Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Il y a plusieurs façons de cerner l’émotion que procure le film. On pourrait dire qu’il bouleverse comme une déclaration d’amour envoyée depuis une contrée qui ne croit plus à l’amour.
Libération
par Julien Gester
(...) ce nouveau film se présente comme l’un des plus beaux parmi la vingtaine réalisés par Hong Sang-soo à ce jour, et si le désarroi qui s’y épanche avec fureur demeure tamisé, c’est aussi l’un des plus évidemment bouleversants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Josué Morel
Cette place accordée à l’invisible corrobore la piste d’un tournant fantastique que prend actuellement le cinéma de Hong Sang-soo, reposant sur la mise en scène de frontières et de passages traversés par des fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Est-il incongru de dire que, devant cette œuvre composée de plusieurs parties, où chaque niveau de réalité semble contaminer les autres, la figure de Lynch et l'image de certains de ses films ont traversé notre esprit ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le cinéaste coréen Hong Sang-soo ajoute de nouvelles variations à sa partition des doutes. Vibrent l’amour, l’alcool et le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il y a quelque chose d’exquis dans la délicatesse avec laquelle l’auteur du "Jour d’après" revient sur une histoire éminemment personnelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
C’est que chez le cinéaste coréen le deuil de la relation amoureuse est toujours l’apanage d’une certaine folie, d’un charme inextinguible qui conduisent ses personnages à s’agenouiller avant de traverser un pont ou à fredonner une chanson tout en fumant une cigarette à la sortie d’un bar.
Le Figaro
par La Rédaction
Le spleen a le beau et doux visage de Kim Min-hee, amante du réalisateur coréen. Muse sublime et mise en abyme font bon ménage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
C’est ainsi que l’émotion se loge dans les recoins les plus inattendus des films d’Hong Sangsoo. Notamment dans ces quelques scènes gratuites, où Yeonghui s’abandonne tout entière à des « actes de grâce » (...).
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un beau Hong Sangsoo, qui aurait toutefois gagné à plus de clarté et de lisibilité dans le récit. Nombre de séquences sont très réussies et pleines de finesse, mais elles n’en restent pas moins, parfois, difficiles à relier entre elles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
"Seule sur la plage la nuit" est ainsi un autre de ces Vertigo movies, ou film brutalement scindé, comme "Mulholland Drive", "Tropical Malady","Une sale histoire", ou plusieurs films précédents d’Hong Sangsoo, et comme ces derniers, il va droit au cœur de ce qui constitue le cinéma : qu’est-ce qui est réel, qu’est-ce qui est rêvé, et qu’est-ce que nous, spectateurs, voyons exactement ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
"Seule sur la plage la nuit" contient toute la beauté de son cinéma, fait de petits riens et de motifs qui se répètent, de moments suspendus et de sentiments diffus.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
"Seule sur la plage la nuit" (...) est un film traversé d'une sorte de joie tragique.
Première
par Damien Leblanc
L'infatigable Hong Sang-soo explore les déboires amoureux d'une comédienne et met son cinéma à nu de façon particulièrement inspirée au cinéma.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un cocktail que le Coréen revisite à chaque fois avec une poésie et un humour irrésistibles.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Les petites choses conduisent parfois aux grandes réflexions et l’art de Hong Sang-soo se loge là, dans le détail qui peu à peu, creuse et atteint l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Tour à tour prostrée, révoltée et réconciliée, l’héroïne accède finalement à une vérité supérieure, "seule sur la plage la nuit". Et c’est dans ce moment filmé comme un songe que Hong Sang-soo glisse les références les plus précises à sa vie et à celle de son actrice. L’art d’exalter la part rêvée des histoires vraies.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Le résultat donne un film contemplatif, un peu brouillon, mais dans lequel on se laisse porter par la très belle et évanescente Kim Minhee qui a remporté pour ce film l’Ours d’argent de la meilleure actrice lors de la dernière Berlinale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Transfuge
par Sidy Sakho
Cette dimension clairement cathartique en fait un film plus "lourd", moins envoûtant que par exemple le sublime "Yourself and yours", mais peut-être décisif pour la suite.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette fois, le récit bégaie, jouant la carte de la mise en abyme, voire de l’autodérision, jusqu’à l’usure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Il y a plusieurs façons de cerner l’émotion que procure le film. On pourrait dire qu’il bouleverse comme une déclaration d’amour envoyée depuis une contrée qui ne croit plus à l’amour.
