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Votre avis sur Traîné sur le bitume ?
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Deux policiers suspendus de leurs fonctions pendant un mois et demi, vont tenter de voler à une bande de gangsters le butin d un vol à main armée. La réalisation tire du côté de Tarantino, des frères Coen voire de Michael Mann ou de Winding Refn (surtout de ce dernier) en moins réussie. Le film est distrayant et répond au cahier des charges du polar. Le gros défaut de cette "pellicule " c est sa longueur non justifiée. Sur les deux heures vingt, au moins quinze voir vingt minutes auraient pu être coupées, notamment en raison de l indigence des dialogues. Tarantino surclasse ce réalisateur dans cet exercice : scènes inutiles au développement de l action qui permettent au dialoguiste de s en donner à cœur joie. A voir quand même. Mel Gibson tient la route et porte le film sur ses épaules.
Un casting alléchant et une mise en introduction intéressante on vite laissé place à un ennui à mourrir et un scénario prévisible, sans parler de la scène de fin où l'assurance de l'un dans la situation dans laquelle il se trouve est patethique tellement peu probable.
punaise je ne laissé jamais de commentaire mais là, j'ai l'impression de me faire arnaqué de mon temps !
punaise je ne laissé jamais de commentaire mais là, j'ai l'impression de me faire arnaqué de mon temps !
AMCHI
Après les très bons Bone Tomahawk et Section 99, voici le 3ème film de S. Craig Zahler, réalisateur qui dès son premier film a su se démarquer.
Avec Traîné sur le bitume, il nous concocte un excellent polar noir à l'américaine et l'on retrouve avec grand plaisir Mel Gibson dans un bon rôle, il joue au côté de Matthew Vaughn, 2 flics aux méthodes un peu rugueuses mais efficaces contre les voyous.
Seulement ils dépassent les bornes et décident vu l'injustice qu'ils subissent (selon eux) de passer outre la loi et de voler des gangsters.
Bien sur, cela ne va pas être aussi facile que cela et tout va partir à la dérive. En parallèle, on suit le parcours d'un noir venant juste de sortir de prison et son chemin croisera celui des 2 policiers suspendus de leur fonction.
Comme dans les précédents films du réalisateur, on retrouve son style fait d'un mélange de lenteur et de tension car de suite s'installe un climat assez nerveux bien que la première heure soit un peu étirée voire calme.
Des phases de bavardages assez longues comme la planque en voiture des policiers, il y a un relent de Tarantino dans ses scènes puis soudainement ce polar bascule et devient très tendu.
Avec en plein milieu une scène qui peut sembler être sortie de nulle part, Jennifer Carpenter joue une employée de banque devant retourner au boulot après son congé maternité et elle se retrouve en plein braquage intense et violent.
Les flics poursuivront les braqueurs pour se terminer sur une fusillade particulièrement réussie.
Traîné sur le bitume malgré une longueur un peu excessif et une scène finale inutile est une très bonne surprise, du polar comme on en voit plus assez au cinéma.
Avec Traîné sur le bitume, il nous concocte un excellent polar noir à l'américaine et l'on retrouve avec grand plaisir Mel Gibson dans un bon rôle, il joue au côté de Matthew Vaughn, 2 flics aux méthodes un peu rugueuses mais efficaces contre les voyous.
Seulement ils dépassent les bornes et décident vu l'injustice qu'ils subissent (selon eux) de passer outre la loi et de voler des gangsters.
Bien sur, cela ne va pas être aussi facile que cela et tout va partir à la dérive. En parallèle, on suit le parcours d'un noir venant juste de sortir de prison et son chemin croisera celui des 2 policiers suspendus de leur fonction.
Comme dans les précédents films du réalisateur, on retrouve son style fait d'un mélange de lenteur et de tension car de suite s'installe un climat assez nerveux bien que la première heure soit un peu étirée voire calme.
Des phases de bavardages assez longues comme la planque en voiture des policiers, il y a un relent de Tarantino dans ses scènes puis soudainement ce polar bascule et devient très tendu.
Avec en plein milieu une scène qui peut sembler être sortie de nulle part, Jennifer Carpenter joue une employée de banque devant retourner au boulot après son congé maternité et elle se retrouve en plein braquage intense et violent.
