Mon compte
    La Douleur
    Note moyenne
    2,8
    2713 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Douleur ?

    197 critiques spectateurs

    5
    30 critiques
    4
    33 critiques
    3
    38 critiques
    2
    39 critiques
    1
    38 critiques
    0
    19 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    O l.
    O l.

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 février 2018
    Est ce du cinéma d’auteur ? Ou un biopic ? On ne sait pas. C’est ennuyeux au possible !
    On pense assister à un film retraçant une partie de la femme résistante engagée ? Non notre romancière est obsédée par le retour d’un homme ( son mari) qu’elle avait décidé de quitter avant son arrestation ...
    A éviter absolument
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 février 2018
    Quelle déception ! Nous ne attendions pas du tout à ça. Film long, monotone, ennuyeux à dormir avec de mauvais plans, des flous (pas artistiques) à n'en plus finir, des grincements de violon en guise de musique, pas d'action : tout est inerte. Les personnages qui fument sans arrêt. Plus de 2 h pour nous raconter les états d'âme d'une femme qui attend le retour de son mari ! Mon ami et moi avons "supporté" ce navet vaillamment pendant 1h30 mais, n'en pouvant plus, nous sommes partis avant la fin ! Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas assisté à une telle nullité... Les pseudo-intellectuels vont, par contre, peut être crier "au génie"... mais j'ai beau chercher, je ne le trouve pas ce génie !...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 février 2018
    Un film sans véritable intérêt, une histoire longue et monotone. Une séance interminable et soporifique qui ne vaut pas le coup d'être vu au cinéma. Dommage, le synopsis était prometteur...
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 février 2018
    Un sujet très grave et très danse , un drame humain sur fond de fin de conflit , une bouleversante histoire sur le retour des prisonniers des camps, une Mélanie sublime, mais : les images en flou (non artistique) qui vous ulcèrent les yeux, les grincements qui servent de musique vous ulcèrent les oreilles et une mise en scène insupportable font de cette réalisation un gâchis total .Quel dommage de se servir d'un tel sujet pour en arriver là.
    Ladyoscar L.
    Ladyoscar L.

    5 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2018
    Un film rugueux et délicat qui évite avec brio les écueils de l’adaptation. Mélanie Thierry offre une performance rare, la mise en scène avec une caméra au plus près des corps et qui joue sur les floues nous fait ressentir à chaque plans le décalage par rapport à la réalité que vit Marguerite. Avec elle, nous tentons de ne pas sombrer face à l’attente.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2018
    Encore un film extrêmement ennuyeux ,c'est vrai la douleur de marguerite est aussi la notre .c'est sinistre et glauque de revoir cette période qu'on connait par cœur grâce aux documents historiques vus à la télé qui nous émeuvent beaucoup ça pour ça ,on sort choqué par la contradiction entre l'acharnement pour retrouver son mari et son rejet quand il revient des camps,drôle de d'action ,Mélanie thierry pleurniche tout au long du film en quête de l'homme de sa vie pour demander le divorce à son retour???
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    59 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2018
    Plus pour les écrits de Duras que pour le casting, je me décide à voir ce film. On va de surprises en surprises, que de trouvailles, que d'astuces pour faire passer au spectateur un moment à part. Le casting est excellent notamment Benjamin Biolay qui se révèle être excellent pour les drames ( voir "numéro une" récemment), un charisme et une gueule. Mélanie Thierry et Benoît Magimel chargé de porter le film sur leurs épaules ne sont pas en reste non plus. On sort du film marqué par de nombreux sentiments comme la tristesse, l'interrogation. Mais ce qu'on ressent le mieux c'est la douleur, le titre ne pouvait pas viser plus juste ! L'année ne fait que commencer mais cette "douleur" doit faire figure d'épouvantail du cinéma français car il le mérite légitimement. Ceux qui ont vu et apprécié "Hiroshima mon amour" d'Alain Resnais y verront un parallèle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2018
    Un grand réalisateur. Le film est puissant, intelligent, tout en subtilité et en nuance. Une adaptation audacieuse, complexe et une forme nouvelle. Des acteurs habités. Un vrai parti-pris de mise en scène. Un film rare, une merveille de cinéma, exigeante et bouleversante, Merci!
    Rudi J
    Rudi J

    15 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2018
    un énième film sur les heures les plus sombres. n'apporte rien, et surtout, on se demande pendant tout le film: "mais pourquoi ?".
    Philippe Delbos 83
    Philippe Delbos 83

