Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Images d’archives insoutenables, entretiens qui font froid dans le dos, témoignages de journalistes et d’activistes pour les droits de l’Homme : Barbet Schroeder lève le voile sur le chemin mental et politique de la haine et livre un grand documentaire comme un signal d’alarme.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
(...) d’interviews en contre témoignages, d’images d’archives de massacres en propos fielleux paisiblement assumés du Vénérable W, Barbet Schrœder renvoie en miroir Myanmar et l’Occident, créant une avertissement aussi urgent que nécessaire, salutaire qu’édifiant.
Télérama
par Frédéric Strauss
La démonstration est magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Un documentaire essentiel, nouvelle pierre d'une œuvre d'une rare cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Maël Mubalegh
C'est dans ces instants a priori platement pédagogiques, qu'apparaît en toute netteté la formidable réussite du projet de Schroeder, à la hauteur de ses nobles ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec "Le Vénérable W.", Barbet Schroeder dresse un troisième portrait d’homme de pouvoir qui incarne une forme de malignité en la justifiant par la vertu : édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Emile Breton
L'essentiel à relever dans une courte chronique est la démarche du cinéaste, qui n’a pas craint de donner la parole à la « bête de l’enfer » pour l’opposer aux faits que le cinéma se doit de révéler. Un film destiné à ceux qui, n’attendant pas que l’incendie soit déclaré, veulent empêcher les bons apôtres de souffler sur la braise. Et pas qu’en Birmanie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Fidèle à sa méthode, le documentariste montre, mais ne juge pas, donne à entendre l’exécrable Vénérable W., mais ne le condamne pas, et mêle des images d’archives à celles, clandestines, des réseaux sociaux. Voici le portrait du Mal, sans sous-titres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec des documents chocs et inédits, dont une longue interview de Wirathu lui-même, Barbet Schroeder montre de façon salutaire, à travers la violence islamophobe d’un pays dont le bouddhisme prêche pourtant la tolérance, que la bête n’en finit pas de bouger.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un constat terrifiant, qui plonge le spectateur en apnée.
Le Monde
par La Rédaction
Pour pallier cette ignorance, Barbet Schroeder a construit un film qui, moins qu’un portrait, est comme le diagramme de la mécanique du mal à l’œuvre. Et cette dissection est si précise, si argumentée, qu’elle prend une portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Yves Jaeglé
"Le Vénérable W", documentaire sur une secte dirigée par Wirathu, bonze très célèbre en Birmanie, sidère par sa singularité, son efficacité, sa beauté aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Christophe Ono-dit-Biot
En contraste total avec ce visage rond et serein, les images insoutenables de civils brûlés vifs, récupérées sur les téléphones portables de témoins impuissants (surtout quand les militaires de l'ex-junte laissent faire, bras croisés), frappent la rétine et le coeur.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Comme dans les deux précédents volets de sa trilogie, Barbet Schroeder montre sans juger, faisant entière confiance à l’intelligence du spectateur. De même, devant sa caméra, le mal a toujours l’apparence du bien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
L’auteur suit habituellement un fil rouge qui saigne seul, qui ne pointe pas du doigt et s’attarde de façon déroutante sur la part humaine des monstres ; le frisson de révolte n’en est que plus fort.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Christophe Narbonne
Un portrait glacial et implacable de l'intolérance.
Positif
par Marc Cerisuelo
Souvent présent, l’hymne au demeurant très entraînant de Ma Ba Tha évoque en fait la grandeur de ceux qui défendent la race Bama, s’en prenant à ceux qui boivent leur eau, cassent leurs règles et absorbent leur richesse. La haine a le visage de W. ; elle a aussi un son.
Première
par Christophe Narbonne
Barbet Schroeder conclut une passionnante réflexion sur les différentes représentations du mal
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Barbet Schroeder nous convie à une réflexion signifiante sur les tensions de notre monde contemporain, en attirant notre regard sur le génocide ethnico-religieux dont la communauté musulmane est victime en Birmanie. Un documentaire aussi effroyable que nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le monstre fuyant comme une anguille, quelque chose manque au montage du Vénérable W. pour excéder ses allures d’excellent documentaire didactique. Ce quelque chose, on le trouve dans le court métrage Où en êtes-vous, Barbet Schroeder ? qui accompagne le film.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Même s’il s’abstient de juger, Barbet Schroeder exhibe, jusqu’à l’insoutenable, les images de cette violence extrême. (...) Il apporte le contrepoint de bouddhistes qui renient Wirathu et d’observateurs internationaux qui alertent l’opinion internationale, sans grand résultat, hélas.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Wirathu, le moine en question, aime jouer avec la caméra qui l’aide à développer placidement ses préceptes nationalistes et son appétit de destruction tandis que des images d’archives rendent compte des atrocités dont il est à l’origine.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce qui est beau dans la démarche de Barbet Schroeder, c'est sa volonté de refuser la haine qu'il sentait en lui-même. Mais son film conduit plutôt à la redistribuer (sur le bloc indistinct des «islamophobes», populistes et racistes) qu'à la supprimer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CinemaTeaser
Images d’archives insoutenables, entretiens qui font froid dans le dos, témoignages de journalistes et d’activistes pour les droits de l’Homme : Barbet Schroeder lève le voile sur le chemin mental et politique de la haine et livre un grand documentaire comme un signal d’alarme.