Les flics poursuivront les braqueurs pour se terminer sur une fusillade particulièrement réussie.
Traîné sur le bitume malgré une longueur un peu excessif et une scène finale inutile est une très bonne surprise, du polar comme on en voit plus assez au cinéma.
Le fait que ses films aient été distribués directement en vidéo chez nous pourrait laisser l’impression que S.Craig Zahler est un simple mercenaire de séries B monté en graine, alors qu’il se montre au contraire notoirement plus subtil et plus honnête dans le regard sans concessions qu’il jette sur le monde que la majeure partie des cinéastes “domestiqués”. On l’avait aussi un peu oublié depuis ‘Bone tomahawk’ mais...S.Craig Zahler fait des films très longs, très bavards, surtout compte tenu du genre auquel ils sont affiliés. Le simple fait qu’on manifeste une certaine surprise, voire une certaine retenue vis-à-vis de la pertinence de cette façon de procéder constitue un témoignage en soi de la recherche de concision et d’efficacité parfois absurde qui prévaut aujourd’hui. Zahler prend tout son temps, dévoile méthodiquement les moindres caractéristiques de ses (anti)héros, ne rechigne pas au long tunnel de dialogues, ni à la digression - en apparence, seulement - gratuite, suggère symboliquement plus qu’il n’explicite la manière dont on pourrait interpréter ses films. Enfin, quand il a l’impression qu’il risque de lasser ou d’endormir le spectateur, il lâche brusquement la bride à l’horreur ou l’ultra-violence, sans crier gare, avant de reprendre fermement les rênes du scénario. Impact garanti. Que pourrait-on encore apporter au film de braquage aujourd’hui ? Des figures tragiques, peut-être ? Comme Ridgeman, le flic mis à pied pour violence, père d’une gamine elle-même victime de violences, dans leur quartier pourri par la violence du système, et qu’un autre système, qui ne reconnaît pas ce que lui-même voit comme des mérites, ne lui permet pas de quitter. Son partenaire, Luraseti, prêt à tout pour se marier, pour disposer d’au moins un repère stable dans un monde mouvant ou Henri, le petit braqueur noir qui tente de garder la tête hors de l’eau, dont le frère est paraplégique et la mère se prostitue, et qui est prêt à n’importe quoi pour les tirer du marasme. On n’est pas certain d’avoir envie de leur trouver des circonstances atténuantes, à ces trois salopards mais ils oeuvrent tous pour leur survie, où la survie de ceux auxquels ils tiennent. On comprend pourquoi. On ferait sans doute pareil, à leur place. Ils se débattent, mais ils sont prisonniers. De leur préjugés. De leur racisme. Du système qui leur crache à la gueule. De la violence qui réclame encore plus de violence en retour. De l’impossibilité de trouver une autre issue de secours que l’argent. ‘Traîné sur le bitume” est un film de l’ère Trump, pas parce qu’il soutient les valeurs qui s’en réclament, mais parce qu’il a compris un peu plus vite que les autres dans quoi l’Amérique avait sombré, et qu’il l’expose crûment, sans prendre de précautions oratoires ou narratives : aujourd’hui, il n’y a que la loi du plus fort, ou du plus futé, ou du plus menteur, qui puisse encore prévaloir. Oui, ‘Traîné sur le bitume’ reste un banal film de braquage. En plus, il est trop long. Il est trop écrit. On s’y amuse moins que dans un numéro de la franchise ‘Ocean’ ou un ‘Point Break’ (oui, même le remake), et il n’a pas la classe d’un ‘Heat’ ou d’un ‘Collateral’. Pourtant, on s’en souviendra comme du polar de mauvaise mine qui a peut-être le mieux rendu compte d’une fin de cycle, et du nihilisme crépusculaire qui l’accompagnait.
Surprenant, non pas par l'histoire qui n'est pas très originale, mais, le film prend à contre courant se qui se fait aujourd'hui. Il prend son temps, il n'y a pas de l'action à tout va, de brèves scènes qui vont prendre sens au fur et à mesure que le film prend tournure. De la dérision dans ce duo de flics, avec des répliques pinces sans rires et sarcastiques. Malgré une durée assez importante, on ne s'ennuie pas, pas le chef d'œuvre qui bouleversera le genre, mais on a plaisir à retrouer Mel GIBSON assez rare au cinéma.
