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Un visiteur
0,5
Publiée le 13 janvier 2019
Incompréhensible... Ce film n’a ni queue ni tête. Un scénario criblé de trous. De l’ultra violence injustifiée. Des acteurs perdus dans leur personnage . On essaye visiblement de faire passer ce ratage pour un film profond où il faut réfléchir pour comprendre les sens caches des scènes ... a éviter de toute urgence
Une belle bouse. Je précise on ne comprends rien, on dirait un essai de rendre profond une histoire qui n el'est pas en rajoutant des scènes violentes, sans aucune explication logique. C'est vraiment une sacré bouse.
film interminable, sans rhytme, sans scénario, incompréhensible, illisible. Un gâchis pelliculaire. ..... quelques belles images sous la neige mais c'est tout. Comment un tel film peut il trouver un financement.?
Ce film est incroyable, ne connaissant pas la filmographie de Jeremy Saunier, je ne peux donc pas comparer ce film à d'autres qu'il a déjà pu supervisé, mais je peux d'hors et déjà dire que ce "Aucun homme, ni dieu" est exceptionnel sur plusieurs points. En effet, d'une part, la mise en scène est exceptionnelle, on a une tension constante avec de nombreux rebondissement qui nous surprennes tous. De plus, la tension glaciale, pesante rend le tout hyper réaliste et le cadrage nous fait découvrir différents paysages sur la montagne, le village, le ciel, tout en étant sublimé par une musique juste parfaite puisqu'elle est intense lors des scènes d'actions, bestiales et douce voire mélodrame lors des phases plus intimistes et reposant sur le scénario. Les acteurs sont tous exceptionnels et arrivent à donner de la profondeur à leur personnage. Les scènes d'actions sont hyper réalistes, gores, sans pour autant tombé dans le surréalisme et le non concret car le maquillage des impacts de balles sur la peau est très reussi, les sons de fusillades sont assez stridentes, on ressent la scène comme si on y était. Ce qui est le plus réussi dans tout ce film est bien évidemment ce qu'il veut démontrer, c'est à dire la frontière entre la civilisation et la bestialité ou encore la frontière entre l'Homme et l'animal,où on constate que cette limitation est assez restreinte et que l'Homme peut devenir animal assez rapidement, ici représenté par le spoiler: masque de loup . Dommage que le film possède quelques longueurs mais ces dernières ne m'ont pas dérangés, car j'essayais de comprendre le film qui se veut assez complexe mais si on suit le film et que l'on arrive à comprendre chaque détails, alors le film devient vite compréhensible mais pour cela il faut être concentré et ne pas faire autre chose en même temps. Toutefois ces longueurs peuvent en déconcerté certains mais de la à mettre des 2/5 c'est inadmissible car le film a en réalité très peu de défaut et le montage du scénario est très bien soigné. Un gros bravo à ce film qui aurait pu être un chef d'œuvre pour ma part si le film aurait été plus explicite dans certains moments et si les longueurs aurait été moins flagrantes.
Une histoire de loups en Alaska. On ne le répétera jamais assez, un film c'est d'abord une bonne histoire, et un bon réalisateur doit savoir mettre cette histoire en image. Deuxième axiome : le film doit se suffire à lui-même sans qu'on ait besoin d'une grille de lecture, d'un mode d'emploi ou de lire des commentaires autorisés. Or force est de constater qu'ici c'est loin d'être le cas, on n'y comprend rien, ça n'a rien de passionnant, l'empathie ne fonctionne pas. Le réalisateur semble ici avoir pris un malin plaisir à suivre une autre voie que celle du "bien raconté", c'est de se dire "plus c'est lent, plus c'est abscons et plus ce sera apprécié ! Le cinéma en serait donc là ? Il y a de belles images, et une longue et amusante (si on la prend au second degré) scène de gunfight, mais c'est tout et ça ne nous fait pas un film.
On ne peut concevoir un film que par la "destruction". "Aucun homme ni dieu" détruit toute possibilité de constructions scénaristiques, finalement ce n'est qu'un enchaînement de violences sans explications réels ou fantastiques. Je dois dire que c'est difficile de juger des acteurs qui n'ont aucune réelle scènes de dialogues, ou d'expressions. Je comprend pas comment ce film à pu se concrétiser, tant il ne repose sur rien...
