Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
"Compañeros" est moins un brûlot spectaculaire digne des grands Costa-Gavras qu’un récit intimiste magnifiant la résistance humaine.
20 Minutes
par Caroline Vié
Antonio de la Torre se montre aussi sobre que convaincant pour laisser la réflexion et l’émotion prendre le pas sur sa prestation.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film courageux et puissant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film puissant.
L'Obs
par François Forestier
Alvaro Brechner reconstitue cette ère de plomb avec talent et privilégie l'étincelle d'humanité qui subsiste dans la nuit la plus totale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film volontairement éprouvant, où la force minutieuse du récit crée une atmosphère oppressante.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film déchirant et beau, qui nous apprend avant son générique que l’un des trois prisonniers est ensuite devenu président de l’Uruguay.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Vertigineux.
Ouest France
par La Rédaction
Un vrai film coup de poing.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur uruguayen Alvaro Brechner signe un film essentiel sur la dictature militaire qui a sévi dans son pays dans les années 70 et 80.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
À mi-chemin du Hunger de Steve McQueen et des grands Costa-Gavras des années 70-80, Compañeros met KO mais galvanise aussi, grâce à trois acteurs bouleversants d’humanité, trois gueules sublimes qui entrent instantanément au Panthéon du cinéma de combat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Ce qui porte le film, c’est la prestation d’Antonio de la Torre, de Chino Darín et d’Alfonso Tort, chacun amaigris d’une quinzaine de kilos et qui, sans jamais céder à la facilité du pathos, incarnent ce qu’est la survie.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Alvaro Brechner ressuscite ce combat entre réalité et folie, suivie et renoncement. La mise en scène, sèche et vertigineuse, bat au rythme de la seule question que se pose le cinéaste : "Que reste-t- il d’un homme lorsqu’on lui enlève tout ?"
Télérama
par Samuel Douhaire
Un récit glaçant, mais plein d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un hymne poignant, ambitieux et politique à tous ceux qui vont jusqu’au bout de leurs forces pour préserver leurs idéaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Alain Zind
Bien que Compañeros n’évite pas les travers de la fable patriotique dénonçant l’injustice dont furent victimes les trois hommes, le cinéaste a toutefois la justesse de s’en tenir le plus souvent à la dimension intime et sensible de ce chemin de croix politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Des maladresses qui n'éclipsent toutefois ni la sincérité de la démarche du cinéaste ni le talent du trio de comédiens, irréprochables en prisonniers torturés.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Un film qui s’envisage avant tout comme un hymne à la résistance de l’esprit humain, même aux heures les plus sombres de son existence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Outre la reconstitution avisée des faits, d’ellipses en cicatrices, de prisons en prisons, le cinéaste parvient à nous faire ressentir l’égarement de ces détenus rompus par les jours impossibles à compter, comme leurs souffrances accumulées. Si ce n’est (dommage !) que quelques décisions formellement académiques viennent déjouer un peu ce trouble de l’orientation [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Éric Derobert
En s'appuyant notamment sur la géométrie de l'espace carcéral, le récit décrit cet étirement du temps et son décompte, les privations de toutes sortes, l'égarement de la raison et des sens, et puis aussi les rares et précieux moments d'échanges et d'humanité.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Faute d’un point de vue original sur une réalité terrible qui, certes, mérite d’être racontée, la mise en scène s’est contentée, ici, d’accumuler des scènes comme on coche les jours sur un calendrier.
La Croix
par Céline Rouden
Le film d’Alvaro Brechner souffre d’une réalisation convenue qui échoue à retranscrire le calvaire vécu par ces prisonniers.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
"Compañeros" est moins un brûlot spectaculaire digne des grands Costa-Gavras qu’un récit intimiste magnifiant la résistance humaine.
20 Minutes
Antonio de la Torre se montre aussi sobre que convaincant pour laisser la réflexion et l’émotion prendre le pas sur sa prestation.
CinemaTeaser
Un film courageux et puissant.
L'Humanité
Un film puissant.
L'Obs
Alvaro Brechner reconstitue cette ère de plomb avec talent et privilégie l'étincelle d'humanité qui subsiste dans la nuit la plus totale.
Le Dauphiné Libéré
Un film volontairement éprouvant, où la force minutieuse du récit crée une atmosphère oppressante.
Le Parisien
Un film déchirant et beau, qui nous apprend avant son générique que l’un des trois prisonniers est ensuite devenu président de l’Uruguay.
Le Point
Vertigineux.
Ouest France
Un vrai film coup de poing.
Paris Match
Le réalisateur uruguayen Alvaro Brechner signe un film essentiel sur la dictature militaire qui a sévi dans son pays dans les années 70 et 80.
Première
À mi-chemin du Hunger de Steve McQueen et des grands Costa-Gavras des années 70-80, Compañeros met KO mais galvanise aussi, grâce à trois acteurs bouleversants d’humanité, trois gueules sublimes qui entrent instantanément au Panthéon du cinéma de combat.
Rolling Stone
Ce qui porte le film, c’est la prestation d’Antonio de la Torre, de Chino Darín et d’Alfonso Tort, chacun amaigris d’une quinzaine de kilos et qui, sans jamais céder à la facilité du pathos, incarnent ce qu’est la survie.
Sud Ouest
Alvaro Brechner ressuscite ce combat entre réalité et folie, suivie et renoncement. La mise en scène, sèche et vertigineuse, bat au rythme de la seule question que se pose le cinéaste : "Que reste-t- il d’un homme lorsqu’on lui enlève tout ?"
Télérama
Un récit glaçant, mais plein d’espoir.
aVoir-aLire.com
Un hymne poignant, ambitieux et politique à tous ceux qui vont jusqu’au bout de leurs forces pour préserver leurs idéaux.
Critikat.com
Bien que Compañeros n’évite pas les travers de la fable patriotique dénonçant l’injustice dont furent victimes les trois hommes, le cinéaste a toutefois la justesse de s’en tenir le plus souvent à la dimension intime et sensible de ce chemin de croix politique.
L'Express
Des maladresses qui n'éclipsent toutefois ni la sincérité de la démarche du cinéaste ni le talent du trio de comédiens, irréprochables en prisonniers torturés.
Les Fiches du Cinéma
Un film qui s’envisage avant tout comme un hymne à la résistance de l’esprit humain, même aux heures les plus sombres de son existence.
Libération
Outre la reconstitution avisée des faits, d’ellipses en cicatrices, de prisons en prisons, le cinéaste parvient à nous faire ressentir l’égarement de ces détenus rompus par les jours impossibles à compter, comme leurs souffrances accumulées. Si ce n’est (dommage !) que quelques décisions formellement académiques viennent déjouer un peu ce trouble de l’orientation [...].
Positif
En s'appuyant notamment sur la géométrie de l'espace carcéral, le récit décrit cet étirement du temps et son décompte, les privations de toutes sortes, l'égarement de la raison et des sens, et puis aussi les rares et précieux moments d'échanges et d'humanité.
Cahiers du Cinéma
Faute d’un point de vue original sur une réalité terrible qui, certes, mérite d’être racontée, la mise en scène s’est contentée, ici, d’accumuler des scènes comme on coche les jours sur un calendrier.
La Croix
Le film d’Alvaro Brechner souffre d’une réalisation convenue qui échoue à retranscrire le calvaire vécu par ces prisonniers.