Les critiques accablantes on failli me faire manquer ce très bon thriller policier. Prenant du début à la fin. Montage et la mise en scène nous guident dans une logique qui n'est pas celle qu'on attend. Une excellente surprise de plus de 2h30 qu'il ne faut pas avoir peur d'affronter.
Dik ap Prale
Stratégiquement tourné comme un polar HK, la première partie vraiment mollassone laisse une très mauvaise sensation de réussite, pourtant lors de l'assaut et durant une pleine heure on se régale de l'intensité obtenue.
Son truc à S. Craig Zahler, c'est mettre en scène des personnages lambda et les faire échanger des banalités jusqu'à ce que l'hémoglobine coule à flot, accompagnée bien souvent d'un zeste de body-horror. Son cinéma, sûrement inspiré des Tarantino et autres frères Coen, a été jusqu'ici pour moi quitte ou double : "Bone Tomahawk" était trop lent et souffrait d'un rythme trop bâtard. En revanche, même si sur 2h30, quelques longueurs se font également ressentir, "Traîné sur le bitume" est un très bon polar noir, sombre et violent où les destins de plusieurs personnages s'entremêlent , un peu à la façon d'un Pulp Fiction. On retiendra un rythme assez lent également mais plus travaillé que "Bone Tomahawk" et la bonne idée de prendre le temps de bien développer au moins quelques personnages car certains segments sont anecdotiques
spoiler:
(coucou Jennifer Carpenter)
. Si les scènes de braquage sont très bonnes, la fin est un peu forcée ; ils y auraient gagné à couper la toute dernière scène, un peu too much. Côté casting, c'est pas mal de noms déjà connus de beaucoup : Mel Gibson, Laurie Holden, Vince Vaughn etc... mais cela dit, si tous font leur boulot, pas de quoi crier au génie non plus. En dépit du fait que la durée se fait parfois ressentir, "Traîné sur le bitume" est un plutôt un bon thriller néo-noir.
. Si les scènes de braquage sont très bonnes, la fin est un peu forcée ; ils y auraient gagné à couper la toute dernière scène, un peu too much. Côté casting, c'est pas mal de noms déjà connus de beaucoup : Mel Gibson, Laurie Holden, Vince Vaughn etc... mais cela dit, si tous font leur boulot, pas de quoi crier au génie non plus. En dépit du fait que la durée se fait parfois ressentir, "Traîné sur le bitume" est un plutôt un bon thriller néo-noir.
Un polar apre assez étonnant. Un bon moyen pour revoir Mel Gibson à l écran et se dire à quel point c est dommage de ne plus le voir . Sans doute la narration méritait d etre plus soutenue et avec un vrai point de vue. C est bien réalisé néanmoins un peu de longueur.
Une grosse surprise que fut ce "Traîné sur le bitume", je m'attendais à un énième film de flic ripoux/gentil, un énième film de braquage a grand renfort d'explosion et de gros pétard. Mais quel joie de découvrir finalement une ambiance et des personnages extrêmement bien travaillé. On comprend directement dés les première minutes qu'on assistera pas a un film classique. Le réalisateur prend le temps de posé une ambiance lourde, il prend le temps de développé ses personnages et forcément cela ce ressent sur le rythme qui peut paraître un peu lent, mais tous cela n'est fait que pour mieux nous éblouir dans sont ensemble. Pas d'avalanche de scènes d'actions ici, mais un polar sombre qui réussit à nous emporter dans son histoire grâce à la puissance de sa mise en scène et de son scénario. Et quand l'action survient c'est d'autant plus jouissif que c'est rare et totalement maîtrisé. La scène du braquage est un plaisir a regarder tant cette séquence est efficace et tranche avec le climat plutôt lent du récit.
spoiler:
le personnage de Kelly Summer jouer part Jennifer Carpenter qu'on nous introduit juste avant le braquage pour la faire mourir quelques minutes après est une idée génial, on ne si attend absolument pas, et pourtant il prend encore une fois le temps de bien développer ce personnage.
