Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Critikat.com
par Axel Scoffier
Si "12 jours" documente évidemment aussi la misère sociale des marges de notre société et la profonde solitude de certains, il nous place également face à la découverte de corps et d’esprits qui luttent pour retrouver une autonomie dans la « norme ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Des instantanés d'une humanité bouleversante.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Grand film sur l'enfermement, la relativité de la folie et les limites de la justice, "12 jours" pose ces questions (entre autres) et ne s'oublie pas de sitôt après avoir été vu. Un documentaire d'utilité publique.
Positif
par Louise Dumas
(...) un film comme "12 jours" est tout aussi nécessaire que la loi de 2013 qu'il prend pour sujet.
Première
par Gael Golhen
Au-delà de son sujet passionnant, c'est l'un des plus beaux films de l'année.
Transfuge
par Frédéric Mercier
L’un des plus beaux films de l’année.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
La force du film est de recueillir ces paroles qui, allant tout de travers, disent la vérité des souffrances autant que le délire du monde qui les produit et les entretient.
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
En filmant pour la première fois ces audiences, Raymond Depardon autorise la parole de personnes marginales et isolées, et pourtant si proches de nous, à être entendue.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Digne et éclairant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
La grande force de Raymond Depardon, ancien photographe de guerre, est de réussir à ne pas influer sur l'instant qu'il filme. Sans que l'on comprenne vraiment comment, il réussit à passer inaperçu, à ne rien modifier malgré sa présence et celle des caméras.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
La misère humaine filmée par Depardon n'est pas une humanité misérable. Elle trouble, émeut, interroge.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Boëton
L’humanité qui se dégage de ces audiences est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sur l’écran, la détresse, l’enfance saccagée, la souffrance au travail, l’abus de pouvoir se fraient un chemin entre l’incompréhension et la colère. L’émotion est alors à son comble !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la ligne de plusieurs de ses films précédents, Raymond Depardon filme ces rencontres et capte la souffrance, la misère et la vulnérabilité qui s’y font jour, l’humour aussi qui parfois s’en dégage, faisant naître tout autant l’émotion que le sourire ; et il fait partager comme une communauté d’humanité.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les auditions, entrecoupées d’images dans l’hôpital, donnent un récit formellement répétitif mais captivant pour ce qu’il dit de notre société et jamais voyeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Entre ces magnifiques portraits humains, Depardon filme les couloirs vides de l’hôpital, la cour banale de l’établissement, les rues avoisinantes, la brume du petit matin qui se répand sur un mobilier urbain anonyme.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Aussi troublant que saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Ce documentaire intense, à la croisée du judiciaire et du psychiatrique, est un bouleversant témoignage de la souffrance psychique qui interroge tout un chacun sur ses propres failles et limites.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Peu de films sollicitent autant le regard du spectateur, teste à ce point les affects et la capacité d'émettre un jugement. Depardon sait qu'il ne nous met pas à une place confortable. Pourtant, il nous revient aussi la responsabilité de nous confronter à ces êtres meurtris, à ne pas les oublier. Sont-ils si éloignés de nos vies ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Depardon ne distribue pas bons ou mauvais points. Il fait rimer respect et compassion avec une humanité qui, une fois encore, force le respect.
Télérama
par Jacques Morice
Les dialogues peuvent se révéler cocasses, émaillés de lapsus, de malentendus, d’incompréhension réciproque. Une forme de théâtre de l’absurde émerge alors, une autre logique de pensée, de langage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Si une rétrospective de films était organisée sur le thème de la folie, 12 jours y aurait une place de choix, quelque part entre Vol au-dessus d’un nid de coucou et Shock Corridor.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Ces "12 Jours" se bornent à n'être que des témoignages.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
On n'est pas obligé de voir dans 12 jours un profond constat sociologique, même si l'employée d'Orange pose la question de la souffrance au travail. Ce sont les histoires individuelles qui touchent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Critikat.com
Si "12 jours" documente évidemment aussi la misère sociale des marges de notre société et la profonde solitude de certains, il nous place également face à la découverte de corps et d’esprits qui luttent pour retrouver une autonomie dans la « norme ».