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2018
    Juste extraordinaire... par où commencer ? L'histoire : contexte : Marguerite Duras voit son mari arrêté et déporté en 1944. Ce sont des résistants, au même titre que Dionys Mascolo, lecteur chez Gallimard, François Mitterrand, alias Morland, et d'autres. Tout ce petit monde se réunit régulièrement pour organiser des actions de résistance. Intrigue : c'est l'histoire de la douleur de Marguerite qui attend et espère le retour de son mari. Des thèmes peu abordés généralement sont ici très bien traités : 1) le fantasme, celui qui nous fait vivre un instant à venir possible avant de replonger dans la réalité dans les deux minutes qui suivent. Par exemple, vers la fin du film, la descente d'escalier de Marguerite. Ou encore le début du film (l'affiche). 2) La résistance qui ne supporte pas De Gaulle, celui-ci n'ayant cure des revenants des camps. C'est le créneau qu'occupera François Mitterrand pour se démarquer de De Gaulle. Cette critique est permanente dans le film. C'est un film Mitterrandien. Jusqu'à la critique des fonctionnaires parachutés de Londres (au sens figuré) qui sont dans la négation de cette douleur. 3) à Paris, les portraits de Pétain n'étaient pas si nombreux, il y avait aussi beaucoup de portraits d'Hitler... et les collabos ont mis du temps à partir. Très beau traitement de ce court moment où l'on ne savait plus qui était le maître, 'le flic'. 4) La relation amoureuse (je n'en dis pas plus...). La voix off est parfaite. La reconstitution est très impressionnante : exemple : Avoir trouvé ce document sonore de l'époque, document sur le Japon... etc... Les points forts de ce film : 1) la photographie : le cinéaste nous fait tout, et l'utilisation du flou est magnifique. Chaque plan, chaque manière de poser la caméra donne du sens. Beaucoup de plans rapprochés, caméra derrière les volets (d'un côté la fête, de l'autre l'angoisse ou le drame, celui que De Gaulle veut cacher), contre plongée -la descente d'escalier-). Egalement la manière de filmer la peau du visage de Marguerite, Mélanie Thierry, extraordinaire et très séduisante actrice qu'il me semblait bien avoir vu quelque-part... eh oui, dans le non moins formidable 'au revoir là-haut', précédent film où elle a joué... Où cela va-t-il s'arrêter ? Je m'en vais de ce pas regarder quel est son prochain tournage... car le second point fort, ce sont les acteurs 2) Avec Mélanie Thierry, avons-nous trouvé notre Hanna Schygulla ? Rôle consistant, où les expressions du visage tiennent parfaitement le film durant plus de 2h00. Quant à Benjamin Biolay, il peut tout de suite arrêter la chanson : Il révèle un personnage profond, solide, travaillé... 3) la bande son : n'attendez pas de voir ce film à la télé ou en DVD, vous raterez la bande son, et tout ces petits détails, comme le tic tac dans la chambre, sur la gauche; le genre de détail qui compte dans la perfection d'un film. 4) l'originalité dans le traitement d’événements si souvent traités au cinéma... 5) le traitement cinématographique d'une oeuvre littéraire : c'est très réussit, ça donne envie de lire Duras, ça fait presque peur de ne pas y retrouver toutes les dimensions du film.
    Philippe G.
    Philippe G.

    7 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    Il manque quelque chose pour qu'on soit réellement ému par le film, ce qui lui aurait ferait prendre une autre dimension. Néanmoins le film a de la qualité et certains passages font penser a du grand cinéma comme la dernière rencontre de Marguerite avec Benoit Magimel au restaurant ( tout sonne juste des collaborateurs jusqu'aux résistants qui attendent le bon moment ) jusqu'à leur sortie et le départ à vélo de Marguerite dans un Paris désert ou le personnage de Mme Katz qui pourrait valoir un césar a l' actrice dans un second rôle...l'année prochaine ! Un bon film aussi pour découvrir le style de Marguerite Duras..tres compréhensible ici !
    momo M.
    momo M.

