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    Code 7500 : Un avion en détresse
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    93 critiques spectateurs

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    Marie K.
    Marie K.

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    Tient en haleine du début jusqu'au bout. Extrêmement réaliste et prenant. L'acteur principal est très bon.
    Anthony V.
    Anthony V.

    13 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2020
    On dirait presque que c'est tirée d'une histoire vraie. Le cockpit et la vue sur l'extérieur sont plutôt convaincants. On dirait vraiment que l'avion a décollé et que le tournage s'est fait en plein ciel. Les simulateurs de vol ayant servi au tournage sont vraiment très réalistes. Du côté de l'histoire, les premiers éléments arrivent assez vite mais on nous laisse dans le flou une vingtaine de minutes avant d'avoir un élément concret sur ce qui va se passer. Comme indiqué dans la description du film, il s'agit d'un attentat mais sans plus détail. On ne nous indique rien hormis spoiler: que c'est pour venger tous les musulmans morts de la main des Américains/Européens en Afrique
    . Partant de Berlin, les assaillants ne parlent quasiment que Allemand et il faut se taper des sous-titres une grosse moité du film. La fin dure inutilement, on sent les erreurs bêtes pour conclure facilement.
    tupper
    tupper

    130 abonnés 1 361 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2020
    A priori un énième film de prise d’otage dans un avion. Au final c’est un angoissant huis clos, sobre, précis, efficace. L’exiguïté du lieu, la pression des tambourinements sur la porte, des cris, de ce qui se passe dans ce minuscule écran qui film l’extérieur de la cabine, la situation personnelle complexe du pilote, ... Tout cela crée une tension psychologique incroyable entretenue par des rebondissements plus ou moins prévisibles. Une très bonne surprise.Et il ne faut pas oublier de mentionner Joseph Gordon-Levitt qui est réellement excellent.
    Pascal I
    Pascal I

    735 abonnés 4 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2020
    Scénario précis, qui prend son temps, à la limite du "direct". Le huis clos renforce l'effet stress et pour une fois, pas de super héros ... une mise en situation crédible (et qui interpelle). 3.5/5 !!!
    Cinememories
    Cinememories

    469 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2020
    Révélé par son court-métrage « Alles wird gut » (Everything Will Be Okay), le réalisateur allemand Patrick Vollrath décolle enfin et nous saisit dans un long-métrage claustrophobique. De la même façon que son œuvre à succès, il cherche essentiellement à nous confronter aux émotions des personnages, certains plein d’ambiguïtés. Son choix consiste alors à nous confiner dans un cockpit qui subira des assauts et de cette façon, l’intrigue file sans se retourner. La subtilité de ce projet réside toutefois dans un sentiment d’authenticité. Le confort de la mise en scène devient l’inconfort des protagonistes, mais le film se situe à mi-parcours d’un « United 93 » et d’un « Captain Phillips », sans oublier un soupçon de « The Guilty ». Oui, il y de l’ambition, mais elle rencontre rapidement des obstacles.

    Le code 7500 est une éventualité et une réalité. Son existence mobilise ainsi toutes les forces possibles afin de lutter contre tout pirate de l’air. Mais l’objectif du réalisateur, c’est d’investir le cockpit de bout en bout et d’en établir une architecture simple et cohérente dans les déplacements. Joseph Gordon-Levitt, qui a longtemps fuit les premiers rôles, revient justement aux commandes de ce drame qui affecte le personnage qu’il incarne. Ainsi, le copilote Tobias Ellis fait face à la rage de dissidents, qui sont prêts à tout pour arriver à leur fin. Mais cette fureur n’est que générique dans un scénario tout aussi linéaire. Les rebondissements catalysent pourtant notre intérêt ou ne font office que de transitions. Il s’agit du compromis de Vollrath afin de mieux huiler la mécanique de sa mise en scène. Elle reste poignante dans la mesure où l’intrigue avance à « vitesse réelle ». Le sentiment de confinement nous oppresse, tout en réévaluant les enjeux d’un nouvel obstacle.