Les Fiches du Cinéma
(...) d’interviews en contre témoignages, d’images d’archives de massacres en propos fielleux paisiblement assumés du Vénérable W, Barbet Schrœder renvoie en miroir Myanmar et l’Occident, créant une avertissement aussi urgent que nécessaire, salutaire qu’édifiant.
Télérama
La démonstration est magistrale.
Bande à part
Un documentaire essentiel, nouvelle pierre d'une œuvre d'une rare cohérence.
Critikat.com
C'est dans ces instants a priori platement pédagogiques, qu'apparaît en toute netteté la formidable réussite du projet de Schroeder, à la hauteur de ses nobles ambitions.
Franceinfo Culture
Avec "Le Vénérable W.", Barbet Schroeder dresse un troisième portrait d’homme de pouvoir qui incarne une forme de malignité en la justifiant par la vertu : édifiant.
L'Humanité
L'essentiel à relever dans une courte chronique est la démarche du cinéaste, qui n’a pas craint de donner la parole à la « bête de l’enfer » pour l’opposer aux faits que le cinéma se doit de révéler. Un film destiné à ceux qui, n’attendant pas que l’incendie soit déclaré, veulent empêcher les bons apôtres de souffler sur la braise. Et pas qu’en Birmanie.
L'Obs
Fidèle à sa méthode, le documentariste montre, mais ne juge pas, donne à entendre l’exécrable Vénérable W., mais ne le condamne pas, et mêle des images d’archives à celles, clandestines, des réseaux sociaux. Voici le portrait du Mal, sans sous-titres.
Le Dauphiné Libéré
Avec des documents chocs et inédits, dont une longue interview de Wirathu lui-même, Barbet Schroeder montre de façon salutaire, à travers la violence islamophobe d’un pays dont le bouddhisme prêche pourtant la tolérance, que la bête n’en finit pas de bouger.
Le Journal du Dimanche
Un constat terrifiant, qui plonge le spectateur en apnée.
Le Monde
Pour pallier cette ignorance, Barbet Schroeder a construit un film qui, moins qu’un portrait, est comme le diagramme de la mécanique du mal à l’œuvre. Et cette dissection est si précise, si argumentée, qu’elle prend une portée universelle.
Le Parisien
"Le Vénérable W", documentaire sur une secte dirigée par Wirathu, bonze très célèbre en Birmanie, sidère par sa singularité, son efficacité, sa beauté aussi.
Le Point
En contraste total avec ce visage rond et serein, les images insoutenables de civils brûlés vifs, récupérées sur les téléphones portables de témoins impuissants (surtout quand les militaires de l'ex-junte laissent faire, bras croisés), frappent la rétine et le coeur.
Les Inrockuptibles
Comme dans les deux précédents volets de sa trilogie, Barbet Schroeder montre sans juger, faisant entière confiance à l’intelligence du spectateur. De même, devant sa caméra, le mal a toujours l’apparence du bien.
Libération
L’auteur suit habituellement un fil rouge qui saigne seul, qui ne pointe pas du doigt et s’attarde de façon déroutante sur la part humaine des monstres ; le frisson de révolte n’en est que plus fort.
Ouest France
Un portrait glacial et implacable de l'intolérance.
Positif
Souvent présent, l’hymne au demeurant très entraînant de Ma Ba Tha évoque en fait la grandeur de ceux qui défendent la race Bama, s’en prenant à ceux qui boivent leur eau, cassent leurs règles et absorbent leur richesse. La haine a le visage de W. ; elle a aussi un son.
Première
Barbet Schroeder conclut une passionnante réflexion sur les différentes représentations du mal
aVoir-aLire.com
Barbet Schroeder nous convie à une réflexion signifiante sur les tensions de notre monde contemporain, en attirant notre regard sur le génocide ethnico-religieux dont la communauté musulmane est victime en Birmanie. Un documentaire aussi effroyable que nécessaire.
Cahiers du Cinéma
Le monstre fuyant comme une anguille, quelque chose manque au montage du Vénérable W. pour excéder ses allures d’excellent documentaire didactique. Ce quelque chose, on le trouve dans le court métrage Où en êtes-vous, Barbet Schroeder ? qui accompagne le film.
La Croix
Même s’il s’abstient de juger, Barbet Schroeder exhibe, jusqu’à l’insoutenable, les images de cette violence extrême. (...) Il apporte le contrepoint de bouddhistes qui renient Wirathu et d’observateurs internationaux qui alertent l’opinion internationale, sans grand résultat, hélas.
La Voix du Nord
Wirathu, le moine en question, aime jouer avec la caméra qui l’aide à développer placidement ses préceptes nationalistes et son appétit de destruction tandis que des images d’archives rendent compte des atrocités dont il est à l’origine.
Le Figaro
Ce qui est beau dans la démarche de Barbet Schroeder, c'est sa volonté de refuser la haine qu'il sentait en lui-même. Mais son film conduit plutôt à la redistribuer (sur le bloc indistinct des «islamophobes», populistes et racistes) qu'à la supprimer.