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    La Belle et la Belle
    Note moyenne
    2,4
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    118 critiques spectateurs

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    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2018
    Un film plein de charme avec deux actrices formidables qui donnent une énergie et une bonne humeur tout au long du film avec leur personnalité cash, drôle et formidablement sympathique.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2018
    Comédie (?) fantaisiste, avec une pointe de fantastique, qui ne vaut que pour ses deux actrices. L’idée de départ – une femme coexistant en deux personnages, l’un à son âge, l’autre vingt ans avant – semble séduisante. Mais le marivaudage qui sert de trame, les situations incohérentes, les dialogues assez pauvres et le rythme molasson du film distillent l’ennui et le désintérêt. Reste, je le répète, le plaisir de goûter à l’excellent jeu des actrices qui ont d’autant plus de mérite qu’on se rend compte qu’elles se dirigent toutes seules. En revanche Poupaud semble totalement dépassé dans son rôle mal défini. Un film sympathique mais raté. Madame Kiberlain, retrouvez vite Dupontel pour votre prochain film… et dans moins de neuf mois si possible !
    Jean HERVE
    Jean HERVE

    9 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2018
    Une comédie charmante sympathique un bon moment de détente parfois un peu déboussolant entre la jeune et la femme d'âge mûr pouvoir les situer dans l'action mais bon pas la peine de se prendre la tête
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 mars 2018
    Un peu déçu par ce film. Agathe Bonitzer m'est assez antipathique, difficile de rentrer dans l'histoire avec un personnage qui tire la gueule pendant 1h30. La mise en scène à force de vouloir cacher ce qu'elle veut montrer finit par cacher ce qu'elle veut montrer. L'idée de départ est pourtant sympa.
    ouadou
    ouadou

    83 abonnés 374 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mars 2018
    Avec une actrice pareille et une idée pareille, c'est encore pire de rater à ce point son film. On ne croit à rien, c'est paresseux dans l'écriture. La mise en scène est d'une platitude abyssale, l'image est terne et Agathe Bonitzer est vraiment fade et ennuyeuse tout le long du film. Heureusement que Kiberlain reste une actrice exceptionnelle.
    Ricco92
    Ricco92

    220 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2018
    Pour se démarquer du tout venant de la comédie romantique française, Sophie Fillières choisit un argument fantastique avec La Belle et la Belle. Hélas, elle ne réussit jamais à rendre celui-ci crédible (les deux Margaux accepte tellement facilement le fait qu’elles soient la même personne que cela enlève tout réalisme). Quand on ne croit pas un seul instant à l’histoire et que celle-ci est illustrée visuellement de manière extrêmement banale, il est difficile d’être passionné par un film même si les comédiens semblent y mettre tous leur cœur. La Belle et la Belle est donc un film très oubliable.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2018
    Des situations cocasses et un effet miroir parfois émouvant malgré quelques faiblesses dans la seconde partie du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Ce film est d'une grande subtilité, on sourit très souvent des situations que la réalisatrice s'amuse à broder autour de cette invraisemblable rencontre à laquelle on adhère complètement, et on se laisse prendre à croire que les 2 femmes vont pouvoir gérer peut-etre autrement le destin de la plus jeune, non pour ses rencontres sans lendemain, mais pour un choix capital de leur vie . Ces deux femmes que je trouve très touchantes dans leur liberté bohème et leur refus des conventions.Il y a aussi une histoire d'amour, mais je ne dirai pas que c'est une comédie romantique, la réalisatrice évite cette facilité, et cette histoire est tout à fait surprenante. Les dialogues sont d'une grande subtilité, et la fin du film ne me semble pas tirée par les cheveux comme le disait un critique professionnel, au contraire, on nous laisse imaginer la suite.
    Marilou M.
    Marilou M.

    4 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2018
    Drôle de rencontre. Si on comprend vite l'objectif de Margaux 1de changer les erreurs de sa vie passé, tout est assez incohérent : comment changer dans ta vie à 40 ans, ce qui se passe dans "ta vie" à 25 ans, mais dans le monde de tes 40 ans....? De bons acteurs qui font ce qu'ils peuvent pour porter un scénario qui ne remplit pas ses promesses.
    juste1zeste
    juste1zeste

    2 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Aucun intérêt. C'est poussif. du cinéma parisien d'auteeeeeuuur (attention!) qui se regarde le nombril. Je suis partie avant la fin ce qui m'arrive rarement. Agathe Bonitzer si elle n'etait pas "la fille de...", honnêtement il y a peu de chance qu'elle se ferait repérer.
    Fanatoile
    Fanatoile