    40 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    Une adaptation très réussie, un bonheur de littérature et de cinéma. Je n'apprécie pas les voix off dans le cinéma en général, mais ici, le texte de Duras est mis en valeur. Il y a de l'action dans ce film malgré ce qu'en pense quelques mauvaises critiques. L'occupation, la résistance, la fin de la guerre,et le retour des déportés cette période a déjà été beaucoup montrée au cinéma mais jamais avec un tel talent .
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Un film long,très long, trop long ...
    Faut-il nécessairement aller au cinéma pour subir au final une narration.
    A force de voir beaucoup de flou et d'ombres, on finit par décrocher, un exemple: Antelme est un personnage central de l'histoire, Finkiel le montre mais on ne le voit quasiment jamais. Par contre, Marguerite Duras ( tres bien jouée ici par Mélanie Thierry), en parle beaucoup en voix off.
    Autre aspect, le film subit une grosse rupture de rythme quand Benoit Magimel disparait de l'écran.
    Accumulation de scènes d'appartement et de restaurant.
    Au final, l'oeuvre de MD est mal rendue par un film qui ne fonctionne pas.
    Xavier C
    Xavier C

    5 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Ennuyeux et long. je n’ai pas accroché avec l’ambiance sinistre ni les gros plan sur le teint cireux des personnages qui fument en pemenacence dans des apparts poussiéreux. Certainement une bonne représentation de l’ambiance lourde de l’occupation allemande mais ce film ne nous a pas plu.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2018
    Marguerite Duras se défendait d’avoir travaillé son texte de La Douleur et affirmait l’avoir écrit dans un état et à un moment dont elle ne se souvenait pas…Après l’arrestation de son mari Robert Antelme, elle avait tenu régulièrement son journal qui relatait sa douleur de l’attente…le texte ne sera publié qu’en 1985, Marguerite Duras a entre temps pu réécrire son texte à partir de ses cahiers de guerre et d’évènements vécus ou inventés, et fut même accusée de mentir pour appuyer sa douleur et enfoncer son mari dont elle s’était séparé entre temps…Emmanuel Finkiel a adapté ce texte, conscient du subtil équilibre entre la fiction créée par Marguerite Duras et sa réalité biographique…Nous sommes en juin 1944 à Paris, aux derniers jours de l’occupation allemande, l’écrivain Robert Antelme, mari de Marguerite Duras et figure majeure de la résistance est arrêté et déporté…sa jeune épouse est tiraillée par l’angoisse de ne pas avoir de ses nouvelles, elle rencontre un agent français de la Gestapo, Rabier, et prête à tout pour retrouver son mari se met à l’épreuve d’une relation ambiguë avec cet homme trouble, qui se dit le seul à pouvoir l’aider. Il est formidablement interprété par un Benoît Maginel , salaud au charme reptilien qui, comme dans cette scène, se faufile au milieu de la foule pour susurrer quelques mots à l’oreille de Marguerite …La fin de la guerre et les premiers retours des camps sont pour Marguerite, le début d’une insoutenable attente, une lente et silencieuse agonie au milieu des réjouissances de la libération de Paris…
    Pourquoi alors ce film donne-t-il l’impression d’une telle langueur ? Pourquoi cette voix off, trop présente qui reproduit le phrasé durassien très caractéristique, traduisant le ressenti de Duras dans de longs monologues très travaillés pour corriger ce que les images ne peuvent exprimer. .. Pourquoi ce flou, systématisé en choix d’écriture, ce flou qui entoure Marguerite qui se dédouble entre la Marguerite qui observe et celle qui agit, ce flou qui restreint la profondeur du champ pour ne garder que la clarté du récit…J’ai trouvé cela profondément ennuyeux sinon agaçant…
    Certes il y a la performance de Mélanie Thierry, qui est de tous les plans et parfois même se dédoublant sur le même plan, d’une justesse parfaite dans ce rôle…Il a fallu que je me replonge dans la biographie de Marguerite Duras pour apprendre que Dionys Mascolo était son amant et son futur mari après son divorce d’avec Robert Antelme…Dans le film le personnage reste en demi teinte, campé par un Benjamin Biolay au regard sombre et parfois suffisant…Il y aussi le personnage éminemment touchant de madame Katz, la vieille femme qui attend le retour impossible de sa fille. Est-elle dans le récit durassien ? Malgré le coté pathétique du personnage, il n’apporte rien au récit biographique…
    Une fois encore, devant une adaptation d’une œuvre littéraire, je m’interroge sur l’intérêt de me plonger dans l’ouvrage original même si les deux heures du film, pendant lesquelles j’ai souvent regardé ma montre, ne m’en donnent guère le courage…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top