Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
A l’instar de Carla Simon Pipó parvenant à mettre en images ses vertiges du passé, cet été revêt pour la fillette la valeur de l’apprentissage : faire face à ses propres émotions, apprendre à faire confiance pour enfin mettre des mots sur ses tourments.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
L'apprentissage du deuil, puis celui d'une nouvelle vie, évidemment difficile malgré les meilleures volontés, sont filmés à hauteur d'enfant, avec beaucoup de sensibilité, de pudeur et de silences.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier film d’une totale maîtrise, dans son sens de l’observation comme dans sa narration.
Paris Match
par Yannick Vely
La petite Frida vous bouleversera dans ce très beau film espagnol à hauteur d'enfant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Ilan Malka
Le film est concentré sur ses sensations, son besoin d'amour dissimulé sous une façade glaciale. L'émotion monte crescendo jusqu'à un final déchirant.
Bande à part
par Isabelle Danel
C’est l’histoire d’un malheur, d’un choix et d’une renaissance ; la tristesse intrinsèque du contexte est contrebalancée par une image lumineuse, solaire. Quant à la jeune Laia Artigas, elle a dans les yeux des orages à faire peur et des sourires à faire fondre une banquise.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une œuvre autobiographique d’une grande fraîcheur dont le charme tient à son naturel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dans son premier film, primé à la dernière Berlinade, Carla Simón parle de sa propre enfance. Et c'est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui a le juste regard pour traduire la douleur de l’enfance, née de l’incompréhension devant la mort, sans pour autant verser sur la pente de l’émotion facile ni dans les pièges du mélo.
Le Figaro
par Nathalie Simon
La réalisatrice espagnole Carla Simon signe son premier film, chronique émouvante de l'enfance face au deuil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le résultat est aussi solaire qu'intense. Et si l'ensemble tient debout, c'est aussi par la présence de ces deux incroyables gamines. Elles ont tout compris à la vie et au rôle qu'elles y joueront.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Dans la vieille maison de campagne espagnole, Carla Simon Pipó va suivre pas à pas cette petite fille, l’accompagner dans tous ses jeux, épouser tous ses vices, avec une stupéfiante acuité documentaire. Il s’agit non seulement de filmer l’enfance sans rien atténuer de sa sauvagerie (…), mais aussi de guetter l’accomplissement du deuil et son modus operandi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Le film doit aussi beaucoup à ses petites actrices, assez formidables. Leur justesse est notamment rendue possible par de longs plans-séquences où elles semblent oublier la caméra pour éprouver l’instant comme l’éprouvent leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par La Rédaction
Malgré un sujet propice au sentimentalisme et aux surenchères lacrymales, l'Espagnole Carla Simon Pipo évoque subtilement le travail du deuil d'une héroïne juvénile.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Un premier film juste, sobre et émouvant.
Première
par Sylvestre Picard
C'est ainsi que le film parvient subtilement à débusquer une émotion pure : comment le deuil le plus brutal qui soit ne finira plus qu'à être un mauvais souvenir d'enfance, comme les autres, perdu dans la chaleur d'un été brûlant, comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Carla Simón a le bon goût de rejeter le pathos pour privilégier les sensations de la fillette dans sa découverte de la forêt, dans ses relations conflictuelles ou complices avec sa nouvelle famille, puis dans l'acceptation du deuil et du chagrin. Une retenue qui se révèle très émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un film bucolique infiniment délicat et poignant sur le difficile réapprentissage du bonheur, tourné à hauteur de bouclettes, avec une scène de fin magnifique.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une réflexion sincère et épurée sur la cruauté de la vie vue à travers le regard d’un enfant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Des longueurs nuisent quelque peu au rythme du film mais le sujet traité nécessite de laisser le temps aux personnages de s’installer dans leurs nouveaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
A terme, "Eté 93" s’avère un beau film sur les puissances du refoulement. Le travail imperceptible qui s’opère dans la psyché de Frida n’est autre que le lent et tortueux cheminement d’une émotion contenue qui finit par éclater au grand jour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
A l’instar de Carla Simon Pipó parvenant à mettre en images ses vertiges du passé, cet été revêt pour la fillette la valeur de l’apprentissage : faire face à ses propres émotions, apprendre à faire confiance pour enfin mettre des mots sur ses tourments.