    16 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Bonne comédie sur le retour sur soi et son analyse avec ses plus ou ses regrets. Mais cela manque de rythme :on oscille entre la facilité, les situations vraiment prévisibles.. Mais on passe quand même un bon moment assez original qui tient grâce aux trois excellents comédiens
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 mars 2018
    Sous une apparence d'humour et de légèreté, le film aborde des sujets de fond de manière originale. La relation d'une femme avec elle-même, avec sa jeunesse et avec ses choix passés. La remise en question permanente de ses choix et de ses trajectoires (ce fameux "et si j'avais plutôt fait ça, ma vie aurait-elle changé?"). La complexité, pour un homme, d'aimer une femme sans être nostalgique du désir qu'elle nous procurait quand elle était plus jeune. La beauté mais aussi l'angoisse générée par le fait d'avancer dans la vie sans savoir où l'on va, un peu à tâtons. La nécessité de se tromper à un instant t pour être heureux à un instant t 1...
    Je regrette seulement que les ressorts du film manquent de subtilité. Le personnage de Marc sert presque de sous-titre à ces analyses, Sandrine Kiberlain en rouge et Agathe Bonitzer en bleu qui finissent par devenir mi-rouge, mi-bleu.. les ficelles sont souvent un peu grosses. Le jeu d'acteurs de Sandrine Kiberlain et de Melvil Poupaud compense par sa finesse, mais je regrette de ne pas pouvoir en dire autant d'Agathe Bonitzer.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2018
    Margaux I (Agathe Bonitzer) a vingt-cinq ans, vit à Paris et ne sait pas trop que faire de sa vie. Margaux II (Sandrine Kiberlain) en a vingt de plus, habite Lyon et monte à Paris enterrer une vieille amie.
    Margaux I et Margaux II ne forment en fait qu'une seule et même personne. L'aînée est le produit des choix de la cadette. La cadette a devant elle l'infinie des possibles entre lesquels la vie a obligé l'aînée à arbitrer.

    Diplômée, comme Noémie Lvovsky ou la regrettée Solveig Anspach, de la toute première promotion de la Femis, Sophie Fillières est une réalisatrice et une scénariste dont les films et les scénarios élégants ("Gentille", "Ouf", "Week-ends", "Arrête ou je continue") interrogent avec humour le mal-être de nos contemporains. Sa dernière réalisation ne déroge pas à la règle qui est bâtie sur un postulat fantastique : que ferions-nous si nous nous rencontrions âgé de vingt ans de plus et que nous découvrions ce que nous avons fait de notre vie ?

    Sans doute céderions-nous au désespoir. Notre ambition était si grande, nos rêves si immenses et l'horizon des possibles si large... On comprend que Margaux II trouve Margaux I horripilante - même si elle porte fièrement sa quarantaine bien frappée - qui est devenue lyonnaise et prof d'histoire-géo (poke ma belle-sœur). Mais bizarrement, ce n'est pas cette veine qui est utilisée, pas plus que celle, comique, qui aurait consisté pour Margaux II à prévenir Margaux I des événements sur le point de survenir dans sa vie.

    "La Belle et la belle" après une mise en bouche appétissante s'affadit dans un trio amoureux dépourvu d'intérêt. Tandis que Margaux II renoue avec son ex (Melvil Poupaud), Margaux I en fait la connaissance. Logiquement, une longue histoire d'amour - dont on sait hélas l'issue inéluctable - est en train de commencer entre Margaux I et le bellâtre, histoire qui, logiquement encore ( à supposer que la logique ait sa place dans ses boucles temporelles vite absurdes), doit empêcher Margaux II de renouer avec son ex. L'histoire se termine avec une belle élégance, manière de montrer que nos vies ne sont pas jouées d'avance, quel que soit son âge. Mais cet épilogue, aussi intelligent soit-il, ne suffit pas à sauver le film.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Elles ont le même prénom. Elles ont vingt d’écart. En réalité, ce sont les deux mêmes personnes qui se rencontrent concomitamment à une soirée mais pour la plus âgée des deux, elle a déjà vécu ce que la plus jeune s’apprête à vivre. Dit comme cela, on peut penser à un objet cinématographique sans queue ni tête. Mais curieusement, on y croit un peu. Le récit est même habilement mené jusqu’au dénouement final qui, pour le coup, plombe une sauce qui commençait à prendre.

    Le film est tout entier habité par une Sandrine Kiberlain resplendissante, tout autant que son pendant, Agathe Bonitzer est désagréable et boudeuse. Il y a là un hiatus assez incongru que de vouloir mettre en scène deux personnages qui ont été les mêmes à 20 ans de décalage, et de les voir aussi différentes. A commencer par les yeux. La plus âgée les a bleus, la plus jeune les as dans les marrons. Cette petite erreur de casting ne cesse plus de hanter tout le récit. Sauf à penser que finalement, ces deux personnages sont bien différents, ce qui évidemment casse tout l’intérêt du scénario.

    « La Belle et la Belle » s’épuise dans une série de clichés narratifs, à commencer par le personnage de Melvil Poupaud, absolument élégant, qui donne à la masculinité une image des plus piètres. Mais Lyons où se passe cette histoire est une belle ville. Et on a plaisir de déambuler avec les acteurs dans le centre bobo de la capitale de la région Rhône Alpes, d’un restaurant à l’autre, ou d’une ruelle pavée à l’autre. Pour le reste, regarder les acteurs skier dans leurs accoutrements rutilants, laisse le spectateur pantois devant un tel étalage d’argent et de désinvolture. Dès lors, il devient très difficile de s’identifier aux personnages, sauf à penser que nous habitons tous une grande ville, dans des appartements luxueux, et passons nos vacances d’hiver dans des stations cossues des Alpes.

    Bref, « La Belle et la Belle » n’a pas beaucoup d’intérêt, sinon peut-être de retrouver sur les écrans Kiberlain qu’on ne se lasse pas de regarder depuis son rôle de juge incroyable dans « 9 mois fermes ».
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mars 2018
    Malgré l'admiration que je porte à Sandrine Kiberlain, elle ne pouvait à elle seule sauver ce film sans relief. On s'y ennuie ferme et il est déconseillé d'y chercher de la cohérence ! Surtout ne pas essayer de comprendre. La fin n'apporte rien ! Ni solution, ni surprise !
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