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Gabriel Vibert
1 abonné
2 critiques
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0,5
Publiée le 13 mars 2020
rien ne va dans ce film... ce n'est pas clair, il n'y a pas de but, les acteurs ne sont pas très bon mais dans leurs rôles donc ce n'est pas le plus dérangeant, bref c'est un film qui ne marquera pas les esprits
Quand jai découvert se film sur canal + je m'attendais à un gros navet sans intérêt. La qualité du film et mauvaise , la réalisation et bâclé et le scénario et fantome . Dubosc en fait trop comme a chaque film et François-Xavier Demaison et nul . Un recycler des bronzés mais en pire . Un film alimentaire surtout pour notre balasko
Encore un film de Fabien Onteniente et encore avec Franck Dubosc et quelle surprise, cette fois ci Patrick Chirac s'envole pour les Antilles. Et oui fini, le Camping des Flots Bleus et bienvenue au club Caraibes Princess... Mais en fait non, autant pour moi, ce n'est pas Patrick Chirac mais Jean-Paul Cisse... pourtant la ressemblance de personnalité est flagrante... Voilà comment résumer ce très mauvais film d'un très mauvais réalisateur. Avec Onteniente et Dubosc, le spectateur à toujours le droit à la même chose, le looser attachant qui bonifie la vie des gens... Même Balasko et Lhermitte sont pathétiques dans ce film. J'ai perdu 1h30 devant ce navet.
Un film sympa, qui détend, il ne restera sans doute pas dans la légende du cinema mais il m'a fait rire, c'est tous ce que je lui demandais. Le casting est bon, l'histoire simple. Un film d'été regarde en Février.
C'est le genre de film qui marque une vie ! Le genre de chef oeuvre qui arrive de nul part. Tout ce joue dans le scénario de ce film, une critique amère de la société de consommation, de l’abondance et l'opulence qui caractérise désormais les vacances de bon nombre de français. Le film ressemble à première vue à une mauvaise comédie française mais les spectateurs les plus érudits pourront percevoir toute la puissance du scénario qui ne laisse pas indifférents. Ps : je conseille au personne souhaitant comprendre le film de ce munir d'un petit carnet afin de prendre des notes qu'ils pourront relire avant de regarder une nouvelle fois le film afin de bien le comprendre.
Ce qui nous est offert ici c'est une profonde analyse sur l'amitié, l'amour et le destin. L'amour du personnage de Francois Xavier Demaison pour sa femme est digne de l'amour tel qu'il a été théorisé par Sternberg et sa triangulation. Le premier élément, l'engagement, est visible dès le début du film et se prolonge même si il est représenté de façon plus subtile. Le second élément, l'intimité, est absent tout au long du film grâce ou à cause du personnage incarné par Franck Dubosc (pour quelqu'un qui a fait la moitié de sa carrière en jouant dans des films nommées "camping", c'est pas étonnant). Le dernier élément, la passion, est le centre de ce film. Le spectateur ressent d'ailleurs cette passion dans le travail du réalisateur Fabien Ontoniente. C'est la passion qui anime Francois Xavier Demaison, comme une flamme dans les yeux de son personnage. Ce film nous pose la question sur notre rapport à l'amour. L'amitié est une notion qui va s'installer peu à peu dans ce film. Cicéron disait « Car l’amitié se glisse, je ne sais pas comment, dans toutes les existences et ne permet jamais qu’une vie s’organise sans elle. ». Fabien Ontoniente fait référence à Cicéron, en faisant glisser Franck Dubosc dans le lit de Francois Xavier Demaison tout comme l'amitié dans la citation. Enfin le destin est représenté dans le film par la standardiste de l'aéroport si on considère la définition mythologique du terme. En effet, issue du Chaos dans la mythologie, elle le sème en refusant la carte vitale de la femme du personnage de Francois Xavier Demaison, considérant que ce n'est pas un titre d'identification. Le Destin est donc à l'origine de l'intrigue de ce film. Pour conclure, sous une couche humoristique, c'est une véritable expérience intellectuelle qui vous est permise.
@AzzizD merci pour ce commentaire brillant sur ce film absolument mauvais.
A nouveau, ce film regroupe tous les clichés possibles des vacances en camping. Franck Dubosc n'est pas capable de se diversifier, et il nous le prouve à nouveau avec ce film de très mauvais goût.
