Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
On sort bouleversé.
Libération
par François-Xavier Gomez
Chavela Vargas, réalisé par les Américaines Catherine Gund et Daresha Kyi, est peut-être le documentaire musical le plus prenant depuis "Sugarman". Contrairement au film sur le chanteur soul (mexicain lui aussi) Sixto Rodriguez, il n’emprunte pas les chemins de la fiction. Il n’en n'a pas besoin, tant le récit de Chavela Vargas est romanesque, enchevêtrant la réalité et le désir, le terrestre et l’imaginaire.
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Un portrait passionnant.
L'Express
par Antoine Le Fur
Jamais redondant, le documentaire bénéficie d'images rares et d'un esthétisme envoûtant.
L'Obs
par François Forestier
Ce beau documentaire lui rend hommage, à travers documents, interviews, souvenirs (elle aurait enregistré 80 disques, dit-on) et restitue sa légende de lesbienne flamboyante (elle se serait enfuie avec Ava Gardner lors du mariage de Liz Taylor !).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un documentaire qui trouve sa force dans une personnalité hors norme, complexe jusque dans l’affirmation de son homosexualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
Hommage à la grande chanteuse mexicaine « ranchera », Chavela Vargas, décédée en 2012 à 93 ans, ce documentaire est à la fois un film sur la chanteuse aux deux carrières, séparées par une vingtaine d’années, et sur l’homosexuelle qui fût la première femme à se produire en pantalon dans son pays.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Chavela Vargas mérite d'être (re)connue et ce documentaire devrait y contribuer.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le portrait passionnant d'un garçon manqué puis d'une lesbienne assumée, dans un Mexique homophobe et hypocrite.
Transfuge
par Nathalie Dassa
(...) ce documentaire plutôt classique mais qui dénote toute la complexité de cette chanteuse et musicienne de ranchera, genre populaire traditionnellement pratiqué par des hommes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Les deux réalisatrices communiquent leur admiration pour cette chanteuse qu’elles dépeignent en héroïne de la libération homosexuelle, même si elle ne revendiqua ce rôle que tardivement. Mais la liberté de Chavela Vargas est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce film tente de percer le mystère de cette icône qui a tant fasciné Pedro Almodovar.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Classique sur sa forme, ce portrait documentaire sur l’icône mexicaine offre la vision en creux d’un monde ultracodé, où une femme s’est imposée sans chercher à plaire, et a fait avancer une société par son seul mode de vie. Un témoignage fort.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Vincent Ostria
Assez ordinaire dans sa forme, ce documentaire est dynamisé par son sujet, par cette géniale pasionaria.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Panégyrique et conventionnel dans sa forme, ce film retrace son parcours au gré d'extraits d'interviews et de témoignages de proches de ses vieux jours, dont Pedro Almodovar.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les documentaristes américaines Catherine Gund et Daresha Kyi retracent méthodiquement ce parcours, donnant aux néophytes un aperçu étourdissant de l’univers mental et musical de Chavela Vargas.
Première
par Christophe Narbonne
Ce documentaire, bourré d’archives et d’interviews rares, explique son importance auprès de la communauté LGBT mexicaine tout en s’attardant sur son alcoolisme qui entraîna chez cette femme de passion violence envers les autres et autodestruction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
On sort bouleversé.
Libération
Chavela Vargas, réalisé par les Américaines Catherine Gund et Daresha Kyi, est peut-être le documentaire musical le plus prenant depuis "Sugarman". Contrairement au film sur le chanteur soul (mexicain lui aussi) Sixto Rodriguez, il n’emprunte pas les chemins de la fiction. Il n’en n'a pas besoin, tant le récit de Chavela Vargas est romanesque, enchevêtrant la réalité et le désir, le terrestre et l’imaginaire.
Charlie Hebdo
Un portrait passionnant.
L'Express
Jamais redondant, le documentaire bénéficie d'images rares et d'un esthétisme envoûtant.
L'Obs
Ce beau documentaire lui rend hommage, à travers documents, interviews, souvenirs (elle aurait enregistré 80 disques, dit-on) et restitue sa légende de lesbienne flamboyante (elle se serait enfuie avec Ava Gardner lors du mariage de Liz Taylor !).
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire qui trouve sa force dans une personnalité hors norme, complexe jusque dans l’affirmation de son homosexualité.
Positif
Hommage à la grande chanteuse mexicaine « ranchera », Chavela Vargas, décédée en 2012 à 93 ans, ce documentaire est à la fois un film sur la chanteuse aux deux carrières, séparées par une vingtaine d’années, et sur l’homosexuelle qui fût la première femme à se produire en pantalon dans son pays.
Rolling Stone
Chavela Vargas mérite d'être (re)connue et ce documentaire devrait y contribuer.
Studio Ciné Live
Le portrait passionnant d'un garçon manqué puis d'une lesbienne assumée, dans un Mexique homophobe et hypocrite.
Transfuge
(...) ce documentaire plutôt classique mais qui dénote toute la complexité de cette chanteuse et musicienne de ranchera, genre populaire traditionnellement pratiqué par des hommes.
Télérama
Les deux réalisatrices communiquent leur admiration pour cette chanteuse qu’elles dépeignent en héroïne de la libération homosexuelle, même si elle ne revendiqua ce rôle que tardivement. Mais la liberté de Chavela Vargas est magnifique.
Voici
Ce film tente de percer le mystère de cette icône qui a tant fasciné Pedro Almodovar.
Bande à part
Classique sur sa forme, ce portrait documentaire sur l’icône mexicaine offre la vision en creux d’un monde ultracodé, où une femme s’est imposée sans chercher à plaire, et a fait avancer une société par son seul mode de vie. Un témoignage fort.
L'Humanité
Assez ordinaire dans sa forme, ce documentaire est dynamisé par son sujet, par cette géniale pasionaria.
Le Journal du Dimanche
Panégyrique et conventionnel dans sa forme, ce film retrace son parcours au gré d'extraits d'interviews et de témoignages de proches de ses vieux jours, dont Pedro Almodovar.
Le Monde
Les documentaristes américaines Catherine Gund et Daresha Kyi retracent méthodiquement ce parcours, donnant aux néophytes un aperçu étourdissant de l’univers mental et musical de Chavela Vargas.
Première
Ce documentaire, bourré d’archives et d’interviews rares, explique son importance auprès de la communauté LGBT mexicaine tout en s’attardant sur son alcoolisme qui entraîna chez cette femme de passion violence envers les autres et autodestruction.