Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Transfuge
par Nathalie Dassa
La mise en scène, l’économie de dialogues, le travail virtuose sur la lumière et la musique installent une tension permanente crescendo. L’ensemble transforme le film de Török en un devoir de mémoire, dont l’urgence et la nécessité sont accentuées, et non esthétisées, par la perfection formelle, au même titre que "Le Fils de Saul" de son compatriote László Nemes.
L'Obs
par François Forestier
Ferenc Török, magistralement, souligne la violence secrète, la culpabilité rampante d'un groupe social. Pour les juifs, éternels errants, il ne reste qu'une solution : la route. Fidèle à son titre, le film est d'une justesse à la fois émouvante et enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un noir et blanc qui ajoute à la froideur de la situation, un regard pénétrant sur la mauvaise conscience d’un pays, confronté à ses plus noirs fantômes.
Positif
par Bernard Génin
Un film salubre et efficace donc, apparemment simple tranche de vie ordinaire mais qui témoigne avec force, sans discours, avec des images fortes (...).
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
On pourrait s'attendre à un film sinistre. Il n'en est rien. C'est avant tout un réjouissant jeu de massacre dans lequel chaque personnage semble avoir quelque chose à se reprocher.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
La Juste Route est un film curieux. Une forme de western hongrois, d’austère facture, tourné en noir et blanc, respectueux de la règle des trois unités.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Malgré la description convenue de certains personnages, qui frôle le cliché, et malgré une intrigue finalement assez prévisible, le film parvient à convaincre grâce à une mise en scène précise et à une esthétique jouant intelligemment sur les contrastes du noir et blanc.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
1945. Au lendemain de la guerre, l’arrivée de deux Juifs dans un village hongrois affole ses habitants qui, conformément à la législation nazie, ont réquisitionné leurs propriétés. Malgré sa forme lacunaire, le film traite justement un sujet trop rarement évoqué.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baure
La caméra du hongrois Ferenc Török ausculte ces rapports de force à l’aide d’une mise en scène sobre mais efficace. Sa caméra sait garder ses distances avec ce qui se joue et ne cherche jamais à battre la mesure de ces protagonistes déboussolés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Isabelle Regnier
Pourquoi un tel récit aujourd’hui ? Pourquoi tant d’abjection, dépeinte avec un tel détachement ? Mystère.
Transfuge
La mise en scène, l’économie de dialogues, le travail virtuose sur la lumière et la musique installent une tension permanente crescendo. L’ensemble transforme le film de Török en un devoir de mémoire, dont l’urgence et la nécessité sont accentuées, et non esthétisées, par la perfection formelle, au même titre que "Le Fils de Saul" de son compatriote László Nemes.
L'Obs
Ferenc Török, magistralement, souligne la violence secrète, la culpabilité rampante d'un groupe social. Pour les juifs, éternels errants, il ne reste qu'une solution : la route. Fidèle à son titre, le film est d'une justesse à la fois émouvante et enthousiasmante.
Le Dauphiné Libéré
Dans un noir et blanc qui ajoute à la froideur de la situation, un regard pénétrant sur la mauvaise conscience d’un pays, confronté à ses plus noirs fantômes.
Positif
Un film salubre et efficace donc, apparemment simple tranche de vie ordinaire mais qui témoigne avec force, sans discours, avec des images fortes (...).
Studio Ciné Live
On pourrait s'attendre à un film sinistre. Il n'en est rien. C'est avant tout un réjouissant jeu de massacre dans lequel chaque personnage semble avoir quelque chose à se reprocher.
Télérama
La Juste Route est un film curieux. Une forme de western hongrois, d’austère facture, tourné en noir et blanc, respectueux de la règle des trois unités.
Cahiers du Cinéma
Malgré la description convenue de certains personnages, qui frôle le cliché, et malgré une intrigue finalement assez prévisible, le film parvient à convaincre grâce à une mise en scène précise et à une esthétique jouant intelligemment sur les contrastes du noir et blanc.
Les Fiches du Cinéma
1945. Au lendemain de la guerre, l’arrivée de deux Juifs dans un village hongrois affole ses habitants qui, conformément à la législation nazie, ont réquisitionné leurs propriétés. Malgré sa forme lacunaire, le film traite justement un sujet trop rarement évoqué.
Première
La caméra du hongrois Ferenc Török ausculte ces rapports de force à l’aide d’une mise en scène sobre mais efficace. Sa caméra sait garder ses distances avec ce qui se joue et ne cherche jamais à battre la mesure de ces protagonistes déboussolés.
Le Monde
Pourquoi un tel récit aujourd’hui ? Pourquoi tant d’abjection, dépeinte avec un tel détachement ? Mystère.