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    Le Serpent aux mille coupures
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    Philippe G.
    Philippe G.

    24 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2017
    Pas mal tortillé ce petit film de genre dont le sujet me rappelle LE SECRET de Robert Enrico où Jean-Louis Trintignant se cachait à la campagne chez un couple formé de Marlène Jobert et Philippe Noiret. Et là aussi notre héros, cette fois ci avec un nom, si je me rappelle bien, avait à ses trousses des tueurs au nom de la raison d'Etat plutôt que les cartels. Mais ici, les scènes de fusillades à la fin sont grotesques et baclées. Dommage. Et j'aime aussi l'assistant malgré lui du méchant tueur, une sorte de Madds Mikkelsen asiatique. Oui, j'aime le rôle du tueur improvisé père de famille. Et puis une petite erreur de casting où la fillette supposée être métis de père Africain et mère Gauloise ressemble plus à une enfant née de parents Indiens ou Mexicains...
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    62 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2017
    Après quelques beaux succès cinématographiques (on pense à « Maléfique » ou « La proie » sortis à dix ans d’intervalle), le quinquagénaire Eric Valette revient dans nos salles avec un nouveau thriller « Le serpent aux mille coupures ». Sorti en France la semaine dernière, les retours de la presse étaient relativement mitigés

    A la sortie de la projection, nous ne savons pas réellement sur quel pied danser. Premier ou second degré ? On peine à savoir quelle voie Eric Valette a voulu faire emprunter à ses personnages tant ils sont clichés. Si c’est volontaire de sa part et que le quinquagénaire a voulu emprunter le chemin de l’humour et de la caricature, on peut en partie adhérer à son dernier travail. Si par contre, le ton donné au film se voulait réaliste et sérieux, on perd le nôtre et ne pouvons que déplorer un tel choix de mise en scène.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Eric Valette lorgne du côté de Peckinpah mais livre une série Z à la limite du ridicule.

    LA SUITE :
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2017
    Eric Vallette est un réalisateur français sous-estimé. Hormis une incursion malencontreuse aux Etats-Unis pour le remake (resté inédit chez nous) du film japonais « La Mort en ligne », sa filmographie est constituée d’honnêtes voire de très bonnes séries B. Toutes réalisées avec soin et qui assument pleinement leur fonction de divertissement calibré sans prise de tête. Du film fantastique « Maléfique » en passant par le thriller politique « Une affaire d’état », c’est toujours assez réussi. Il nous avait laissé avec l’excellent souvenir du film policier « La Proie » ; le revoici avec un polar du même acabit joliment titré « Le serpent aux mille coupures » mais injustement peu distribué pour sa sortie nationale (à peine trente salles !).

    Dans ce film, énormément de personnages se retrouvent pris à partie suite à une coïncidence dans une affaire de trafic de drogues. Des gendarmes, un fugitif (Tomer Sisley), des hommes de mains de cartels italiens, espagnols ou encore colombiens, des paysans racistes, un tueur à gages chinois, une prostituée et une famille d’agriculteurs forment l’impressionnante galerie de protagonistes se cherchant des poux dans cette affaire. L’introduction du metteur en scène est pourtant un exemple de clarté et la manière dont est conduite l’intrigue est d’une limpidité confondante, tout cela n’étant jamais complexe. Mieux, le scénario est toujours réaliste ce qui permet de suivre le déroulement des faits sans jamais décrocher une seule seconde. A l’image de la fusillade finale, sèche et pour une fois lisible, l’aspect réel est à souligner. Bref, du début à la fin on y croit ce qui n’est pas toujours le cas dans ce type de films. On regrette juste que le duel final entre Tomer Sisley et Terence Yin soit si vite expédié, peut-être encore une fois pour s’éloigner des sempiternels face-à-faces à rallonge hollywoodien.

