Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Abdelwahab Medded s’est éteint en novembre 2014. Bénédicte Pagnot a composé ses accords au montage. Il n’y a pas de dernier mot. Des nuages que survole une aile d’argent. Un chant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Eric Chopin
Le voyage documentaire de Bénédicte Pagnot suggère, à sa façon, douce et bienveillante, des passerelles entre les civilisations. Il apporte sa pierre à la lutte contre l’obscurantisme et la méconnaissance, sources de tant de conflits. C’est un voyage salutaire, d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Un documentaire sensible sur l’Islam, entre tradition et modernité
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
La richesse d’une culture face à la pauvreté des slogans islamistes : le film restitue toute l’ampleur et la beauté de l’Islam, le vrai. Bénédicte Pagnot livre ici, amoureusement, sa vision d’une religion pacifiée. Mais est-il encore temps de renverser la perception d’une large partie du public ? C’est toute la question.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Bénédicte Pagnot a souhaité faire un portrait sensible d’Abdelwahab Meddeb. Mais cette œuvre confuse ne fait pas honneur à cette figure qui plaidait pour un Islam des Lumières ouvert à la pluralité des mondes.
Libération
par Luc Chessel
Film bienvenu dans sa démarche (...). "Islam pour mémoire" de Bénédicte Pagnot ne mène pas à bien toutes ses promesses : voulant dire beaucoup de choses essentielles, le film au final en montre peu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Thomas Sotinel
A chaque fois, la réalisatrice tente d’extraire un élément qui viendrait conforter l’image qu’elle se fait d’un islam idéal, tolérant et pluriel. Presque jamais elle ne filme ce qui vient affaiblir ce rêve, et sa démonstration unilatérale s’en trouve d’autant affaiblie qu’elle est jalonnée de longues digressions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Les intentions sont louables et le propos fait preuve d'un discernement certain. La mise en scène, hélas, est banale, et le plus souvent, décousue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Abdelwahab Medded s’est éteint en novembre 2014. Bénédicte Pagnot a composé ses accords au montage. Il n’y a pas de dernier mot. Des nuages que survole une aile d’argent. Un chant.
Ouest France
Le voyage documentaire de Bénédicte Pagnot suggère, à sa façon, douce et bienveillante, des passerelles entre les civilisations. Il apporte sa pierre à la lutte contre l’obscurantisme et la méconnaissance, sources de tant de conflits. C’est un voyage salutaire, d’actualité.
aVoir-aLire.com
Un documentaire sensible sur l’Islam, entre tradition et modernité
L'Obs
La richesse d’une culture face à la pauvreté des slogans islamistes : le film restitue toute l’ampleur et la beauté de l’Islam, le vrai. Bénédicte Pagnot livre ici, amoureusement, sa vision d’une religion pacifiée. Mais est-il encore temps de renverser la perception d’une large partie du public ? C’est toute la question.
Les Fiches du Cinéma
Bénédicte Pagnot a souhaité faire un portrait sensible d’Abdelwahab Meddeb. Mais cette œuvre confuse ne fait pas honneur à cette figure qui plaidait pour un Islam des Lumières ouvert à la pluralité des mondes.
Libération
Film bienvenu dans sa démarche (...). "Islam pour mémoire" de Bénédicte Pagnot ne mène pas à bien toutes ses promesses : voulant dire beaucoup de choses essentielles, le film au final en montre peu.
Le Monde
A chaque fois, la réalisatrice tente d’extraire un élément qui viendrait conforter l’image qu’elle se fait d’un islam idéal, tolérant et pluriel. Presque jamais elle ne filme ce qui vient affaiblir ce rêve, et sa démonstration unilatérale s’en trouve d’autant affaiblie qu’elle est jalonnée de longues digressions.
Télérama
Les intentions sont louables et le propos fait preuve d'un discernement certain. La mise en scène, hélas, est banale, et le plus souvent, décousue.