Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
People That Are Not Me séduit par sa fraîcheur et son audace. (…) Il révèle ses personnages dans leur humanité et leurs contradictions en s’écartant de toute approche moralisatrice et en évitant, comme toute bonne comédie, de donner des leçons.
Critikat.com
par Pierre-Julien Marest
Hadas Ben Aroya a su parler d’elle sans fards ni artifices.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"People that are not me" est un film qui prend le risque d'interroger cette expérience fondatrice de l'intime. Et c'est merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Un premier film très audacieux.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le premier long-métrage d’Hadas Ben Aroya se révèle une tragi-comédie drolatique et débordante de vie.
Libération
par Jérémy Piette
Et pour cause, cette romcom forme un tout, ramdam de sentiments, concis, vif, une grosse heure qui file, comme un amour d’été, frôle les corps, les doutes, et colle au cul nul des pérégrinations et paroles éméchées entendues de chambres en boîtes de nuit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ophir Levy
Par son aplomb, son absence de fausse pudeur et son sens aigu du dispositif, Hadas Ben Aroya, 30 ans, se distingue parmi les jeunes figures du cinéma israélien.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Portrait de l’intimité d’une jeune génération en mal d’affection, People That Are Not Me fascine par son humour insolent et cafardeux. De quoi faire de la jeune cinéaste Hadas Ben Aroya une référence du cinéma indépendant israélien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une vraie fausse autofiction portée par l'écriture mordante de la réalisatrice et interprète principale. Derrière la cocasserie mélancolique de cet autoportrait, la cinéaste dit vouloir évoquer l'Israël d'aujourd'hui. C'est la limite du film, cette dimension "sociétale" manquant un peu de corps et de densité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En brossant la chronique amoureuse et sexuelle de Joy (interprétée par la réalisatrice aux airs de Vimala Pons), l’œil grinçant mais tendre de la caméra décrypte la contradiction des sentiments et la lâcheté de ses personnages sans jamais les condamner.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Le charme de cette comédie acide doit beaucoup à l’énergie de son actrice-réalisatrice sans tabous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rien de très nouveau, mais un essai encourageant pour la réalisatrice qui interprète également, avec justesse, le personnage principal.
Cahiers du Cinéma
People That Are Not Me séduit par sa fraîcheur et son audace. (…) Il révèle ses personnages dans leur humanité et leurs contradictions en s’écartant de toute approche moralisatrice et en évitant, comme toute bonne comédie, de donner des leçons.
Critikat.com
Hadas Ben Aroya a su parler d’elle sans fards ni artifices.
Culturopoing.com
"People that are not me" est un film qui prend le risque d'interroger cette expérience fondatrice de l'intime. Et c'est merveilleux.
La Septième Obsession
Un premier film très audacieux.
Le Monde
Le premier long-métrage d’Hadas Ben Aroya se révèle une tragi-comédie drolatique et débordante de vie.
Libération
Et pour cause, cette romcom forme un tout, ramdam de sentiments, concis, vif, une grosse heure qui file, comme un amour d’été, frôle les corps, les doutes, et colle au cul nul des pérégrinations et paroles éméchées entendues de chambres en boîtes de nuit.
Positif
Par son aplomb, son absence de fausse pudeur et son sens aigu du dispositif, Hadas Ben Aroya, 30 ans, se distingue parmi les jeunes figures du cinéma israélien.
aVoir-aLire.com
Portrait de l’intimité d’une jeune génération en mal d’affection, People That Are Not Me fascine par son humour insolent et cafardeux. De quoi faire de la jeune cinéaste Hadas Ben Aroya une référence du cinéma indépendant israélien.
L'Obs
Une vraie fausse autofiction portée par l'écriture mordante de la réalisatrice et interprète principale. Derrière la cocasserie mélancolique de cet autoportrait, la cinéaste dit vouloir évoquer l'Israël d'aujourd'hui. C'est la limite du film, cette dimension "sociétale" manquant un peu de corps et de densité.
Les Inrockuptibles
En brossant la chronique amoureuse et sexuelle de Joy (interprétée par la réalisatrice aux airs de Vimala Pons), l’œil grinçant mais tendre de la caméra décrypte la contradiction des sentiments et la lâcheté de ses personnages sans jamais les condamner.
Télérama
Le charme de cette comédie acide doit beaucoup à l’énergie de son actrice-réalisatrice sans tabous.
Le Journal du Dimanche
Rien de très nouveau, mais un essai encourageant pour la réalisatrice qui interprète également, avec justesse, le personnage principal.