. Les dialogues sont eux aussi savoureux et l'idée de faire Brett Ridgeman tous calculer en pourcentage est assez fun. Toute la scène devant le hangars est d'une tension folle avec pourtant uniquement des plans fixe.
Quelques petit bémol sur l'histoire du mariage entre le personnage interprété par Vince Vaughn et sa femme que j'ai trouvé superflu et un dialogue a ce sujet qui vient un peu cassé une scène clef du film.
Toute la scène final aurais aussi pu a mon sens être enlever, je trouve qu'elle n'apporte rien de plus a l'histoire et termine le film sur une note un peu différente de toute l'ambiance du film, dommage....
Mais dans l'ensemble un film admirable qui ne plairas pas a tous le monde pour sur, mais qui sait ce différencier et ce distinguer de la masse et sa aujourd'hui c'est une qualité rare.
. Les dialogues sont eux aussi savoureux et l'idée de faire Brett Ridgeman tous calculer en pourcentage est assez fun. Toute la scène devant le hangars est d'une tension folle avec pourtant uniquement des plans fixe.
Quelques petit bémol sur l'histoire du mariage entre le personnage interprété par Vince Vaughn et sa femme que j'ai trouvé superflu et un dialogue a ce sujet qui vient un peu cassé une scène clef du film.
Toute la scène final aurais aussi pu a mon sens être enlever, je trouve qu'elle n'apporte rien de plus a l'histoire et termine le film sur une note un peu différente de toute l'ambiance du film, dommage....
Mais dans l'ensemble un film admirable qui ne plairas pas a tous le monde pour sur, mais qui sait ce différencier et ce distinguer de la masse et sa aujourd'hui c'est une qualité rare.
Qu'est-il arrivé à l'histoire dans Traîné sur le bitume ? J'attends toujours après avoir vu ce long trajet vers nulle part. Des erreurs massives comme le personnage de Vince Vaughn colorant lui-même ses cheveux. C'est la preuve que sans une écriture décente les bons acteurs tâtonnent aussi. Ce film montre comment des personnages de Scooby Do interprètent des actions humaines. Il est préférable d'avertir le public de ce festival de banlieue. Bataille d'armes à feu ridicule vers la fin. Je voulais tellement profiter de ce film pour voir Mel Gibson mais ce n'était pas la faute des acteurs car l'écriture était vraiment mauvaise...
Assez bon polar, très linéaire, mais qui est lent, lent...scènes à n'en plus finir en voiture, en fourgon...on termine en se disant 'tout ça pour ça?'. Même la bande-son est assez moyenne.
Vieillissant et apparemment fatigué, Mel Gibson n’est pas du tout dans le film. On dirait qu’il joue à contrecœur.
Lent et trop long. Aucune émotion. Les méchants en rajoutent des tonnes.
[spoiler][Et tout ça pour qu’un petit frère d’une crapule puisse jouer à la PlayStation sur écran géant pendant que sa maman se fait masser face à l’océan ?/spoiler]
Lent et trop long. Aucune émotion. Les méchants en rajoutent des tonnes.
[spoiler][Et tout ça pour qu’un petit frère d’une crapule puisse jouer à la PlayStation sur écran géant pendant que sa maman se fait masser face à l’océan ?/spoiler]
Découverte alléchante du festival de Beaune.
Un casting vraiment attrayant qui est très bon à l'écran (je parle évidemment du duo Vaughn/ Gibson).
Le film mais peut-être un peu de temps à réellement se lancer , mais une fois partie il change de registre. Passant du film polar de base à une pseudo violence aussi visuelle que technique, dans le style d'un Wedding Refn.
a découvrir.
Un casting vraiment attrayant qui est très bon à l'écran (je parle évidemment du duo Vaughn/ Gibson).
Le film mais peut-être un peu de temps à réellement se lancer , mais une fois partie il change de registre. Passant du film polar de base à une pseudo violence aussi visuelle que technique, dans le style d'un Wedding Refn.
a découvrir.
2h30 de vide ou les personnages (impressionnants par leurs flegmes et manque d'émotions à toutes epreuves) sont perdues dans une mise en scène laborieuse essayant de rattraper l'absence de scenario par de lents plans inutiles. un film d'une platitude complète sans aucun intérêt, eg ce jusqu'à la toute fin.
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