Ce film présente une extrême violence injustifiée.L'histoire de ce film est incompréhensible, le seul fil conducteur est de faire défiler des scènes de massacre, meurtres etc.. Le seul point positifs sont les paysages et la beauté des loups, mais ces derniers sont utilisés à des fins particulièrement malsaines et non justifiées.
Encore un film qui n'est qu'une enveloppe creuse: pas de scénario, des personnages insensés et sans crédibilité aucune, des événements bout à bout qui ne créent aucune histoire. Le tout sur fond de carte postale du Grand Nord.
Un véritable navet à la Netflix. Pourtant tout est là pour en faire un bon film. Bons acteurs, bonne inteigne, ambiance stressante bien rendue. Mais la fin ! La fin... A la Netflix. Rien n'est expliqué et on n'y comprend rien. Deux heures de perdues...
Je n'ai aucun souvenir des deux films que j'ai vu de Saulnier (Blue Ruin, que j'avais pourtant aimé et Green Room, qui m'avait laissé un peu plus indifférent) et je crains que je ne garde plus de souvenirs de celui-ci. En fait le synopsis me donnait vraiment envie, un mec avec des loups en plein Alaska hivernal, il y a de quoi susciter l'intérêt de n'importe qui.
Sauf que le film ce n'est pas ça et ça tombe bien, j'aime être surpris. C'est rare les films où en fait le synopsis c'est juste les vingt premières minutes à tout péter et après on est en terrain inconnu. Surtout que là c'est assez difficile de voir où veut en venir Saulnier. Le spectateur est donc constamment sur le qui-vive en train d'essayer de comprendre où va mener tout ce beau bordel. La sensation est agréable, surtout que c'est pas mal exécuté et qu'on a quelques séquences qui rendent assez bien et sont assez intenses (tout autant qu'elles sont surprenantes). Je pense notamment à une séquence de fusillade totalement extrême que je n'avais absolument pas vue venir et qui est assez longue, sans musique si je me souviens bien, ce qui lui permet de faire siffler le bruit des balles et de marquer le spectateur à chaque impact. Bref, Saulnier connaît son métier.
Malgré un petit côté faussement posé, un peu lent, le film n'est jamais chiant, parce qu'il arrive à se renouveler constamment et à être assez généreux dans la violence brute.
La fin est également très réussie, recentrant finalement l'intrigue qui partait dans tous les sens et qui était peut-être un peu cryptique car les enjeux n'étaient pas explicites, sur ce qui est essentiel. De ce point de vue là c'est une franche réussite. Bien que ça m'ait laissé l’œil sec.
Après, le film est comme je l'ai dit un peu cryptique, il n'explique pas tout, ce qui est une bonne chose, on ne nous prend pas par la main en nous disant pourquoi ceci ou pourquoi cela, mais à force de brouiller les pistes, peut-être qu'il perd un peu son spectateur et de son efficacité. Surtout qu'on a quand même des trucs trop bizarres filmés en gros plan pour que le spectateur puisse juste les ignorer.
Peut-être que c'est le genre de film qui sera mieux reçu dans quelques années, une fois qu'il aura décanté, que les gens sauront à quoi s'attendre, parce que ce n'est pas mauvais, juste surprenant par rapport à quoi l'on pouvait s'attendre. Même si je ne dirais pas que c'est bien non plus...
Il faut tout de suite préciser que les esprits trop cartésiens ou les personnes n’étant pas fans des récits en pointillés où tout n’est pas expliqué en long, en large et en travers doivent passer leur chemin au risque d’être perdus. Car pour apprécier ce film, il faut aimer être perdu (un peu comme dans « Donnie Darko » ou « Mulholland Drive » mais en moins extrême tout de même). Le cas contraire ils seront frustrés et pourraient ne pas apprécier cette œuvre pour le moins étrange et différente à sa juste valeur. En effet, cette adaptation du livre « Hold the dark » fait le choix d’être opaque, de donner très peu de clés de compréhension à son spectateur et de lui laisser l’opportunité de recoller les morceaux du puzzle par lui-même en se focalisant sur l’ambiance. Il ne s’agit pas de trous dans le scénario mais d’un choix assumé du scénariste Macom Blair et du réalisateur Jérémy Saulnier, découverts avec le prometteur et singulier « Blue Ruin » et le plus clivant et raté « Green Room ». Avec « Aucun homme ni Dieu » il livre clairement son film le plus abouti visuellement et le plus mystérieux sur le plan narratif.