    Le cockpit finit même par rétrécir dans l’esprit à force de jouer sur des cadres serrés et une luminosité décroissante. De la même manière, on perd de la visibilité sur une seconde partie limitée. Les efforts de l’acteur vedette ne suffisent pas à porter tout le poids de ses dilemmes. Les décisions sont pourtant humaines et certaines facilités d’écritures ne sont que des arguments en faveurs de son combat personnel. Bien évidemment, Tobias sort souvent du rang, zappe la plupart des protocoles qui ne facilitent pas sa chute émotionnelle. Le contrôle illustre sans doute cette responsabilité que l’on cherche désespérément à retrouver, du moins, une fois que l’on touche le fond. Et le segment maladroit du récit réside bien dans la description d’un terroriste hésitant, comme si l’on jugeait l’acte incompris par même ceux qui le revendique. Sur ce point, on ne prend pas assez le sujet au sérieux pour que le public y croit.

    Les passerelles et mince entre le cockpit et l’équipage. S’il fallait y découvrir un symbole, ce serait celui d’une société incapable de coexister et qui ne peut communiquer sans violence et représailles. Personne n’est parfait, tout le monde est humain. Mais le sens des responsabilités contredit certains choix, bien qu’elles soient cohérentes sur le moment. Mais une fois encore, la chorégraphie est trop visible pour qu’on passe à côté. Mais après tout, « 7500 » ne revendique pas grand-chose, si ce n’est l’expérience vertigineuse de cet assaut, laissant seul un pilote désarmé, à la fois mentalement et physiquement, et pourtant solide jusqu’au bout du voyage.
    NammJones
    NammJones

    105 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juin 2020
    Un mec qui tape dans une porte non stop, des cris et rien.
    Ce film est totalement plat et sera, à coup sur, apprécié par ceux qui travaillent dans l’aéronautique.
    Jules MD
    Jules MD

    16 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2020
    Un huit clos rondement bien mené du début à la fin, alternant entre stress intense et calme "avant la tempête"... Un bon retour au premier plan (certes pas au cinéma) pour Joseph Gordon Levitt ! N'hésitez pas ce film est fort intriguant et ça change des films que nous avons l'habitude de voir !
    Yetcha
    Yetcha

    851 abonnés 4 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Un sympathique huis-clos sous tension. Malheureusement, plusieurs écueils sont à relever et notamment sur la rapidité de l'action. L'action part trop vite et il n'y a pas assez de montée. Le climax arrive trop tôt et c'est dommage car le reste est plutôt bon. Enfermé dans le cockpit on se sent à l'étroit et on vit intensément la prise d'otage. On n'a pas le temps de s'attacher aux personnages et il aurait été plus judicieux de nous faire ressentir plus d'empathie envers eux. Un film d'action correct mais qui ne restera pas dans les annales.
    gugaciao
    gugaciao

    4 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2020
    Pour un film à faible budget, le scénario est très bien. Il fait monter le suspens très rapidement, justement comme un avion prend de l'altitude, à en devenir très crispant. C'est scénarisé comme une téléréalité, tout en gardant une vrai image du cinéma. Le résultat est captivant et nous projette vraiment dans l'ambiance lourde et pesante. Le seul point négatif à mon goût, spoiler: est que pratiquement tout le film se passe en huit clos dans le cockpit. Mais grâce à ça, le film garde une originalité avec cette différence: En général, la plupart des films d'avion, se passe à l'inverse, une bonne partie du temps, avec les passagers.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    516 abonnés 943 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2020
    7500 a plus à voir avec le thriller danois The Guilty (sorti en 2018) que Vol 93 auquel il renvoie immanquablement. Au premier abord, il se place pourtant dans les traces de ce dernier : contextualisation post-11/09, mise en scène frontale, en temps réel et sans musique...Mais intégralement vu du cockpit.
    Ce qui passerait presque pour une simulation avancée est un vrai parti pris destiné à faire grimper la tension, coupant son malheureux héros du reste de l'avion à mesure que la situation dégénère. Nous voyons ce que voit Tobias, mais ce qu'on entend sans distinguer est encore plus terrifiant. La qualité du film se niche là, dans une identification immédiate au regard d'un évènement imprévisible dont les tournants sont aussi incertains que le terminus. À plusieurs reprises, le réalisateur Patrick Vollrath parvient à créer ce sentiment de chaos émotionnel et de danger immédiat. Puis renverse légèrement le procédé "panique en solo" en ouvrant 7500 à un registre plus intimiste, jusqu'à déplacer un peu d'empathie sur le personnage de Vedat.
    Pour autant, le script ne se montre pas à la hauteur de ces bonnes idées, l'écriture ne réservant que peu d'aspérités aux personnages (le risque de ce type de huis-clos) et peu de surprises quant au déroulement de son intrigue (parfois clichée) ou sa finalité. Mais Joseph Gordon-Levitt (parfait, comme d'habitude) a les épaules suffisamment solides pour tenir la barre et il est bien secondé par Omid Memar dans un rôle aussi intense qu'émouvant.
    benitoberlon
    benitoberlon

