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Un visiteur
5,0
Publiée le 15 mars 2018
J'avais eu un coup de coeur pour le film quand je j'avais vu la première fois en avant première il y a quelques semaines, j'y suis retournée hier et j'ai encore plus aimé le film. L'écriture est très fine, et il y a plein de subtilités et de jeux avec les mots que je n'avais pas compris la première fois. Le thème du double est abordé avec beaucoup de singularité et de personnalité.
Enfin un scénario original au cinéma. On suit l'histoire d'une personne qui espère faire les bons choix avec le recul qu lui permet la situation. PLV : bn jeu des deux actrices
C’est trop pas une comédie romantique, c’est plutôt une fiction qui imagine sa propre réalité. A moins que le continuum spatio-temporel de deux films de Sophie Fillières se soient percutés. Faire jouer sa fille et l’actrice de ses propres débuts, là j’ai le vertige ! A revoir pour mieux compte la subtilité du propos amoureux...
Une comédie touchant et originale dans son approche. Un regard sur le temps qui passe, sur les erreurs passées. Un miroir d'une existence. La Belle et la Belle est une comédie dramatique originale.
Aucun intérêt. C'est poussif. du cinéma parisien d'auteeeeeuuur (attention!) qui se regarde le nombril. Je suis partie avant la fin ce qui m'arrive rarement. Agathe Bonitzer si elle n'etait pas "la fille de...", honnêtement il y a peu de chance qu'elle se ferait repérer.
Une comédie qui intègre un élément relevant du registre fantastique : le même personnage à deux âges de sa vie, l'aînée revivant au travers de la benjamine ses expériences passées et essayant ainsi de guider la seconde. Ce type de mise en scène, déjà utilisée, a souvent été propice à des situations cacophoniques ou à des quiproquos. Mais ce n'est pas le choix qui a été fait ici. Le côté fantastique ne sera pas exploité comme tel. La situation sera présentée comme naturelle, comme quelque chose qui peut arriver. C'est sans doute à dessein que la mise en place est assez longue. Le spectateur s'y accroche volontiers. Jusqu'à ce que le duo soit constitué et interagisse. Malheureusement, à partir de là ça s'étire en longueur. Il ne se passe plus grand chose. Un air de scénario original mais qui amène à se poser la question : quoi en faire ? Sans trop trouver de réponse. Au bout de 95 minutes, content que ça soit fini.
Elles ont le même prénom. Elles ont vingt d’écart. En réalité, ce sont les deux mêmes personnes qui se rencontrent concomitamment à une soirée mais pour la plus âgée des deux, elle a déjà vécu ce que la plus jeune s’apprête à vivre. Dit comme cela, on peut penser à un objet cinématographique sans queue ni tête. Mais curieusement, on y croit un peu. Le récit est même habilement mené jusqu’au dénouement final qui, pour le coup, plombe une sauce qui commençait à prendre.
Le film est tout entier habité par une Sandrine Kiberlain resplendissante, tout autant que son pendant, Agathe Bonitzer est désagréable et boudeuse. Il y a là un hiatus assez incongru que de vouloir mettre en scène deux personnages qui ont été les mêmes à 20 ans de décalage, et de les voir aussi différentes. A commencer par les yeux. La plus âgée les a bleus, la plus jeune les as dans les marrons. Cette petite erreur de casting ne cesse plus de hanter tout le récit. Sauf à penser que finalement, ces deux personnages sont bien différents, ce qui évidemment casse tout l’intérêt du scénario.
« La Belle et la Belle » s’épuise dans une série de clichés narratifs, à commencer par le personnage de Melvil Poupaud, absolument élégant, qui donne à la masculinité une image des plus piètres. Mais Lyons où se passe cette histoire est une belle ville. Et on a plaisir de déambuler avec les acteurs dans le centre bobo de la capitale de la région Rhône Alpes, d’un restaurant à l’autre, ou d’une ruelle pavée à l’autre. Pour le reste, regarder les acteurs skier dans leurs accoutrements rutilants, laisse le spectateur pantois devant un tel étalage d’argent et de désinvolture. Dès lors, il devient très difficile de s’identifier aux personnages, sauf à penser que nous habitons tous une grande ville, dans des appartements luxueux, et passons nos vacances d’hiver dans des stations cossues des Alpes.
Bref, « La Belle et la Belle » n’a pas beaucoup d’intérêt, sinon peut-être de retrouver sur les écrans Kiberlain qu’on ne se lasse pas de regarder depuis son rôle de juge incroyable dans « 9 mois fermes ».
Une très belle surprise que ce film qui part d'un postulat fantastique, traité avec réalisme et drôlerie. C'est léger mais ça nous fait aussi réfléchir, et je ne m'attendais pas à être aussi émue. C'est un film qui fait vraiment du bien, qui donne envie d'être aimée, et surtout de s'aimer et s'accepter soi-même. Sandrine Kiberlain est formidable, et confirme que c'est une des meilleures actrices françaises. Et Melvil Poupaud est juste trop craquant !
Une variation informe sur le thème de Peggy Sue... Scénario inepte, acteurs en roue libre, absences de direction artistique. Le cinéma des hauteurs français nous livre encore un pensum indigeste qui n'intéressera que les membres des institutions qui ont validé sa production à grands renforts de subventions. A fuir !
C'est hyper bien comme film. c'est drôle et émouvant en même temps. Il y a quelques répliques qui font mouche, et Sandrine Kiberlain se confirme comme une actrice de grand talent.
Malgré l'admiration que je porte à Sandrine Kiberlain, elle ne pouvait à elle seule sauver ce film sans relief. On s'y ennuie ferme et il est déconseillé d'y chercher de la cohérence ! Surtout ne pas essayer de comprendre. La fin n'apporte rien ! Ni solution, ni surprise !
Ca commence bien ! histoire sympathique, bien jouée , plein de fantaisie, scénario original ... trop peut être ... comment se sortir de cette histoire abracadabrante ... ça patine, il y a du remplissage et une fin finalement rapide. Dommage
L'art du vide... film qui se regarde bien bien le nombril... qui a son dicton/instant philo : "dans la vie il ne faut pas louper son train"... mais quel plaisir peut-on tirer de cette expérience vertigineuse qui est de cotoyer le "rien"???... Rien c'est déjà beaucoup dirait Gainsbourg mais on est au cinéma : l'image, le son, la musique,les acteurs, le scénario, le décor... si on veut appuyer sur un de ces boutons et travailler un peu, c'est quand même pas difficile!!!... et quand on se montre aussi feignant et dénué de talent, il faut savoir arrêter de faire des films. On ne pourra pas garder grand chose du visionnage de ce film, on se fait voler 2 heures de notre temps. Fuyez si vous aimez le cinéma!!! Aucune émotion. Mais ceci dit, excellent film sur le néant.