Le mystère entretenu par le film est clairement addictif. De plus, le contexte original, la teneur de l’histoire et la sublime mise en scène rendent le film hypnotique. Les zones d’ombres sur l’intrigue et la conclusion sibylline et abrupte lui vont bien et amplifient ce ressenti, le rendant encore plus intrigant et envoutant. Le récit se déroule dans un bled reculé d’Alaska. Froid glacial et étendues de neige sont donc évidement au rendez-vous mais aussi une ambiance presque mystique, due à la présence des nations autochtones. Cela donne à « Aucun homme ni Dieu » une palette et un cachet pleinement originaux. Le film est toujours à la lisière du fantastique et certaines visions baroques imprègnent durablement la rétine (l’épouse nue au masque de loup, la scène de la grotte, les loups et leur comportement, …). Et la réalisation de Saulnier magnifie ses décors en plus de prendre son temps, pour bien nous immerger dans ce contexte rare. Chaque plan est minutieusement réglé et donne une esthétique irréprochable au long-métrage.
Mais au-delà de l’aspect purement visuel, on est bluffé par chacune des séquences de ce film très particulier et complètement imprévisible. C’est parfois d’une violence sèche et imprévisible à la Tarantino (sans l’humour), puis soudainement on passe à une énorme et très longue fusillade qui en met plein la vue par sa puissance, on dévie sur un affrontement très spécial avec des loups ou encore on se voit offrir des séquences quasi-mystiques et terrifiantes, tout cela sans pour autant tomber dans des ruptures de ton inappropriées (ici cela demeure très sombre et sérieux). « Aucun homme ni Dieu » coche toutes les cases d’un cinéma différent et magistralement réussi qui nous prend continuellement par surprise. Encore une fois, si bien sûr on est à la recherche d’autre chose, d’une histoire non balisée baignée dans une atmosphère inquiétante et froide. Les deux heures du film passent vite pour qui adhère et on aurait juste voulu quelques indices supplémentaires pour ne pas avoir à lire le livre pour mieux comprendre. Hormis cela, tentez cette histoire passionnante, différente et esthétiquement irréprochable.
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On ne sait pas trop à quoi s'attendre en démarrant ce film, on se dit, allez une chasse au loup en Alaska, au pire, on verra de beaux paysages, au mieux on pourra être surpris et découvrir un bon film. Et bien c'est ni l'un ni l'autre. Le film prend le partit d'une histoire de légende autour des loups, mais qui ne sert la cause que de psychopathes, on ne comprend pas les motivations des uns et des autres, et les scènes de violences gratuites n'apporte rien sinon un peu de rythme à un récit assez soporifiques. Et avec tout cela on a une fin qui se termine en eaux de boudin. Encore une fois, je ne comprends les avis favorable sur Netflix.
Je ne m'attendais pas du tout à ça : spoiler: une multitude de retournements de situation et coups de théâtre , de nombreuses métaphores Hommes/loups, un décor sublime, et quelques zones d'ombres qui n’empêchent pas de savourer ce film, zones d'ombres éclaircies en grande partie si on a lu le livre ( spoiler: je vous recommande aussi l'article sur le film "que signifie la fin" sur le site de Première ). La scène de la fusillade est à couper le souffle, et la barbarie (spoiler: du père ) est sans égal. Bref, un bon film, qui sort des sentiers battus de par son coté imprévisible, où les loups et les hommes ne semblent pas si éloignés!
2 h de perdues . Le début est prometteur : climat angoissant , visage fermés , enfant disparu , loups errants.... on envisage toutes les pistes... mais les promesses ne sont pas tenues ... Qu'apporte la séquence en Irak ? A part le flic tous les autres sont sous tranxène ou quoi ?? C'est mou, on a envie de foutre des baffes pour que ça bouge et que ça parle.... Et que dire du massacre à la mitrailleuse lourde , ok ça bouge mais à quoi ça rime ? Incohérent comme la suite et fin du film. Rien à comprendre, rien compris.