire et un jeune fan sénégalais (excellent Lionel Louis Basse).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Revenir au pays du père, c’est revenir à l’enfance et à soi, au milieu des fantômes et des esprits que convoque le film : l’acteur d’ Intouchables et de Chocolat , une des personnalités préférées des Français, paraît à chaque plan touché au cœur. Il a quitté le rire en carapace, il apparaît plus fragile, plus touchant.
Parce qu’il est d’abord un concentré d’émotion douce, « Yao », qui repose sur un duo magique, est bien autre chose qu’un classique « road trip ». Ici, les rebondissements ne font pas dans le spectaculaire mais fabriquent un tissu plein d’une intense et rassurante capacité d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
À la mémoire de leurs pères, Omar Sy et le réalisateur Philippe Godeau cherchent leurs racines en Afrique. Un conte simple, à la touchante humilité dans lequel l’acteur apparaît d’une absolue sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Road movie initiatique, sympathique et chaleureux, le film de Philippe Godeau (produit par Omar Sy) souffre d'un petit défaut : le scénario est prévisible, scène après scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Quête d’identité, paternité, bons sentiments : calibré par et pour Omar Sy, tout en sobriété bienvenue, cet agréable road-movie africain présente aussi un Sénégal loin des spots touristiques : poussiéreux mais espiègle et lumineux, à l’image de l’adorable gamin qui joue Yao.
Entre quête de soi et découverte culturelle, on se laisse gentiment emporter par cette fable africaine dépaysante, même si débordante de bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Outre que l’intrigue est fortement improbable et d’un ennui à mourir, "Yao" tombe dans les écueils du genre, bons sentiments, carte postale et spiritualité à deux sous.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Ouest France
Cette comédie familiale brille surtout par la belle justesse de ses personnages et l’interprétation solide.
20 Minutes
Impossible de ne pas se dire qu’il y a beaucoup d’Omar Sy dans Yao. Le réalisateur Philippe Godeau y décrit l’amitié improbable entre un acteur français qui découvre l’Afrique dont il est originaire et un jeune fan sénégalais (excellent Lionel Louis Basse).
CNews
S’il est habitué aux comédies, Omar Sy a délaissé le rire pour une performance tout en délicatesse dans "Yao", de Philippe Godeau.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Revenir au pays du père, c’est revenir à l’enfance et à soi, au milieu des fantômes et des esprits que convoque le film : l’acteur d’ Intouchables et de Chocolat , une des personnalités préférées des Français, paraît à chaque plan touché au cœur. Il a quitté le rire en carapace, il apparaît plus fragile, plus touchant.
Femme Actuelle
Absolument délicieux !
Le Parisien
Parce qu’il est d’abord un concentré d’émotion douce, « Yao », qui repose sur un duo magique, est bien autre chose qu’un classique « road trip ». Ici, les rebondissements ne font pas dans le spectaculaire mais fabriquent un tissu plein d’une intense et rassurante capacité d’humanité.
Bande à part
À la mémoire de leurs pères, Omar Sy et le réalisateur Philippe Godeau cherchent leurs racines en Afrique. Un conte simple, à la touchante humilité dans lequel l’acteur apparaît d’une absolue sobriété.
L'Obs
Road movie initiatique, sympathique et chaleureux, le film de Philippe Godeau (produit par Omar Sy) souffre d'un petit défaut : le scénario est prévisible, scène après scène.
La Voix du Nord
Pas un grand film, mais un film honnête, sur les traces de son père et de ses ancêtres, au Sénégal.
Le Journal du Dimanche
Quête d’identité, paternité, bons sentiments : calibré par et pour Omar Sy, tout en sobriété bienvenue, cet agréable road-movie africain présente aussi un Sénégal loin des spots touristiques : poussiéreux mais espiègle et lumineux, à l’image de l’adorable gamin qui joue Yao.
Les Fiches du Cinéma
Un joli conte sur la “différence qui enrichit”.
Libération
Joué et coproduit par Omar Sy, le road-movie "Yao" est un trop sage autoportrait de la star en mal de racines et de perspectives.
Télérama
Omar Sy, juste et touchant.
aVoir-aLire.com
Entre quête de soi et découverte culturelle, on se laisse gentiment emporter par cette fable africaine dépaysante, même si débordante de bons sentiments.
Positif
Trop fléché, pas assez improvisé façon cinéma du réel [...], le film manque d'authenticité.
Première
Pavé de bons sentiments mais animé d’une mélancolie tenace, ce road-movie offre quelques beaux moments de cinéma.
Le Figaro
De bons sentiments et surtout un parfait dépliant touristique du Sénégal.
Le Monde
Propice à l'embardée fabulique, l'Afrique ne mérite pas pour autant une telle désinvolture.
Sud Ouest
Outre que l’intrigue est fortement improbable et d’un ennui à mourir, "Yao" tombe dans les écueils du genre, bons sentiments, carte postale et spiritualité à deux sous.