Femme Actuelle
Des instantanés d'une humanité bouleversante.
Marianne
Grand film sur l'enfermement, la relativité de la folie et les limites de la justice, "12 jours" pose ces questions (entre autres) et ne s'oublie pas de sitôt après avoir été vu. Un documentaire d'utilité publique.
Positif
(...) un film comme "12 jours" est tout aussi nécessaire que la loi de 2013 qu'il prend pour sujet.
Première
Au-delà de son sujet passionnant, c'est l'un des plus beaux films de l'année.
Transfuge
L’un des plus beaux films de l’année.
Cahiers du Cinéma
La force du film est de recueillir ces paroles qui, allant tout de travers, disent la vérité des souffrances autant que le délire du monde qui les produit et les entretient.
Culturopoing.com
En filmant pour la première fois ces audiences, Raymond Depardon autorise la parole de personnes marginales et isolées, et pourtant si proches de nous, à être entendue.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Digne et éclairant.
Franceinfo Culture
La grande force de Raymond Depardon, ancien photographe de guerre, est de réussir à ne pas influer sur l'instant qu'il filme. Sans que l'on comprenne vraiment comment, il réussit à passer inaperçu, à ne rien modifier malgré sa présence et celle des caméras.
L'Obs
La misère humaine filmée par Depardon n'est pas une humanité misérable. Elle trouble, émeut, interroge.
La Croix
L’humanité qui se dégage de ces audiences est bouleversante.
La Voix du Nord
Sur l’écran, la détresse, l’enfance saccagée, la souffrance au travail, l’abus de pouvoir se fraient un chemin entre l’incompréhension et la colère. L’émotion est alors à son comble !
Le Dauphiné Libéré
Dans la ligne de plusieurs de ses films précédents, Raymond Depardon filme ces rencontres et capte la souffrance, la misère et la vulnérabilité qui s’y font jour, l’humour aussi qui parfois s’en dégage, faisant naître tout autant l’émotion que le sourire ; et il fait partager comme une communauté d’humanité.
Le Journal du Dimanche
Les auditions, entrecoupées d’images dans l’hôpital, donnent un récit formellement répétitif mais captivant pour ce qu’il dit de notre société et jamais voyeur.
Le Monde
Entre ces magnifiques portraits humains, Depardon filme les couloirs vides de l’hôpital, la cour banale de l’établissement, les rues avoisinantes, la brume du petit matin qui se répand sur un mobilier urbain anonyme.
Le Parisien
Aussi troublant que saisissant.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire intense, à la croisée du judiciaire et du psychiatrique, est un bouleversant témoignage de la souffrance psychique qui interroge tout un chacun sur ses propres failles et limites.
Les Inrockuptibles
Peu de films sollicitent autant le regard du spectateur, teste à ce point les affects et la capacité d'émettre un jugement. Depardon sait qu'il ne nous met pas à une place confortable. Pourtant, il nous revient aussi la responsabilité de nous confronter à ces êtres meurtris, à ne pas les oublier. Sont-ils si éloignés de nos vies ?
Studio Ciné Live
Depardon ne distribue pas bons ou mauvais points. Il fait rimer respect et compassion avec une humanité qui, une fois encore, force le respect.
Télérama
Les dialogues peuvent se révéler cocasses, émaillés de lapsus, de malentendus, d’incompréhension réciproque. Une forme de théâtre de l’absurde émerge alors, une autre logique de pensée, de langage.
aVoir-aLire.com
Si une rétrospective de films était organisée sur le thème de la folie, 12 jours y aurait une place de choix, quelque part entre Vol au-dessus d’un nid de coucou et Shock Corridor.
L'Express
Ces "12 Jours" se bornent à n'être que des témoignages.
Le Figaro
On n'est pas obligé de voir dans 12 jours un profond constat sociologique, même si l'employée d'Orange pose la question de la souffrance au travail. Ce sont les histoires individuelles qui touchent.