Femme Actuelle
L'apprentissage du deuil, puis celui d'une nouvelle vie, évidemment difficile malgré les meilleures volontés, sont filmés à hauteur d'enfant, avec beaucoup de sensibilité, de pudeur et de silences.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film d’une totale maîtrise, dans son sens de l’observation comme dans sa narration.
Paris Match
La petite Frida vous bouleversera dans ce très beau film espagnol à hauteur d'enfant.
Transfuge
Le film est concentré sur ses sensations, son besoin d'amour dissimulé sous une façade glaciale. L'émotion monte crescendo jusqu'à un final déchirant.
Bande à part
C’est l’histoire d’un malheur, d’un choix et d’une renaissance ; la tristesse intrinsèque du contexte est contrebalancée par une image lumineuse, solaire. Quant à la jeune Laia Artigas, elle a dans les yeux des orages à faire peur et des sourires à faire fondre une banquise.
L'Humanité
Une œuvre autobiographique d’une grande fraîcheur dont le charme tient à son naturel.
L'Obs
Dans son premier film, primé à la dernière Berlinade, Carla Simón parle de sa propre enfance. Et c'est bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui a le juste regard pour traduire la douleur de l’enfance, née de l’incompréhension devant la mort, sans pour autant verser sur la pente de l’émotion facile ni dans les pièges du mélo.
Le Figaro
La réalisatrice espagnole Carla Simon signe son premier film, chronique émouvante de l'enfance face au deuil.
Le Parisien
Le résultat est aussi solaire qu'intense. Et si l'ensemble tient debout, c'est aussi par la présence de ces deux incroyables gamines. Elles ont tout compris à la vie et au rôle qu'elles y joueront.
Les Inrockuptibles
Dans la vieille maison de campagne espagnole, Carla Simon Pipó va suivre pas à pas cette petite fille, l’accompagner dans tous ses jeux, épouser tous ses vices, avec une stupéfiante acuité documentaire. Il s’agit non seulement de filmer l’enfance sans rien atténuer de sa sauvagerie (…), mais aussi de guetter l’accomplissement du deuil et son modus operandi.
Libération
Le film doit aussi beaucoup à ses petites actrices, assez formidables. Leur justesse est notamment rendue possible par de longs plans-séquences où elles semblent oublier la caméra pour éprouver l’instant comme l’éprouvent leurs personnages.
Marianne
Malgré un sujet propice au sentimentalisme et aux surenchères lacrymales, l'Espagnole Carla Simon Pipo évoque subtilement le travail du deuil d'une héroïne juvénile.
Ouest France
Un premier film juste, sobre et émouvant.
Première
C'est ainsi que le film parvient subtilement à débusquer une émotion pure : comment le deuil le plus brutal qui soit ne finira plus qu'à être un mauvais souvenir d'enfance, comme les autres, perdu dans la chaleur d'un été brûlant, comme les autres.
Télérama
Carla Simón a le bon goût de rejeter le pathos pour privilégier les sensations de la fillette dans sa découverte de la forêt, dans ses relations conflictuelles ou complices avec sa nouvelle famille, puis dans l'acceptation du deuil et du chagrin. Une retenue qui se révèle très émouvante.
Voici
Un film bucolique infiniment délicat et poignant sur le difficile réapprentissage du bonheur, tourné à hauteur de bouclettes, avec une scène de fin magnifique.
aVoir-aLire.com
Une réflexion sincère et épurée sur la cruauté de la vie vue à travers le regard d’un enfant.
Critikat.com
Des longueurs nuisent quelque peu au rythme du film mais le sujet traité nécessite de laisser le temps aux personnages de s’installer dans leurs nouveaux rôles.
Le Monde
A terme, "Eté 93" s’avère un beau film sur les puissances du refoulement. Le travail imperceptible qui s’opère dans la psyché de Frida n’est autre que le lent et tortueux cheminement d’une émotion contenue qui finit par éclater au grand jour.