L’intrigue totalement débile est digne de n’importe quel teen-movie. C’est crétin, assurément vulgaire et gênant du début à la fin.
Le Paquet (2018) met en scène une bande de potes qui parte faire du camping lors du spring break. Dès le premier soir, les ennuis commencent. L’un des garçons se coupe accidentellement le pénis, ses amis vont alors se démener pour sauver son membre et faire que ce dernier retrouve son heureux propriétaire.
Un film qui narre l’histoire d’un zizi sectionné… en dehors de faire sourire quelques boutonneux pré-pubère… Le film est réellement dénué d’intérêt. Ma curiosité m’a poussé à voir cette purge et je le regrette amèrement (foutu confinement, si je n’étais pas cloitré chez moi, je ne serais pas là à m’abrutir devant pareilles conneries).
C’est littéralement le nivellement par le bas des dialogues en passant par l’intrigue, c’est tellement con & absurde, que le film ne cesse de nous surprendre. Que penser de la séquence où
l’une des filles, après avoir retrouvé le bout de pénis, décide de le faire sécher au-dessus du feu de camps (bah oui, c’est drôle de faire rôtir un zizi comme une vulgaire chipolata) ou alors, la scène du serpent à sonnette qui mort le pénis, obligeant l’un des protagonistes à sucer le pénis pour y retirer le venin
(je ne veux pas faire ma prude effarouchée, mais pour un film destiné aux ados, je trouve que cela va trop loin).
Si les comédies écervelées, les blagues de b!te (et autres situations sous la ceinture) et les innombrables plans sur un zizi sectionné (la magie des effets prosthetics permettent en effet, de voir les protagonistes s’affairer autour du zgeg, de le toucher, le laver, le sucer, le conserver dans différents contenants, le partager tel un vulgaire relais lors d’une course de fond) ne vous effraye pas, dans ce cas, cette purge devrait vous faire sourire, pour les autres, passez votre chemin, il en va de votre santé mentale.
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