Libération
(...) ce nouveau film se présente comme l’un des plus beaux parmi la vingtaine réalisés par Hong Sang-soo à ce jour, et si le désarroi qui s’y épanche avec fureur demeure tamisé, c’est aussi l’un des plus évidemment bouleversants.
Critikat.com
Cette place accordée à l’invisible corrobore la piste d’un tournant fantastique que prend actuellement le cinéma de Hong Sang-soo, reposant sur la mise en scène de frontières et de passages traversés par des fantômes.
Culturopoing.com
Est-il incongru de dire que, devant cette œuvre composée de plusieurs parties, où chaque niveau de réalité semble contaminer les autres, la figure de Lynch et l'image de certains de ses films ont traversé notre esprit ?
L'Humanité
Le cinéaste coréen Hong Sang-soo ajoute de nouvelles variations à sa partition des doutes. Vibrent l’amour, l’alcool et le cinéma.
L'Obs
Il y a quelque chose d’exquis dans la délicatesse avec laquelle l’auteur du "Jour d’après" revient sur une histoire éminemment personnelle.
La Septième Obsession
C’est que chez le cinéaste coréen le deuil de la relation amoureuse est toujours l’apanage d’une certaine folie, d’un charme inextinguible qui conduisent ses personnages à s’agenouiller avant de traverser un pont ou à fredonner une chanson tout en fumant une cigarette à la sortie d’un bar.
Le Figaro
Le spleen a le beau et doux visage de Kim Min-hee, amante du réalisateur coréen. Muse sublime et mise en abyme font bon ménage.
Le Monde
C’est ainsi que l’émotion se loge dans les recoins les plus inattendus des films d’Hong Sangsoo. Notamment dans ces quelques scènes gratuites, où Yeonghui s’abandonne tout entière à des « actes de grâce » (...).
Les Fiches du Cinéma
Un beau Hong Sangsoo, qui aurait toutefois gagné à plus de clarté et de lisibilité dans le récit. Nombre de séquences sont très réussies et pleines de finesse, mais elles n’en restent pas moins, parfois, difficiles à relier entre elles.
Les Inrockuptibles
"Seule sur la plage la nuit" est ainsi un autre de ces Vertigo movies, ou film brutalement scindé, comme "Mulholland Drive", "Tropical Malady","Une sale histoire", ou plusieurs films précédents d’Hong Sangsoo, et comme ces derniers, il va droit au cœur de ce qui constitue le cinéma : qu’est-ce qui est réel, qu’est-ce qui est rêvé, et qu’est-ce que nous, spectateurs, voyons exactement ?
Paris Match
"Seule sur la plage la nuit" contient toute la beauté de son cinéma, fait de petits riens et de motifs qui se répètent, de moments suspendus et de sentiments diffus.
Positif
"Seule sur la plage la nuit" (...) est un film traversé d'une sorte de joie tragique.
Première
L'infatigable Hong Sang-soo explore les déboires amoureux d'une comédienne et met son cinéma à nu de façon particulièrement inspirée au cinéma.
Studio Ciné Live
Un cocktail que le Coréen revisite à chaque fois avec une poésie et un humour irrésistibles.
Sud Ouest
Les petites choses conduisent parfois aux grandes réflexions et l’art de Hong Sang-soo se loge là, dans le détail qui peu à peu, creuse et atteint l’essentiel.
Télérama
Tour à tour prostrée, révoltée et réconciliée, l’héroïne accède finalement à une vérité supérieure, "seule sur la plage la nuit". Et c’est dans ce moment filmé comme un songe que Hong Sang-soo glisse les références les plus précises à sa vie et à celle de son actrice. L’art d’exalter la part rêvée des histoires vraies.
La Croix
Le résultat donne un film contemplatif, un peu brouillon, mais dans lequel on se laisse porter par la très belle et évanescente Kim Minhee qui a remporté pour ce film l’Ours d’argent de la meilleure actrice lors de la dernière Berlinale.
Transfuge
Cette dimension clairement cathartique en fait un film plus "lourd", moins envoûtant que par exemple le sublime "Yourself and yours", mais peut-être décisif pour la suite.
Le Journal du Dimanche
Cette fois, le récit bégaie, jouant la carte de la mise en abyme, voire de l’autodérision, jusqu’à l’usure.