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Denis Hrnjic
1 critique
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0,5
Publiée le 10 novembre 2020
Franchement, de la daube. Cliché sur cliché, histoire sans queue ni tête et un jeu d'acteur et des répliques complettement ridicules. C'est tellement mauvais que je l'ai revisionné pour me marrer et me demander comment ils ont pu valider ça. J'y vais un peu fort mais je pense pas moins que ce que je dis.
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 21 septembre 2020
C'est une sorte de thriller avec un héros sans nom avec un tueur mystérieux dont les motivations resteront inconnues jusqu'à la fin du film. Ce schéma m'a rappelé un peu Le secret de Robert Enrico, adapté d'un roman de Francis Ryck. Mais ce n'est malheureusement pas un remake du film d'Enrico. Le méchant semble être une sorte de Madds Mikkelsen asiatique. Un homme et un acteur ordinaire qui joue un assistant de tueur improvisé. Ce personnage est vraiment étrange et ennuyeux. Mais il y a des séquences de torture horribles et inutile a l'intrigue et du racisme a tous les niveaux. Et encore une chose la petite fille qui est censée avoir une mère blanche et un papa noir ressemble plus à un mélange entre une origine espagnole et une Indienne. Le Serpent aux mille coupures est vraiment un très mauvais film...
Sur le papier l’histoire est plutôt intéressante mais cela ne se traduit pas concrètement à l’écran. Personnellement j’ai eu du mal à accrocher avec le choix de l’acteur Terence Yin. Ce choix artistique n’apporte pas de surplus à l’histoire et un autre tueur à gages dans un rôle francophone n’aurait pas moins contribué à la réussite ou non du film. La relation complexe que mène le personnage de Tomer Sisley avec « sa famille d’accueil » aurait pour moi dû être encore mieux exploité. Les scènes de combats et d’actions sont plutôt intéressantes mais il y a trop de mystères qui ne se lèvent pas autour des personnages. Film pas assez abouti à mon goût.
"Le serpent aux mille coupures" est un thriller violent qui n'offre pas de réelles surprises tant dans sa forme que dans son fond. Mais on peut faire simple mais efficace et, de ce côté-ci, le film tient toutes ses promesses. Son rythme nerveux et son action bien dosée rend l'intrigue agréable à suivre malgré son manque d'originalité. L'impression de voir un western des temps moderne avec ce qu'il faut de réglements de compte jusqu'à une fin malheureusement décevante. Un bon casting vient relever tout ça et Eric Vallette nous livre finalement un bon divertissement.
J'ai beaucoup aimé ce film à part la scène de violence sur la femme complètement inutile et sans nom , un mort qui prend en otage une famille bizarre et qui tue les méchants trop rapidement surtout le final , entre ça et la scène violente sur la femme le film aurait pu avoir 5 étoiles, en tout cas le meilleur acteur dans le film c'est Terence Yin qui joue le méchant justement.
Une mise en scène dynamique et qui comporte des séquences bien violentes, une excellente prestation de Tomer Sisley dans le rôle principal et une ambiance bien pesante font de ce thriller français une oeuvre à découvrir et ce malgré la présence d'un script qui n'est pas forcément très élaborer.
Il y a, dans ce nouveau polar signé Eric Valette, une sécheresse, une violence, une noirceur que j'ai trouvées très intéressantes. Et cette volonté de mélanger policier, action et drame rural. Même si ce dernier point paraît caricatural. Il faudrait expliquer aux parisiens que non les provinciaux ne sont pas forcément des arriérés en tout. Ceux qu'on voit dans Le Serpent aux mille coupures sont tous des chasseurs passant leur temps à trinquer au bar, à balancer des injures racistes sur le fermier noir du coin sur fond de terrain volé. Les policiers sont obnubilés par la fuite d'un terroriste islamiste sans se rendre compte qu'un mercenaire travaillant pour un cartel de la drogue décide de s'inviter à la fête. Autant dire que je n'ai pas non plus été convaincu par tout ce mélange entre toutes ces factions réglant ses comptes pile à côté de Toulouse. Ça doit sûrement être moins nébuleux dans le livre mais comme je ne l'ai pas lu je ne peux pas savoir. Le plus important étant que Tomer Sisley en fugitif et Terence Yin en tueur sadique assurent et c'est le cas. Surtout pour le côté sadique, je me demande toujours si c'est vraiment nécessaire de montrer ça au cinéma. Ou des brutalités sur des animaux. Quel intérêt ?