    Ensuite, Vallette soigne beaucoup ses images. Loin d’être un banal yes man à la réalisation anonyme ou un technicien moyen venu emballer un produit de commande pour payer ses fins de mois, il parvient par la justesse de ses cadres et l’ambiance qu’il instaure à faire monter doucement mais surement la tension jusqu’au climax final. L’ambiance nocturne inquiétante et les paysages de campagne hivernaux, rarement filmés dans le cadre d’un polar, participent au climat délétère de ce long-métrage nerveux et très violent. Quelques petites longueurs et le personnage de tueur chinois un peu trop exagéré n'abîment pas le plaisir que l’on a à suivre cette bonne bobine du samedi soir filmée dans la région de Toulouse. Un thriller dans la grande lignée de ceux qui fleurissaient dans les salles au cours des années 80 et à découvrir sur le grand écran plutôt que sur la petit lucarne.
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Juste hallucinant que ce polar d'action soit si peu distribué. Trois sous-intrigues qui se téléscopent par accident, un rendez-vous entre cartel qui tourne mal, un terroriste recherché via le plan Epervier, une guerre locale sur fond de racisme et au final un tueur du Cartel qui doit venger des morts et un fugitif qui séquestre une famille à histoires le tout dans une région reculée de la France profonde. Bien rythmé mais sachant instaurer des instants fugaces de calmes. Eric Valette signe un film musclé, un film de genre efficace et terriblement pessimiste. A conseiller.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Le problème principal de ce Serpent là vient de son manque de piquant. De la direction d’acteurs à la photographie, pas un sourire n’émerge, pas une éclaircie ni une sortie de piste qui viendraient rendre l’expérience stimulante. Comme écrasé par son atmosphère, le film dans son entier fait grise mine et déroule son récit avec l’énergie d’une carpe neurasthénique.
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Un motard blessé quitte les lieux d’un carnage. Il vient d'abattre 3 malfrats.
    Le mystérieux fugitif trouve refuge chez les Petit, une famille de fermiers persécutés par la population locale, qu’il prend en otage. A ses trousses : des barons de la drogue colombiens, le lieutenant colonel Massé du Réaux, chef de la gendarmerie, et un tueur à gage sadique, qui sont bien décidés à l'éliminer.

    "Le serpent aux mille coupures" est un thriller réalisé par Eric Valette (La proie...). Celui ci voit s'affronter des mafieux, un tueur sino colombien aux yeux clairs, un mystérieux motard (Tomer Sisley) et quelques paysans des Pyrénées pas bien malins.
    Le gros problème du film réside dans son incapacité à séduire les amateurs de thriller tant les situations sont risibles et le scénario lacunaire.
    Sur le plan du script, le film est risible parce que l'intrigue est incompréhensible, le pire étant l'absence d'informations sur le "mystérieux motard" interprété par Tomer Sisley. Celui ci se retrouve au milieu des vignes, blessé, "flingue" avec bonheur "à tout va" et se retrouve à prendre en otage une famille nouvellement installée dans le coin. L'équipe du film a peut être pensé que cela lui confèrerait une aura mystérieuse...en vain.
    On a l'impression de regarder directement le deuxième épisode d'une nouvelle série.

    Le film est risible, sans doute involontairement, parce que, beaucoup de choses prêtent à rire à commencer par les répliques "pince sans rires" du tueur chinois sadique et volubile, spécialiste de la dissection, véritable "curiosité" du film. L'acteur (Terence Yin) n'est pas inoubliable mais son personnage est pittoresque.

    De même, l'équipée sauvage des "autochtones pyrénéens" à la fin du film m'a bien fait marrer.
    Les 4 "beaufs" armés de fusils de chasse partis pour une "ratonnade" se prennent une dérouillée dans la cour de la ferme face au chinois et à son compagnon d'infortune, le tout filmé comme dans "Louis la brocante".

    Alors que le film aurait pu se situer à l'intersection d'un film de Robert Rodriguez (Desperado) et de Robin Pront (Les Ardennes), on se retrouve avec un film très multiculturel ("la globalisation" du crime...), plutôt drôlatique, assez second degré (pas toujours volontairement?), comprenant quelques saillies "gore". Ce film qui croise les influences du cinéma bis et de Julie Lescaut, n'aurait pas démérité au festival humoristique de Chamrousse et c'est pour cela que je lui mets 4/10....sinon, je lui aurais mis moins.

