Paris est une fête - un film en 18 vagues : Critique presse
Paris est une fête - un film en 18 vagues
Note moyenne
2,9
9 titres de presse
Les Fiches du Cinéma
Libération
L'Humanité
Les Inrockuptibles
L'Obs
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Studio Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Splendide poème visuel et méditation sur l’époque, “Paris est une fête” est à ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Il fabrique sous leur signe ses films élémentaires, entre deux feux ou entre deux eaux, contre tout ce qui veut confisquer la terre qu’on foule et l’air qu’on respire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Emile Breton
Certains regretteront peut-être l’âpreté des premiers films de Sylvain George, cette rage qui lui faisait lever le poing devant le courage des guerriers qu’étaient pour lui les émigrés de Calais (Qu’ils reposent en révolte, 2010). À tort. Après la rage le temps doit venir pour la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Si un jour des archéologues du futur veulent savoir à quoi ressemblait la France d’entre, disons, 2015 et 2016, ils iront regarder Paris est une fête –un film en 18 vagues de Sylvain George.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par François Forestier
Complètement en dehors du système narratif habituel, "Paris est une fête" est fascinant, à condition de se laisser embarquer. C’est dur, engagé, généreux : du cinéma de combat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Sylvain George fait saillir l’émotion de Paris est une fête à de multiples reprises. En revanche, le film ne parvient pas à échapper à un effet de collection où les images se côtoient parfois en silence dans une temporalité effilochée qui les dilue.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) on se demande si tous ces sujets ne deviennent pas de simples prétextes pour un réalisateur en quête d’une posture, cherchant davantage à vendre une proposition esthétique qu’à véritablement approcher les sujets auxquels il prétend s’intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce film au noir et blanc très laid passe en revue les derniers événements qui ont touché la capitale. Avec un effet répétitif qui finit par lasser et noyer son message.
Télérama
par Jérémie Couston
En noir et blanc et en dix-huit tableaux tantôt concrets tantôt abstraits, le réalisateur filme pêle-mêle les migrants chassés par la police, les manifestations qui dérapent, les prises de parole hésitantes, sans qu'on sache jamais vraiment ce qu'il cherche à déclarer ou dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Splendide poème visuel et méditation sur l’époque, “Paris est une fête” est à ne pas manquer.
Libération
Il fabrique sous leur signe ses films élémentaires, entre deux feux ou entre deux eaux, contre tout ce qui veut confisquer la terre qu’on foule et l’air qu’on respire.
L'Humanité
Certains regretteront peut-être l’âpreté des premiers films de Sylvain George, cette rage qui lui faisait lever le poing devant le courage des guerriers qu’étaient pour lui les émigrés de Calais (Qu’ils reposent en révolte, 2010). À tort. Après la rage le temps doit venir pour la réflexion.
Les Inrockuptibles
Si un jour des archéologues du futur veulent savoir à quoi ressemblait la France d’entre, disons, 2015 et 2016, ils iront regarder Paris est une fête –un film en 18 vagues de Sylvain George.
L'Obs
Complètement en dehors du système narratif habituel, "Paris est une fête" est fascinant, à condition de se laisser embarquer. C’est dur, engagé, généreux : du cinéma de combat.
Cahiers du Cinéma
Sylvain George fait saillir l’émotion de Paris est une fête à de multiples reprises. En revanche, le film ne parvient pas à échapper à un effet de collection où les images se côtoient parfois en silence dans une temporalité effilochée qui les dilue.
Critikat.com
(...) on se demande si tous ces sujets ne deviennent pas de simples prétextes pour un réalisateur en quête d’une posture, cherchant davantage à vendre une proposition esthétique qu’à véritablement approcher les sujets auxquels il prétend s’intéresser.
Studio Ciné Live
Ce film au noir et blanc très laid passe en revue les derniers événements qui ont touché la capitale. Avec un effet répétitif qui finit par lasser et noyer son message.
Télérama
En noir et blanc et en dix-huit tableaux tantôt concrets tantôt abstraits, le réalisateur filme pêle-mêle les migrants chassés par la police, les manifestations qui dérapent, les prises de parole hésitantes, sans qu'on sache jamais vraiment ce qu'il cherche à déclarer ou dénoncer.