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30 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Puissant et singulier, "La Douleur" est un immense film de cinéma et de littérature, un moment suspendu, à la fois glaçant et brûlant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Magnifique adaptation du récit autobiographique de Marguerite Duras.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Faisant le lien avec l’ensemble de son œuvre, Emmanuel Finkiel signe un grand film sur l’absence dont on ne guérit jamais.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’adaptation intense et aiguë d’une des oeuvres les plus fortes de Marguerite Duras, qui en restitue superbement, par Mélanie Thierry, la voix, et qui élargit la douleur, individuelle, d’une femme qui, dans le temps même de cette aussi longue absence, aime un autre homme, à celle, collective, de tout un pays qui n’a pas su, ou pas voulu savoir…
Libération
par Anne Diatkine
Dans cette superbe adaptation du roman autobiographique de l’écrivaine, Emmanuel Finkiel recrée l’atmosphère inquiète de la Libération de Paris.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Loup Bourget
Emmanuel Finkiel adapte ce récit d'une manière qu'on pourrait qualifier de tout à fait durassienne, dans le sens où elle est aussi fidèle que libre, et en dernière analyse le phagocyte et se l'approprie.
Télérama
par Samuel Douhaire
L’adaptation d’Emmanuel Finkiel est exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Mélanie Thierry aborde là l'un de ses plus beaux rôles.
20 Minutes
par Caroline Vié
Il y a beaucoup de pudeur et de sensibilité dans cette chronique doublée d’un sublime portrait de femme.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
La conjonction donc de la douleur et de l'Histoire, pas une reconstitution conventionnelle ou ordinaire de l'occupation et de la Libération, car la restitution de ces jours de 1945 est ici plutôt laconique, mais implacable et classe (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Mélanie Thierry est une Marguerite Duras sublime.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
Sans doute une des adaptations de Duras les plus intelligentes et formellement abouties, dont les décharges émotionnelles dévastent régulièrement le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Mélanie Thierry est d’une justesse parfaite dans le rôle. Cinéma d’auteur, cinéma intelligent – avec de brèves bouffées d’intense émotion. Bref, un film qu’on adore.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La Douleur d’Emmanuel Finkiel, sans coller au texte de Marguerite Duras, édulcorant la part « non filmable » de la déchéance physique d’un Robert Antelme qui s’accroche à la vie retrouvée, signe un film magnifique et poignant, d’une grande beauté intérieure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Emmanuel Finkiel adapte au cinéma le récit autobiographique de Marguerite Duras, La Douleur, avec une acuité et une grâce infinies.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Emmanuel Finkiel restitue avec délicatesse les écrits de Marguerite Duras sur l’Occupation et la Libération.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Tiré du récit de Marguerite Duras, le film révèle sa force hors de son sujet principal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Finkiel réussit l’essentiel : honorer Marguerite D. (la personne et l’écrivaine) sans excès hagiographique tout en ouvrant son œuvre à un public qui ne la connaît pas. Superbe, forcément superbe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Sans fard, ce portrait de femme est d'une richesse psychologique rare, un grand personnage de littérature et de cinéma à laquelle Mélanie Thierry donne corps dans toutes les nuances de la vie et de la douleur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Anouk Brissac
Entourée d’un casting masculin robuste et taiseux (Benoît Magimel, Benjamin Biolay), Mélanie Thierry traverse là le pont entre jeunesse et maturité, celui du personnage mais aussi le sien comme actrice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Emmanuel Finkiel livre un travail admirable sur l'écriture durassienne. Une Douleur menée par une Mélanie Thierry inspirée, qui mériterait le César.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
(...) un pari gonflé, qu'Emmanuel Finkiel remporte haut la main grâce à des choix de mise en scène très audacieux.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Mélanie Thierry incarne cette héroïne de 30 ans qui va devenir une des figures majeures de la littérature française. La beauté de cette adaptation tient à sa façon d’inventer un personnage dédoublé mais sans romanesque, saisissant au plus près la cruauté et la délicatesse du livre (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Sidy Sakho
(...) une adaptation particulièrement fine du roman de Marguerite Duras. Ou quand la caméra explore les blessures intimes d'un auteur...
L'Express
par Christophe Carrière
Au début, c'est beau. Singulièrement beau. Et puis ça devient répétitif. Lourdement.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une langue épurée, d’un romanesque sec, portée par la voix et l’incarnation magistrale de Mélanie Thierry.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Pour son adaptation du livre de Marguerite Duras, Emmanuel Finkiel reste dans une forme académique pour transcrire les mots de l'écrivain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
L’étrange construction qui se fait dans la tête du spectateur face à ce flou généralisé est un montage entre La Douleur et Le Fils de Saül, comme si le premier était le contrechamp du second. (…) Cette intertextualité parasite la vision du film en faisant involontairement de Robert Antelme le héros du Fils de Saül, l’un et l’autre film s’annulant dans ce qu’il faut bien appeler leur formalisme.
Critikat.com
par Josué Morel
Le flou, plus qu’un choix d’écriture fort, tient ainsi d’un systématisme qui rabat sur la clarté du texte une imprécision permanente des images, dans une recherche paradoxale de la profondeur (littéraire) par la restriction même de la profondeur (cinématographique).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un film d’une grande langueur, qui s’attarde davantage sur le texte de Marguerite Duras que sur son sens véritable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Puissant et singulier, "La Douleur" est un immense film de cinéma et de littérature, un moment suspendu, à la fois glaçant et brûlant.