    Au casting on reconnaitra entre autres Pascal Gregorry, Tomer Sisley et Gerard Larroche.
    nicperpignan
    nicperpignan

    40 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2017
    Film d'une violence extrême ! Il n'y a pas de dialogues, on comprend pas grand chose à l'histoire ni à ce que veut dire le film. J'en suis ressorti choqué et vraiment déçu par ce film violent et sans aucun intérêt. On s'ennuie tellement c'est vide ! J'ai rarement vu un film avec si peu de dialogues ! Je déconseille car vous allez être écoeuré !
    CoyoteCrafty
    CoyoteCrafty

    81 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Malgré une accumulation de clichés due au GENRE du film (parce que c'est un film de genre, en fait), on passe un bon moment (enfin, on compte les clichés en rigolant quand même, mais ça va…)
    tony-76
    tony-76

    1 073 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2017
    Eric Valette est un réalisateur français qui a su s'imposer au cinéma notamment avec La Proie sorti en 2011, un thriller qui avait créée la surprise avec un Albert Dupontel en pleine forme, au cœur de l'action ! Valette revient donc avec un autre thriller nommé Le Serpent aux mille coupures, un titre original mais qui déçoit véritablement dans le contenu de cette histoire clichée et d'une banalité sans nom. spoiler: Un anti-héros, des flics à la ramasse, un tueur à gage chinois...
    Tout est prédit d'avance, les situations sont risibles, les dialogues sont mauvais et l'action se fait bien trop rare pour qu'on reste éveillé... Un fugitif blessé est recueilli par une famille dans une ferme, il les prend en otage et est poursuivi par plusieurs criminels dont un tueur à gage assoiffé de sang... Rien de surprenant dans la forme que dans le fond ! Les coïncidences sont énormes spoiler: - comment le tueur à gage peut-il trouver aussi rapidement sa cible et comment les policiers peuvent-ils réussir à résoudre l'affaire à court terme ? -
    cela va trop vite pour qu'on se laisse séduire... Le Serpent à mille coupures se veut soporifique à souhait, que c'est long ! Un rythme qui ne tient jamais la route accompagné d'une mise en scène paresseuse et des cadres répétitifs. On est loin du prenant La Proie... Car l'action est quasi absente, et quand elle est intervient, elle s'avère d'une extrême violence surtout de spoiler: la scène de la torture quand le tueur coupe le sein de sa victime.
    Aucun suspense dans cette enquête policière où spoiler: les flics piétinent jusqu'au dernier moment dans lequel ils trouvent par enchantement tous les éléments pour passer à l'action.
    La musique n'est pas marquante et se laisse oublier facilement... Même le casting n'y peut rien à ce naufrage ! Tomer Sisley ne fait pas le travail pour jouer correctement son rôle que tellement il se sent stupide face à la situation qui l'entoure. L'acteur de Largo Winch choisit toujours des films à faible budget, certains sont divertissants (Nuit Blanche) ou d'autres complétement ratés (Kidon). Avec celui-ci, il s'agit probablement de son pire film ! Le tueur à gage interprété par Terence Yin - possède des airs de l'acteur Mads Mikkelsen - se trouve crédible, même si il n'est pas très bavard et n'a pas la carrure d'un Jet Li (Lethal Weapon 4) ! Le réalisateur engage à nouveau le comédien Stéphane Debac où il avait participé dans La Proie. Il interprète le même rôle que son prédécesseur, donc pas de mystère... Seul Stéphane Henon (de la série PBLV) arrive à se démarquer à chaque apparition, il connaît bien ce métier ! Néanmoins, l'atmosphère qui règne au sein du récit se veut malsaine, froide et très sombre parce que les séquences sont tournées majoritairement dans la nuit. Vous l'aurez donc compris, Le Serpent aux mille coupures est un thriller ennuyeux, extrêmement violent, qui n'a ni queue ni tête ! Eric Valette réalise à ce jour, le pire effort de sa carrière. On comprend pourquoi le film a été si peu distribué dans les salles françaises... A fuir !
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