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momo M.
41 abonnés
282 critiques
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1,0
Publiée le 16 mars 2018
l'idée est bonne mais le film est raté. Les meilleures moments sont dans la bande annonce, sinon, c'est mortel. J'y suis allée car j'aime beaucoup Sandrine Kiberlain et heureusement qu'elle est là pour sauver ce désastre. Agathe Bonitzer, vraiment pas gracieuse, n'a pas eu trop de mal à avoir le rôle ! Film insipide, les personnages sont des têtes à claques et les dialogues sont plats ! à fuir
Plutôt très déçue par ce film. Au départ une super idée , une femme quadra qui rencontre celle qu’elle fut jeune...j’imaginais un scénario bien plus original..... Sandrine Kiimberlain est très convaincante...
Margaux I (Agathe Bonitzer) a vingt-cinq ans, vit à Paris et ne sait pas trop que faire de sa vie. Margaux II (Sandrine Kiberlain) en a vingt de plus, habite Lyon et monte à Paris enterrer une vieille amie. Margaux I et Margaux II ne forment en fait qu'une seule et même personne. L'aînée est le produit des choix de la cadette. La cadette a devant elle l'infinie des possibles entre lesquels la vie a obligé l'aînée à arbitrer.
Diplômée, comme Noémie Lvovsky ou la regrettée Solveig Anspach, de la toute première promotion de la Femis, Sophie Fillières est une réalisatrice et une scénariste dont les films et les scénarios élégants ("Gentille", "Ouf", "Week-ends", "Arrête ou je continue") interrogent avec humour le mal-être de nos contemporains. Sa dernière réalisation ne déroge pas à la règle qui est bâtie sur un postulat fantastique : que ferions-nous si nous nous rencontrions âgé de vingt ans de plus et que nous découvrions ce que nous avons fait de notre vie ?
Sans doute céderions-nous au désespoir. Notre ambition était si grande, nos rêves si immenses et l'horizon des possibles si large... On comprend que Margaux II trouve Margaux I horripilante - même si elle porte fièrement sa quarantaine bien frappée - qui est devenue lyonnaise et prof d'histoire-géo (poke ma belle-sœur). Mais bizarrement, ce n'est pas cette veine qui est utilisée, pas plus que celle, comique, qui aurait consisté pour Margaux II à prévenir Margaux I des événements sur le point de survenir dans sa vie.
"La Belle et la belle" après une mise en bouche appétissante s'affadit dans un trio amoureux dépourvu d'intérêt. Tandis que Margaux II renoue avec son ex (Melvil Poupaud), Margaux I en fait la connaissance. Logiquement, une longue histoire d'amour - dont on sait hélas l'issue inéluctable - est en train de commencer entre Margaux I et le bellâtre, histoire qui, logiquement encore ( à supposer que la logique ait sa place dans ses boucles temporelles vite absurdes), doit empêcher Margaux II de renouer avec son ex. L'histoire se termine avec une belle élégance, manière de montrer que nos vies ne sont pas jouées d'avance, quel que soit son âge. Mais cet épilogue, aussi intelligent soit-il, ne suffit pas à sauver le film.
Pour moi c'est un film original et sympathique et amusant par moments. J'ai passé un bon moment même si je pensais que l'histoire allait être plus approfondie et percutante.
Drôle de rencontre. Si on comprend vite l'objectif de Margaux 1de changer les erreurs de sa vie passé, tout est assez incohérent : comment changer dans ta vie à 40 ans, ce qui se passe dans "ta vie" à 25 ans, mais dans le monde de tes 40 ans....? De bons acteurs qui font ce qu'ils peuvent pour porter un scénario qui ne remplit pas ses promesses.
" la belle et la belle " est une comédie romantique qui m'a plutôt déçu . En effet malgré la présence de Sandrine Kiberlain, et quelques moments émouvants et drôle , j'ai le trouvé le récit trop confus, je me suis perdu en cours de route parfois avec une interprétation qui parfois sent l'amateurisme.Une déception.
Comédie (?) fantaisiste, avec une pointe de fantastique, qui ne vaut que pour ses deux actrices. L’idée de départ – une femme coexistant en deux personnages, l’un à son âge, l’autre vingt ans avant – semble séduisante. Mais le marivaudage qui sert de trame, les situations incohérentes, les dialogues assez pauvres et le rythme molasson du film distillent l’ennui et le désintérêt. Reste, je le répète, le plaisir de goûter à l’excellent jeu des actrices qui ont d’autant plus de mérite qu’on se rend compte qu’elles se dirigent toutes seules. En revanche Poupaud semble totalement dépassé dans son rôle mal défini. Un film sympathique mais raté. Madame Kiberlain, retrouvez vite Dupontel pour votre prochain film… et dans moins de neuf mois si possible !
Pour se démarquer du tout venant de la comédie romantique française, Sophie Fillières choisit un argument fantastique avec La Belle et la Belle. Hélas, elle ne réussit jamais à rendre celui-ci crédible (les deux Margaux accepte tellement facilement le fait qu’elles soient la même personne que cela enlève tout réalisme). Quand on ne croit pas un seul instant à l’histoire et que celle-ci est illustrée visuellement de manière extrêmement banale, il est difficile d’être passionné par un film même si les comédiens semblent y mettre tous leur cœur. La Belle et la Belle est donc un film très oubliable.
Très beau film de Sophie Filières, à la fois drôle, émouvant et bien écrit. Le retournement de situation à la fin du film est subtilement amené, ouvrant la porte à un avenir différent pour la jeune héroïne. Le trio de comédiens est à la hauteur de l'enjeu, Agathe Bonitzer répondant avec brio à la fantaisie de Kiberlain. Leur complicité est exemplaire et leurs regards font bien souvent avancer le récit avec une douceur étonnante. A voir !
Une bonne idée et puis plus grand chose malheureusement ! Une fois la rencontre entre les deux femmes posées, la réalisatrice se contente de faire revivre à la plus jeune ce que son aînée a vécu, mais en se limitant à quelques choix sommaires, sur fond de romance. Et ce qui aurait du finalement aboutir à une comédie vire finalement à l'ennui, la faute à un scénario assez faible (les situations ne sont pas très recherchées), aux dialogues moyens au ton monocorde et à un faux-rythme (à l'image de la passivité des 2 protagonistes) qui empêche le film de décoller. Dommage, le potentiel était là.
Une jeune femme de 25 ans rencontre elle-même à 45 ans. Au lieu de prendre cette idée brillantissime et d'en faire un film touchant, plein d'humeur et magie, il dégénère toute suite en romance plus que basique. Comme des gens bêtes quand ils ont le choix de se taire, ce film est une opportunité ratée. Dommage.