Femme Actuelle
Magnifique adaptation du récit autobiographique de Marguerite Duras.
L'Humanité
Faisant le lien avec l’ensemble de son œuvre, Emmanuel Finkiel signe un grand film sur l’absence dont on ne guérit jamais.
Le Dauphiné Libéré
L’adaptation intense et aiguë d’une des oeuvres les plus fortes de Marguerite Duras, qui en restitue superbement, par Mélanie Thierry, la voix, et qui élargit la douleur, individuelle, d’une femme qui, dans le temps même de cette aussi longue absence, aime un autre homme, à celle, collective, de tout un pays qui n’a pas su, ou pas voulu savoir…
Libération
Dans cette superbe adaptation du roman autobiographique de l’écrivaine, Emmanuel Finkiel recrée l’atmosphère inquiète de la Libération de Paris.
Positif
Emmanuel Finkiel adapte ce récit d'une manière qu'on pourrait qualifier de tout à fait durassienne, dans le sens où elle est aussi fidèle que libre, et en dernière analyse le phagocyte et se l'approprie.
Télérama
L’adaptation d’Emmanuel Finkiel est exemplaire.
Voici
Mélanie Thierry aborde là l'un de ses plus beaux rôles.
20 Minutes
Il y a beaucoup de pudeur et de sensibilité dans cette chronique doublée d’un sublime portrait de femme.
Charlie Hebdo
La conjonction donc de la douleur et de l'Histoire, pas une reconstitution conventionnelle ou ordinaire de l'occupation et de la Libération, car la restitution de ces jours de 1945 est ici plutôt laconique, mais implacable et classe (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mélanie Thierry est une Marguerite Duras sublime.
Ecran Large
Sans doute une des adaptations de Duras les plus intelligentes et formellement abouties, dont les décharges émotionnelles dévastent régulièrement le spectateur.
L'Obs
Mélanie Thierry est d’une justesse parfaite dans le rôle. Cinéma d’auteur, cinéma intelligent – avec de brèves bouffées d’intense émotion. Bref, un film qu’on adore.
La Croix
La Douleur d’Emmanuel Finkiel, sans coller au texte de Marguerite Duras, édulcorant la part « non filmable » de la déchéance physique d’un Robert Antelme qui s’accroche à la vie retrouvée, signe un film magnifique et poignant, d’une grande beauté intérieure.
Le Journal du Dimanche
Emmanuel Finkiel adapte au cinéma le récit autobiographique de Marguerite Duras, La Douleur, avec une acuité et une grâce infinies.
Le Monde
Emmanuel Finkiel restitue avec délicatesse les écrits de Marguerite Duras sur l’Occupation et la Libération.
Les Fiches du Cinéma
Tiré du récit de Marguerite Duras, le film révèle sa force hors de son sujet principal.
Les Inrockuptibles
Finkiel réussit l’essentiel : honorer Marguerite D. (la personne et l’écrivaine) sans excès hagiographique tout en ouvrant son œuvre à un public qui ne la connaît pas. Superbe, forcément superbe.
Paris Match
Sans fard, ce portrait de femme est d'une richesse psychologique rare, un grand personnage de littérature et de cinéma à laquelle Mélanie Thierry donne corps dans toutes les nuances de la vie et de la douleur.
Première
Entourée d’un casting masculin robuste et taiseux (Benoît Magimel, Benjamin Biolay), Mélanie Thierry traverse là le pont entre jeunesse et maturité, celui du personnage mais aussi le sien comme actrice.
Rolling Stone
Emmanuel Finkiel livre un travail admirable sur l'écriture durassienne. Une Douleur menée par une Mélanie Thierry inspirée, qui mériterait le César.
Studio Ciné Live
(...) un pari gonflé, qu'Emmanuel Finkiel remporte haut la main grâce à des choix de mise en scène très audacieux.
Sud Ouest
Mélanie Thierry incarne cette héroïne de 30 ans qui va devenir une des figures majeures de la littérature française. La beauté de cette adaptation tient à sa façon d’inventer un personnage dédoublé mais sans romanesque, saisissant au plus près la cruauté et la délicatesse du livre (...).
Transfuge
(...) une adaptation particulièrement fine du roman de Marguerite Duras. Ou quand la caméra explore les blessures intimes d'un auteur...
L'Express
Au début, c'est beau. Singulièrement beau. Et puis ça devient répétitif. Lourdement.
La Septième Obsession
Une langue épurée, d’un romanesque sec, portée par la voix et l’incarnation magistrale de Mélanie Thierry.
Le Figaro
Pour son adaptation du livre de Marguerite Duras, Emmanuel Finkiel reste dans une forme académique pour transcrire les mots de l'écrivain.
Cahiers du Cinéma
L’étrange construction qui se fait dans la tête du spectateur face à ce flou généralisé est un montage entre La Douleur et Le Fils de Saül, comme si le premier était le contrechamp du second. (…) Cette intertextualité parasite la vision du film en faisant involontairement de Robert Antelme le héros du Fils de Saül, l’un et l’autre film s’annulant dans ce qu’il faut bien appeler leur formalisme.
Critikat.com
Le flou, plus qu’un choix d’écriture fort, tient ainsi d’un systématisme qui rabat sur la clarté du texte une imprécision permanente des images, dans une recherche paradoxale de la profondeur (littéraire) par la restriction même de la profondeur (cinématographique).
aVoir-aLire.com
Un film d’une grande langueur, qui s’attarde davantage sur le texte de Marguerite Duras que sur son sens véritable.