Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Viaje" bouscule, émeut et fait réfléchir. Servi par d'excellentes comédiennes, le film est une invitation à l'introspection douce-amère, comme pour nous rappeler que les plus grandes et belles constructions passent nécessairement par de douloureuses destructions. Immanquable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Sur la base de ce scénario très ténu, la réalisatrice Celia Rico Clavellino, jouant avec les répétitions, les sons, les hors-champs, dit à merveille la douleur du deuil, et ce temps qui ne passe plus.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
La relation d'une mère et d'une fille fragilisée par les étapes de la vie, magnifiée par le regard doux et sincère de la réalisatrice Celia Rico Clavellino. Un premier long métrage très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
La banalité et la tristesse n’ont d’ailleurs rien d’évident, en tout cas au cinéma : Lola Dueñas et Anna Castillo les jouent aussi bien que Celia Rico Clavellino les provoque et les met en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Un premier film à la délicatesse remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Un huis clos touchant et juste.
L'Obs
par François Forestier
Ce premier film est le récit tremblé de tout ce qui constitue une relation filiale, petits gestes, petits regards, petites frustrations, petites joies. Il y a, de la part de la cinéaste, une sensibilité douce qui donne au film son allure de concerto à deux voix.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Tout est dans le titre initial du film: Viaje al cuarto de una madre (Voyage autour de la chambre d’une mère). Dont la fille n’ose lui dire qu’elle veut partir à Londres vivre sa vie. Leur relation fusionnelle pourrait ne pas résister à la séparation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Sans (presque) jamais décoller du logis familial, Celia Rico Clavellino filme la secousse de la séparation entre une mère et sa fille, très vite résorbée par la tendresse que l’une et l’autre se portent.
Positif
par Éric Derobert
[...] une sensibilité feutrée [...].
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Accordant beaucoup d’importance aux détails, la réalisatrice signe un récit touchant, mais sa sincérité peine à faire oublier la fragilité d’une intrigue un peu mince.
Première
par Thierry Chèze
La réalisatrice a la belle idée de concentrer l’essentiel de son récit dans cet appartement familial, symbolisant son double aspect cocon et prison. Mais le très délicat Viaje reste trop sage et trop scolaire pour transcender un sujet aussi classique et y apporter une touche réellement personnelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
"Viaje" bouscule, émeut et fait réfléchir. Servi par d'excellentes comédiennes, le film est une invitation à l'introspection douce-amère, comme pour nous rappeler que les plus grandes et belles constructions passent nécessairement par de douloureuses destructions. Immanquable.
Franceinfo Culture
Sur la base de ce scénario très ténu, la réalisatrice Celia Rico Clavellino, jouant avec les répétitions, les sons, les hors-champs, dit à merveille la douleur du deuil, et ce temps qui ne passe plus.
Les Fiches du Cinéma
La relation d'une mère et d'une fille fragilisée par les étapes de la vie, magnifiée par le regard doux et sincère de la réalisatrice Celia Rico Clavellino. Un premier long métrage très prometteur.
Libération
La banalité et la tristesse n’ont d’ailleurs rien d’évident, en tout cas au cinéma : Lola Dueñas et Anna Castillo les jouent aussi bien que Celia Rico Clavellino les provoque et les met en scène.
Télérama
Un premier film à la délicatesse remarquable.
Voici
Un huis clos touchant et juste.
L'Obs
Ce premier film est le récit tremblé de tout ce qui constitue une relation filiale, petits gestes, petits regards, petites frustrations, petites joies. Il y a, de la part de la cinéaste, une sensibilité douce qui donne au film son allure de concerto à deux voix.
Le Figaro
Tout est dans le titre initial du film: Viaje al cuarto de una madre (Voyage autour de la chambre d’une mère). Dont la fille n’ose lui dire qu’elle veut partir à Londres vivre sa vie. Leur relation fusionnelle pourrait ne pas résister à la séparation.
Le Monde
Sans (presque) jamais décoller du logis familial, Celia Rico Clavellino filme la secousse de la séparation entre une mère et sa fille, très vite résorbée par la tendresse que l’une et l’autre se portent.
Positif
[...] une sensibilité feutrée [...].
Le Journal du Dimanche
Accordant beaucoup d’importance aux détails, la réalisatrice signe un récit touchant, mais sa sincérité peine à faire oublier la fragilité d’une intrigue un peu mince.
Première
La réalisatrice a la belle idée de concentrer l’essentiel de son récit dans cet appartement familial, symbolisant son double aspect cocon et prison. Mais le très délicat Viaje reste trop sage et trop scolaire pour transcender un sujet aussi classique et y apporter une touche réellement personnelle.