Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Une mélancolique comédie d’apprentissage se confond ainsi avec une étrange comédie de remariage. Précisions que c’est non seulement brillant, mais aussi hilarant presque de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La légèreté de ton, de touche, recouvre ici une vraie finesse de l’écriture et du propos, jamais asséné mais sensible au travers de la progression du film, en intelligence avec lui.
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Les titres de Sophie Fillières révèlent quelque chose de son cinéma : y défilent des proverbes amputés (Un chat un chat), des syntagmes qui débloquent (Grande Petite) ou des maximes sensées qui déraillent (Arrête ou je continue). On y voit s’y dessiner un art du détraquement discret qui consiste à déstabiliser de cadres proprets par l’intermédiaire de l’insensé. La Belle et la Belle renouvelle la méthode avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une comédie légère et fantaisiste.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On savait que Sophie Fillières avait du talent. Elle vient de signer son meilleur film. Ça n'est pas une blague.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
De cette uchronie a priori angoissante, Sophie Fillières tire une comédie pleine de charme, où humour et nostalgie se mêlent avec entrain, malgré un final capillotracté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film très réussi, parfaitement équilibré, mûr, comique et grave, mais plein d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une comédie farfelue qui dynamite les lois barbantes du temps qui passe.
Positif
par Olivier De Bruyn
(...) ce film cocasse, modeste et la plupart du temps séduisant qui, malgré ses répétitions et ses coquetteries, se distingue avec bonheur dans le paysage de la comédie hexagonale.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Mais la comédie a un supplément d’âme, ce quelque chose qui perce le cœur, ajoute un peu de tristesse au rire et une grande jubilation à l’équilibre général.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
L’équation triangulaire paraît d’abord insoluble, mais, après un ultime rebondissement, aussi fugace que frappant, la solution s’imposera, grâce à une mise en scène lumineuse… Idéalisme et style vont, parfois, bien ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie optimiste doublée d'un beau portrait de femmes.
Bande à part
par Benoît Basirico
Le film est double, comme ses personnages, mêlant réalisme et merveilleux, finesse et pitrerie, détente et gravité, simplicité et profondeur... Se dégage de ce conte de fée réjouissant un charme poétique, faisant oublier ses quelques maladresses et imperfections par sa sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Eric Libiot
Il y a un charme certain, surtout dû aux comédiennes.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’effet miroir entre les deux femmes, qui aurait pu déboucher sur des situations vertigineuses, devient surtout un support de badinage amoureux. C’est néanmoins une pimpante et piquante expérience portée par l’impeccable Sandrine Kiberlain, qui sort la comédie de la vulgarité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sophie Fillières, réalisatrice inégale de l'embarras amoureux ("Arrête ou je continue"), tire sa petite fantaisie ordinaire vers le haut. Aidée par Sandrine Kiberlain, elle signe une comédie d'humeur asiatique, plus profonde et mélancolique que son aspect marabout de ficelle ne le laisse croire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La fable délicatement teintée de mélancolie évoque avec finesse l’errance et les erreurs, la recherche du bonheur et les regrets.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si cette étonnante rencontre avec son futur finit par tourner un peu en rond, on se laisse porter par les quiproquos amusants entre la jeune fille immature et la femme qu’elle est devenue, ainsi que par la drôlerie décomplexée de Sandrine Kiberlain.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Reste que le film a des airs de promesse non tenue. Mais son projet et son véritable intérêt se situent peut-être ailleurs. Le bégaiement du temps ici postulé correspond en mode mineur aux bégaiements de la langue, ces drôles d’expressions dont les déraillements secrets jalonnent notre existence.
Première
par Eric Vernay
Ça reste plaisant à regarder et intelligemment dialogué, mais plus ronronnant dans la mise en scène : les jeux de correspondances et de symétrie sur les couleurs, qui évoluent à mesure que les deux héroïnes se confondent ou reprennent leur place, peinent à redynamiser visuellement un récit émoussé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Au début, cette grâce est sympathique et l'on en espère beaucoup sous condition que les choses prennent un tour plus actif. Or, en dépit d'un duo féminin lumineux, ce n'est jamais le cas. Le film s'obstine à se contenter de son postulat sans jamais créer la surprise ni aboutir à quelque chose de convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
Une mélancolique comédie d’apprentissage se confond ainsi avec une étrange comédie de remariage. Précisions que c’est non seulement brillant, mais aussi hilarant presque de bout en bout.
