Rey, l'histoire du Français qui voulait devenir Roi de Patagonie : Critique presse
Rey, l'histoire du Français qui voulait devenir Roi de Patagonie
Note moyenne
2,8
8 titres de presse
Libération
Cahiers du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
Critikat.com
L'Obs
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Libération
par Jérémy Piette
Partant de l’épopée d’un avocat français, poète mystique et roi autoproclamé en Patagonie en 1860, Niles Atallah enchevêtre avec habileté visions hallucinées, séquences historiques et expérimentations visuelles dans une alchimie de la déchéance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Lorsque, tout au bout du monde, tout au sud, ce Français, perdu et isolé, brandit, à cheval, le drapeau d’un pays qui n’existe pas encore, Niles Attalah semble (re)découvrir le cinéma, autre territoire encore et toujours vierge pour celui qui cherche à explorer.
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
Le style baroque du film, trop long, écrase toutes les ambiguïtés sur un destin qui, peut- être, n’a été qu’une légende.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Ne faisant pas assez confiance à la beauté de ses prises de vues, ni à la cinégénie de ses paysages, le film multiplie les masques et s'éloigne de l'errance poétique de son monarque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un film esthétiquement accrocheur - et un peu poseur -, entre pellicule rayée et délire psyché. A l'image de son héros, il en fait trop, mais cette démesure compense les longueurs d'un récit menée à train de sénateur.
Critikat.com
par Thomas Choury
Faut-il ne retenir de Rey que son effet de trop plein dans l’expérimentation formelle qui tend fatalement à se noyer dans sa propre marmite ou faire fi de cet écœurement et souligner comment les idées qui sous-tendent le projet esthétique du film sont enthousiasmantes ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
L'histoire de De Tounens recelant de nombreuses zones d'ombre, le réalisateur dit avoir voulu retranscrire la dégradation des souvenirs à travers celle de la pellicule en enterrant puis déterrant son film. Il aurait pu s'épargner la seconde étape.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film se présente comme une variation expérimentale sur le sujet. Par des afféteries stylistiques pesantes.
Libération
Partant de l’épopée d’un avocat français, poète mystique et roi autoproclamé en Patagonie en 1860, Niles Atallah enchevêtre avec habileté visions hallucinées, séquences historiques et expérimentations visuelles dans une alchimie de la déchéance.
Cahiers du Cinéma
Lorsque, tout au bout du monde, tout au sud, ce Français, perdu et isolé, brandit, à cheval, le drapeau d’un pays qui n’existe pas encore, Niles Attalah semble (re)découvrir le cinéma, autre territoire encore et toujours vierge pour celui qui cherche à explorer.
Les Fiches du Cinéma
Le style baroque du film, trop long, écrase toutes les ambiguïtés sur un destin qui, peut- être, n’a été qu’une légende.
Les Inrockuptibles
Ne faisant pas assez confiance à la beauté de ses prises de vues, ni à la cinégénie de ses paysages, le film multiplie les masques et s'éloigne de l'errance poétique de son monarque.
Studio Ciné Live
Un film esthétiquement accrocheur - et un peu poseur -, entre pellicule rayée et délire psyché. A l'image de son héros, il en fait trop, mais cette démesure compense les longueurs d'un récit menée à train de sénateur.
Critikat.com
Faut-il ne retenir de Rey que son effet de trop plein dans l’expérimentation formelle qui tend fatalement à se noyer dans sa propre marmite ou faire fi de cet écœurement et souligner comment les idées qui sous-tendent le projet esthétique du film sont enthousiasmantes ?
L'Obs
L'histoire de De Tounens recelant de nombreuses zones d'ombre, le réalisateur dit avoir voulu retranscrire la dégradation des souvenirs à travers celle de la pellicule en enterrant puis déterrant son film. Il aurait pu s'épargner la seconde étape.
Le Monde
Le film se présente comme une variation expérimentale sur le sujet. Par des afféteries stylistiques pesantes.