    51 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2020
    Ce huis clos dans un cockpit atteint son objectif, à savoir créer un climat anxiogène sur cette prise d'otage, avec du bruit, des menaces, du stress, et une impression qu'on ne maîtrise pas tout (la langue des terroristes, mais aussi ce qui se passe en dehors du cockpit). Ce choix ne nuit pas au film, au contraire, avec un casting plutôt bon ( La découverte Omid Memar et l'excellent Joseph Gordon Lewit) mais le film souffre tout de même de quelques longueurs!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    661 abonnés 2 934 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2020
    De la même façon que Styx, l’année dernière, confrontait le spectateur à un problème de société en l’enfermant à bord du petit bateau de Rike, 7500 enferme le spectateur dans le cockpit d’un avion pour le confronter au terrorisme. Certains reprocheront le côté « attaque comme si vous y étiez », faisant du long métrage un simulateur d’attentat comme 1917 est un simulateur de guerre ; et ils auront raison. Néanmoins, qu’un film réussisse, pendant près d’une heure et demie, à maintenir à ce point la pression, à rendre poreuse la frontière entre fiction et réalité, à faire prendre conscience des secondes qui n’avancent pas tout en s’affranchissant des longueurs, des passages obligés, est une preuve de sa vigueur et de sa remarquable maîtrise. Le montage est aussi acéré et tranchant que les morceaux de verre taillés en poignards : champs et contre-champs sont pensés non comme des procédés artificiels mais comme la séparation de deux adversaires se disputant une partie d’échecs et élaborant des stratégies pour triompher l’un de l’autre. Le moindre geste, la plus petite expression peuvent déclencher la fureur ou les larmes, et le spectateur les décrypte, prête attention aux détails habituellement imperceptibles : le silence et le statisme semblent préparer quelque chose, il faut ne rien manquer, rester sur ses gardes. L’ambition de 7500 n’est pas métaphorique : il ne s’agit pas d’esquisser des personnages-allégories susceptibles d’être replacés dans une relecture symbolique de l’attaque ; non, son ambition est réaliste, et pour cela le film travaille le doute, le sentiment de culpabilité, la détresse ; et pour cela le film s’accroche à l’humain. Les personnages sont confrontés à des dilemmes qui ne peuvent trouver de solution positive ; pas d’arme à feu cachée sous le siège, pas de commandant ancien militaire des forces spéciales, pas de deus ex machina, en somme ; des hommes ordinaires faisant un métier extraordinaire, et dont les responsabilités s’exacerbent soudain. Beaucoup de questions viennent à l’esprit du spectateur, auxquelles le film n’apporte aucune réponse. Car telle n’est pas son ambition. Il veut amener le spectateur à se poser des questions, sans avoir à les penser à sa place. Voilà une œuvre froide, violente et mentale sur une situation froide, violente et mentale. Le parti pris est peut-être contestable, oui, d’un point de vue de cinéma – aucune vision esthétique ne transparaît ici, aucun cinéaste ne s’affirme. Mais son exécution, elle, est exemplaire. Portée par deux acteurs au sommet : Omid Memar et surtout Joseph Gordon-Levitt.
    Doc Computeur
    Doc Computeur

    5 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2020
    Huis clos dans la cabine de pilotage d'un avion allemand pendant une prise d'otage. Même si le sujet est vu et revu il est ici, filmé de façon original, intimiste. Les acteurs sont bons Omid Memar que je ne connaissait pas est particulièrement juste, l'intrigue est bonne, la tension présente. C'est l'occasion de voir un film et de ne pas le regretter; Ce qui devient en soit un exploit de moins en moins fréquent .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Très bon film où, pour une fois, le contexte technique est tout à fait crédible. Ça nous change des caricatures habituelles du monde de l'aéronautique.
    CaseyJones
    CaseyJones

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Bon ok jai vu Joseph Gordon-Levitt a l'affiche alors jai foncer. Heu bof bof... Petit senario, petit nombre d'acteurs, petite mise en scene, petite production, certainement petit budget. Voila dans tout le film on est dans le cockpit et clostrophobe s'abstenir!
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