Cahiers du Cinéma
La légèreté de ton, de touche, recouvre ici une vraie finesse de l’écriture et du propos, jamais asséné mais sensible au travers de la progression du film, en intelligence avec lui.
Critikat.com
Les titres de Sophie Fillières révèlent quelque chose de son cinéma : y défilent des proverbes amputés (Un chat un chat), des syntagmes qui débloquent (Grande Petite) ou des maximes sensées qui déraillent (Arrête ou je continue). On y voit s’y dessiner un art du détraquement discret qui consiste à déstabiliser de cadres proprets par l’intermédiaire de l’insensé. La Belle et la Belle renouvelle la méthode avec finesse.
Femme Actuelle
Une comédie légère et fantaisiste.
Le Figaro
On savait que Sophie Fillières avait du talent. Elle vient de signer son meilleur film. Ça n'est pas une blague.
Les Fiches du Cinéma
De cette uchronie a priori angoissante, Sophie Fillières tire une comédie pleine de charme, où humour et nostalgie se mêlent avec entrain, malgré un final capillotracté.
Les Inrockuptibles
Un film très réussi, parfaitement équilibré, mûr, comique et grave, mais plein d'espoir.
Marianne
Une comédie farfelue qui dynamite les lois barbantes du temps qui passe.
Positif
(...) ce film cocasse, modeste et la plupart du temps séduisant qui, malgré ses répétitions et ses coquetteries, se distingue avec bonheur dans le paysage de la comédie hexagonale.
Sud Ouest
Mais la comédie a un supplément d’âme, ce quelque chose qui perce le cœur, ajoute un peu de tristesse au rire et une grande jubilation à l’équilibre général.
Télérama
L’équation triangulaire paraît d’abord insoluble, mais, après un ultime rebondissement, aussi fugace que frappant, la solution s’imposera, grâce à une mise en scène lumineuse… Idéalisme et style vont, parfois, bien ensemble.
Voici
Une comédie optimiste doublée d'un beau portrait de femmes.
Bande à part
Le film est double, comme ses personnages, mêlant réalisme et merveilleux, finesse et pitrerie, détente et gravité, simplicité et profondeur... Se dégage de ce conte de fée réjouissant un charme poétique, faisant oublier ses quelques maladresses et imperfections par sa sincérité.
L'Express
Il y a un charme certain, surtout dû aux comédiennes.
L'Humanité
L’effet miroir entre les deux femmes, qui aurait pu déboucher sur des situations vertigineuses, devient surtout un support de badinage amoureux. C’est néanmoins une pimpante et piquante expérience portée par l’impeccable Sandrine Kiberlain, qui sort la comédie de la vulgarité.
L'Obs
Sophie Fillières, réalisatrice inégale de l'embarras amoureux ("Arrête ou je continue"), tire sa petite fantaisie ordinaire vers le haut. Aidée par Sandrine Kiberlain, elle signe une comédie d'humeur asiatique, plus profonde et mélancolique que son aspect marabout de ficelle ne le laisse croire.
La Croix
La fable délicatement teintée de mélancolie évoque avec finesse l’errance et les erreurs, la recherche du bonheur et les regrets.
Le Journal du Dimanche
Si cette étonnante rencontre avec son futur finit par tourner un peu en rond, on se laisse porter par les quiproquos amusants entre la jeune fille immature et la femme qu’elle est devenue, ainsi que par la drôlerie décomplexée de Sandrine Kiberlain.
Le Monde
Reste que le film a des airs de promesse non tenue. Mais son projet et son véritable intérêt se situent peut-être ailleurs. Le bégaiement du temps ici postulé correspond en mode mineur aux bégaiements de la langue, ces drôles d’expressions dont les déraillements secrets jalonnent notre existence.
Première
Ça reste plaisant à regarder et intelligemment dialogué, mais plus ronronnant dans la mise en scène : les jeux de correspondances et de symétrie sur les couleurs, qui évoluent à mesure que les deux héroïnes se confondent ou reprennent leur place, peinent à redynamiser visuellement un récit émoussé.
Le Parisien
Au début, cette grâce est sympathique et l'on en espère beaucoup sous condition que les choses prennent un tour plus actif. Or, en dépit d'un duo féminin lumineux, ce n'est jamais le cas. Le film s'obstine à se contenter de son postulat sans jamais créer la surprise ni aboutir à quelque chose de convaincant.