Film violent, qui donne souvent des frissons. Avec un peu d'indulgence on peut donc faire fi des invraisemblances. Mais à vouloir aborder trop de pistes (le motard mystérieux, les trafiquants, les villageois racistes ...) Eric Valette se perd et nous perd.
Belle surprise, ce film de genre français est une réussite totale. Sorte de néo-western rural mâtiné de grand banditisme et de références au cinéma d'action asiatique, cet étrange objet distille une atmosphère sombre et très violente. S'il multiplie les coïncidences hasardeuses, sa mise en scène ciselée et parfaitement maîtrisée signée Éric Valette lui assure une grande cohérence. Prenant de la première à la dernière seconde.
Intrigue compliquée, peu vraisemblable, dont le démarrage est très brouillon. Les acteurs, de niveaux très inégaux, ne relèvent en rien le niveau du film, qui ne permet pas de confirmer Eric Valette dans la catégorie des bons metteurs en scènes de long-métrages.
Histoire gerbante de faire passer les gens du sud-ouest en paysans moyen-âgeux racistes. Un scénario parisianiste qui ne connaît en rien la province à part par le biais de clichés éculés. Surtout que ce propos n'apporte strictement rien à l'histoire. Comment Eric Valette, pourtant natif de Toulouse, a-t-il pu servir une soupe aussi indigeste ? Loin, très loin de "La Proie". Un scénario faiblard et facile doté de trop grosses ficelles et coïncidences pour apparaître crédible. Les dialogues sont pauvres. Tomer Sisley, en méchant, n'est pas crédible.
Eric Valette continue sa carrière après le le très réussi La proie, mais avec Le serpent aux mille coupures il quitte le film d'action populaire pour le polar rurale. S'il le film à quelque défauts comme certains acteurs pas très inspirés et quelques égarements narratifs le reste est quasiment une réussite totale. Eric Valette croise mille influence dans son film le western,le polar rurale et le polar asiatique avec certaine scène graphiquement impressionnante. Au casting on trouve Tomer Sisley qui nous livre la meilleur performance de sa carrière et Terrence Yin qui joue un tueur sadique. Eric Valette compose une mise en scène efficace qui prend son temps jusqu'à un final extrêmement sanglant qui arrive à rassemblé toute les sous intrigue avec une très grande facilités. Au final Le serpent aux milles coupures est un polar efficace et ambitieux qui ne prend jamais par la mains son spectateur et qui lui fait confiance pour lui même lier les différentes sous intrigues Eric Valette déploie une imagerie qu'on a plus l'habitude de voir dans les polars français exit les décors urbains pour une imagerie provinciales
Petite série B du terroir avec de bon acteurs. Le suspens est là et on se prend au jeu malgré un scénario un peu surréaliste. Personne n'oubliera la tête du méchant. A voir. 3/5. ----Mais 2018----
Un polar rural à l'interprétation hasardeuse, mais très sombre malgré tout. Cela fait du "Serpent aux mille coupures" une œuvre qui sort un peu du lot malgré les nombreuses faiblesses et incohérences. En effet, la présence d'une pègre sud-américaine et de tueurs à gage dans un petit bled comme ça, c'est plutôt étonnant mais pourquoi pas ? L'intrigue est peu intéressante au final, et l'action inexistante. Le plus intéressant c'est finalement ces personnages atypiques et plus ou moins authentiques, même si les clichés sont bien là. Pas une œuvre marquante mais ça se regarde malgré tout.