Parmi les comédies populo sur les vacances, on avait bien bien entendu ‘Les bronzés’. Vingt cinq ans plus tard, on avait eu droit à ‘Camping’, qui témoignait déjà de la capacité de nuisance de Fabien Onteniente au sein du cinéma français. Le stade terminal de cette sous-variété de la comédie vient de surgir avec ‘All inclusive’, qui accumule les oeillades vulgaires aux deux ”références” précédentes, que ce soit dans les discussions passionnées sur le bon vieux temps entre Balasko et Lhermitte, ou dans le sempiternel rôle de gentil beauf parasite endossé par Dubosc. Existerait-il un “mulitiverse” de la comédie de plage franchouillarde ? On frémit rien qu’à y penser car pour le reste, c’est la débandade totale : dialogues à la ramasse, gags lamentables qui ne fonctionnent jamais, acteurs qui serrent les dents en attendant leur chèque...En fait, ‘All inclusive’ se rattache également à une sous-variante de la sous-variante : les navrantes comédies balnéaires de Max Pécas et consorts, avec beaucoup moins de ces plagistes déshabillées qui constituaient à l’époque l’unique intérêt de la chose. Bordel, je n’aurais jamais cru pouvoir considérer ‘Les bronzés’ comme un chef d’oeuvre, même par comparaison avec autre chose, mais il ne faut jamais douter de la capacité de la comédie TF1 Vidéo à creuser une fois qu’elle a touché le fond…
Un bon gros navet très gênant à regarder car on sent bien que les acteurs se trouvent drôles et croient en leurs répliques consternantes. Ou une parodie de Camping (c'est dire le niveau...), très mal jouée, à l'intrigue peu intéressante (un homme est forcé de cohabiter avec un sans-gêne lors de sa lune de miel, mais ce dernier l'aide à renouer avec sa femme par des méthodes aberrantes) et au casting ridiculisé. On fait faire (et dire) à peu près n'importe quoi à Josiane Balasko (un vrai pincement au cœur), on décrédibilise le personnage de Thierry Lhermite (même sa moustache ressemble à un gros trait tiré au marqueur noir... Comment arriver à croire à l'histoire avec une pareille futilité et si peu de soins ?) et pour Dubosc on dira plutôt que cela devient un principe, sauf qu'ici tout est beaucoup plus lourd qu'à l'accoutumée. De Maison semble juste perdu dans cette galère, et les scènes inutiles affluent comme pour combler les 1h20 de film (toutes les scènes de danses, de fêtes... Qui ne servent strictement à rien, et que dire du caméo de Kev Adams à la fin si ce n'est une "poignée de mains" entre les stars, qui ne nous intéresse pas). Le film fait bien d'afficher un compte des jours, ce sont les seuls bon moments (car ils rapprochent de la fin). Et le niveau des gags est souvent scato, faute d'intelligence (la scène du pet dans l'eau, les gros plans sur les fesses de Dubosc...). Bref aucun rire mais beaucoup de gêne devant All Inclusive qui est constamment (très) affligeant.
Ratage total ! Le film est un immense vide, aucun sens et pas drôle du tout. Malgré un certain nombre d'acteur célèbre, on se demande comment ils ont accepté un tel scénario !
Ne mérite pas les critiques que je n'ai pas lues par ailleurs. Je ne suis pourtant pas grand fan de comédies ni de dubosc. Je n'ai vu que "Camping 1" par exemple, n'ai pas aimé "qu'est ce qu'on a fait au bon dieu" ni "les Visiteurs" Mais là, même si cela pourra peut-être passer pour lourdingue l'humour transcrit dans le film, j'ai pour ma part apprécié et passé un bon moment. Dubosc ,Delamaison et Balasko sont impeccables. Je trouve que c'est plutôt bien écrit et il y a une trame. Maintenant niveau humour cela n'est peut-être pas aussi fin que les bronzés mais par rapport à qu'est ce qu'on a fait au bon dieu ou du comique américain comme american pie, ce n'est pas à rougir.
« All Inclusive » est une comédie française avec Franck Dubosc et François-Xavier Demaison en tête d’affiche. C’est l’histoire d’un homme qui part en vacances après avoir gagné un voyage pour deux personnes. Tout ne va pas se passer comme prévu puisque sa femme va le planter à l’aéroport au moment du départ. C’est à ce moment-là que Bruno fait la connaissance de Jean-Paul, un mystérieux personnage qui va le convaincre de partir quand même. Va s’en suivre un film totalement décalé avec un humour en manque de subtilité accompagné d’une histoire qui ne raconte finalement pas grand-chose. Le film est à regarder avec légèreté et vous plaira seulement si vous êtes très bon public.
le pire films que j'ai vu de ma vie. Le meilleur moment c'est le générique de fin. Aucun moment drole. Heureusement que j'ai vu a la télé pour pas payé au ciné
Tout juste la moyenne pour cette nouvelle comédie du duo Dubosc/Oteniente !! Certaines blagues et situations font mouche quand d'autres sont assez lourd !! On est plutôt devant un téléfilm de TF1 , sympa à voir une fois