Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit film plein de subtilité et de charme, où l’on a plaisir à retrouver Jean Sorel et à découvrir Lolita Chammah, qui a la voix et les traits de sa mère, Isabelle Huppert.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Une romance sensible et raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Anne Diatkine
Avec l’histoire d’amour entre une jeune provinciale et un vieux libraire, Elise Girard filme un Paris fantasmatique et suranné, parsemé de détails anachroniques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Après "Belleville Tokyo", ouvertement autobiographique, Élise Girard garde un pied dans le vécu avec ce deuxième film (...) sans se priver d'aménager ce vécu à sa guise (...).
Télérama
par Guillemette Odicino
Grâce au grand chef opérateur Renato Berta, Paris redevient cette ville lumière, de jour comme de nuit, avec ses ponts, ses quais et ses vieilles façades d'immeubles d'éternelle capitale de cinéma. Godard est là, aussi, dans des instants fugaces et burlesques (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une poésie scénaristique parfois surlignée mais portée par une mise en scène légère et primesautière. Du charme, un rien gracile mais délicieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Sans forcer le trait, sans pour autant tomber dans la simplification, Élise Girard assume un art naïf qui, s’il ne transcende pas le médium cinématographique, a au moins le mérite d’éviter tout racolage formaliste, préférant capter la poésie qui se dégage naturellement des lieux et des interprètes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Des oiseaux tombent régulièrement du ciel, les rues sont étrangement vides, on escamote un cadavre, Paris ressemble à un décor de théâtre. Tout cela, en même temps, est si fragile, si délicat. On se demande parfois où le film veut nous mener. Peut-être à rien d’autre que cette image d’une fille qui pleure au cinéma, devant le cruel "A bout de course", de Sidney Lumet, près d’un jeune homme qui se dispose à la réconforter.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Le film d’Élise Girard fait à ces “Drôles d’oiseaux” un drôle de nid d’amour. Réjouissant !
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Elise Girard habite ce scénario ténu avec une mise en scène buissonnière, flâneuse, respirant à amples bouffés, bien servie par la lumière splendide de Renato Berta et la mussique jazzy de Bertrand Burgalat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Dauphiné Libéré
Un petit film plein de subtilité et de charme, où l’on a plaisir à retrouver Jean Sorel et à découvrir Lolita Chammah, qui a la voix et les traits de sa mère, Isabelle Huppert.
Le Figaro
Une romance sensible et raffinée.
Libération
Avec l’histoire d’amour entre une jeune provinciale et un vieux libraire, Elise Girard filme un Paris fantasmatique et suranné, parsemé de détails anachroniques.
Positif
Après "Belleville Tokyo", ouvertement autobiographique, Élise Girard garde un pied dans le vécu avec ce deuxième film (...) sans se priver d'aménager ce vécu à sa guise (...).
Télérama
Grâce au grand chef opérateur Renato Berta, Paris redevient cette ville lumière, de jour comme de nuit, avec ses ponts, ses quais et ses vieilles façades d'immeubles d'éternelle capitale de cinéma. Godard est là, aussi, dans des instants fugaces et burlesques (...).
L'Obs
Une poésie scénaristique parfois surlignée mais portée par une mise en scène légère et primesautière. Du charme, un rien gracile mais délicieux.
La Septième Obsession
Sans forcer le trait, sans pour autant tomber dans la simplification, Élise Girard assume un art naïf qui, s’il ne transcende pas le médium cinématographique, a au moins le mérite d’éviter tout racolage formaliste, préférant capter la poésie qui se dégage naturellement des lieux et des interprètes.
Le Monde
Des oiseaux tombent régulièrement du ciel, les rues sont étrangement vides, on escamote un cadavre, Paris ressemble à un décor de théâtre. Tout cela, en même temps, est si fragile, si délicat. On se demande parfois où le film veut nous mener. Peut-être à rien d’autre que cette image d’une fille qui pleure au cinéma, devant le cruel "A bout de course", de Sidney Lumet, près d’un jeune homme qui se dispose à la réconforter.
Les Fiches du Cinéma
Le film d’Élise Girard fait à ces “Drôles d’oiseaux” un drôle de nid d’amour. Réjouissant !
Les Inrockuptibles
Elise Girard habite ce scénario ténu avec une mise en scène buissonnière, flâneuse, respirant à amples bouffés, bien servie par la lumière splendide de Renato Berta et la mussique jazzy de Bertrand Burgalat.