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"Le Serpent aux mille coupures" possède ainsi la violence sèche et nerveuse des bons polars noirs à la française. Ce côté Fantasia chez les ploucs revu et corrigé par la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Eric Valette, réalisateur français sous-estimé à qui l'on doit déjà le haletant "La Proie", avec Albert Dupontel, ou le terrifiant "Maléfique", propose ici un polar d'une noirceur peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ne s’abandonnant pas aux effets coup-de-poing et à la virtuosité immature de tant de films de geek, "Le Serpent aux mille coupures" prend son temps et sait ménager des pauses où peut même s’immiscer une certaine mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Hormis un dénouement trop rapide, Eric Valette signe sans doute son meilleur film. La musique atmosphérique, la lumière et la photo intensifient cette guérilla saupoudrée d'humour noir.
Dans ce polar rural qui a pour toile de fond la campagne toulousaine, l’intrigue tisse une chasse à l’homme tirée vers l’épure. Valette ("Braquo") forge une mise en scène sans fioritures, qui rend hommage au genre du western.
Un thriller sombre, à la violence un peu complaisante, où tout se passe dans le champ clos d’un décor unique, ce qui rend l’atmosphère plus tendue et oppressante encore.
Tomer Sisley est impeccable, tout en retenue, dans un rôle principal qui garde jusqu’au bout sa part de mystère. Le film, pas exempt de maladresses et de baisses de régime, fait preuve d’une audace réjouissante avec son recours à une violence graphique assez surprenante.
On est en pleine furie irréaliste, dans une France américanisée à la Jacques Audiard, où régnerait une brutalité typiquement hollywoodienne : celle de la première version des "Nerfs à vif", signée Jack Lee Thompson. Et par instants, dans les bons moments, celle de Sam Peckinpah.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dans ce maelström de fausses notes et de contradictions, "Le Serpent aux mille coupures" est finalement lucide dans le constat et l’acceptation de son propre échec.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
De coïncidences invraisemblables en séquences de torture superflues, le polar d’Eric Valette tente sans succès de retrouver la veine du film noir français des années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ecran Large
Eric Valette s’offre l’immense plaisir de nous rappeler au bon souvenir de deux immenses cinéastes franc tireurs : Sam Peckinpah et John Carpenter.
Le Figaro
"Le Serpent aux mille coupures" possède ainsi la violence sèche et nerveuse des bons polars noirs à la française. Ce côté Fantasia chez les ploucs revu et corrigé par la mondialisation.
Le Parisien
Eric Valette, réalisateur français sous-estimé à qui l'on doit déjà le haletant "La Proie", avec Albert Dupontel, ou le terrifiant "Maléfique", propose ici un polar d'une noirceur peu commune.
Libération
Ne s’abandonnant pas aux effets coup-de-poing et à la virtuosité immature de tant de films de geek, "Le Serpent aux mille coupures" prend son temps et sait ménager des pauses où peut même s’immiscer une certaine mélancolie.
Transfuge
Hormis un dénouement trop rapide, Eric Valette signe sans doute son meilleur film. La musique atmosphérique, la lumière et la photo intensifient cette guérilla saupoudrée d'humour noir.
CNews
Dans ce polar rural qui a pour toile de fond la campagne toulousaine, l’intrigue tisse une chasse à l’homme tirée vers l’épure. Valette ("Braquo") forge une mise en scène sans fioritures, qui rend hommage au genre du western.
L'Obs
Eric Valette ("Une affaire d’Etat", 2009) a une qualité : il rend claires des intrigues qui se superposent à cadence de combat.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller sombre, à la violence un peu complaisante, où tout se passe dans le champ clos d’un décor unique, ce qui rend l’atmosphère plus tendue et oppressante encore.
Le Journal du Dimanche
Tomer Sisley est impeccable, tout en retenue, dans un rôle principal qui garde jusqu’au bout sa part de mystère. Le film, pas exempt de maladresses et de baisses de régime, fait preuve d’une audace réjouissante avec son recours à une violence graphique assez surprenante.
Studio Ciné Live
Passions sur la direction d'acteur, approximative, pour se concentrer sur une mise en scène au cordeau, sèche, efficace.
Télérama
On est en pleine furie irréaliste, dans une France américanisée à la Jacques Audiard, où régnerait une brutalité typiquement hollywoodienne : celle de la première version des "Nerfs à vif", signée Jack Lee Thompson. Et par instants, dans les bons moments, celle de Sam Peckinpah.
Critikat.com
Dans ce maelström de fausses notes et de contradictions, "Le Serpent aux mille coupures" est finalement lucide dans le constat et l’acceptation de son propre échec.
Le Monde
De coïncidences invraisemblables en séquences de torture superflues, le polar d’Eric Valette tente sans succès de retrouver la veine du film noir français des années 1980.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette adaptation du roman noir de DOA, Éric Valette s’empêtre dans un polar obscur, confondant profondeur et mystère gratuit.