Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bancal mais sensible et souvent passionnant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Le réalisateur de "Cure" joue très intelligemment avec les codes de la science-fiction pour signer une fable philosophique, tantôt drôle, tantôt effrayante, et surtout, empreinte d’une grande mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Kiyoshi Kurosawa (...) met en scène une invasion secrète d’extraterrestres avec beaucoup d’humour, et des effets spéciaux lo-fi bien pensés.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Avec son titre fataliste, Avant que nous disparaissions énonce la fin de notre civilisation avec une évidence plus terrorisante que toute la pyrotechnie hollywoodienne.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou et Sophie Yavari
Kiyoshi Kurosawa n’emprunte pas la voie du discours démonstratif, mais de la parodie burlesque, pour souligner le malaise de la vie quotidienne. Le film joue avec les codes de la science-fiction pour évoquer les risques qui pèsent sur notre humanité, mais pose surtout la question essentielle de l’amour. C’est certainement là que réside l’originalité du film, qui mêle de manière subtile des questions portant sur le devenir de l’espèce humaine – guerre, invasion, autodestruction – et des problématiques intimes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film de science-fiction à valeurs ajoutées.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le Japonais Kiyoshi Kurosawa, cinéaste de l’intime, se lance dans un stupéfiant exercice de science-fiction.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le Japonais Kiyoshi Kurosawa signe un film de science-fiction fort et intriguant sur des extraterrestres voleurs de concepts.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Kiyoshi Kurosawa parvient, par la force de sa mise en scène, à faire tenir debout ce scénario de série B, et donne à voir une nouvelle itération, plus drôle, de son art.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Du cinéma en prise directe avec notre chaos planétaire et nos peurs collectives.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Grinçant et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le très sérieux auteur de "Creepy" se déride en faisant un détour imprévu par la comédie de science-fiction. Mais c'est pour mieux revenir à son obsession pour la persistance de l'amour par-delà la mort et les frontières de l'espèce humaine.
Positif
par Adrien Gombeaud
Tout au long de l'aventure, on pense notamment à "Rendez-Vous avec la peur" de Jacques Tourneur (1957) et surtout à "L'Invasion des profanateurs de sépultures" de Don Siegel (1956). On retrouve chez Kiyoshi Kurosawa la même poésie bricolée. Cette idée naïve et grandiose que pour filmer la fin du monde, il suffit d'un peu d'audace et de beaucoup d'imagination.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Si la disparition, l’évanouissement, la perte de soi ont toujours été traités dans les grands films de fantômes du réalisateur de "Kaïro" à "Vers l’autre rive", jamais il ne l’avait abordé comme ici, c’est-à-dire à la façon d’une comédie bouffonne et ubuesque.
Critikat.com
par Axel Scoffier
En refusant de jouer pleinement la carte du genre dans lequel il s’inscrit, en le détournant pour aller vers une forme de comédie absurde, et en entretenant volontairement une hybridité de tons, Avant que nous disparaissions est à la fois le plus radical et le plus léger des films de Kurosawa.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Malgré cette morale un peu candide, le film est à la fois drôle et touchant, mais atteint rapidement ses limites et souffre d’une fin un peu poussive.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par La Rédaction
Etonnant.
Première
par Michaël Patin
Comme souvent chez Kurosawa, les codes du fantastique procèdent du glissement de nos perceptions, pour opérer une critique féroce de la société moderne. Mais à mesure que les enjeux se dévoilent, c’est le mélodrame qui revient à la charge et, avec lui, une émotion vive et simple, d’autant plus surprenante qu’elle éclot dans un environnement particulièrement instable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est quand le récit bascule dans le mélodrame qu’il devient passionnant. L’histoire d’un couple en crise est, au fond, le vrai sujet d’Avant que nous disparaissions. Un couple, qui, belle idée de scénario, va se retrouver grâce à l’arrivée d’un extraterrestre en son sein…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Dans la veine de son cinéma fantastique et métaphorique, Kiyoshi Kurosawa livre un récit prenant, et confirme son aptitude à créer une atmosphère mêlant onirisme et réalisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si l'on a vite compris que le scénario travaillait les phobies et les plaies de la société nippone, il n'en reste pas moins que la mise en scène clinique ne parvient pas à créer le sentiment d'inquiétude nécessaire à nous emporter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
CinemaTeaser
Bancal mais sensible et souvent passionnant.
Bande à part
Le réalisateur de "Cure" joue très intelligemment avec les codes de la science-fiction pour signer une fable philosophique, tantôt drôle, tantôt effrayante, et surtout, empreinte d’une grande mélancolie.
CNews
Kiyoshi Kurosawa (...) met en scène une invasion secrète d’extraterrestres avec beaucoup d’humour, et des effets spéciaux lo-fi bien pensés.
Cahiers du Cinéma
Avec son titre fataliste, Avant que nous disparaissions énonce la fin de notre civilisation avec une évidence plus terrorisante que toute la pyrotechnie hollywoodienne.
Culturopoing.com
Kiyoshi Kurosawa n’emprunte pas la voie du discours démonstratif, mais de la parodie burlesque, pour souligner le malaise de la vie quotidienne. Le film joue avec les codes de la science-fiction pour évoquer les risques qui pèsent sur notre humanité, mais pose surtout la question essentielle de l’amour. C’est certainement là que réside l’originalité du film, qui mêle de manière subtile des questions portant sur le devenir de l’espèce humaine – guerre, invasion, autodestruction – et des problématiques intimes.
L'Humanité
Un film de science-fiction à valeurs ajoutées.
Le Monde
Le Japonais Kiyoshi Kurosawa, cinéaste de l’intime, se lance dans un stupéfiant exercice de science-fiction.
Le Parisien
Le Japonais Kiyoshi Kurosawa signe un film de science-fiction fort et intriguant sur des extraterrestres voleurs de concepts.
Les Fiches du Cinéma
Kiyoshi Kurosawa parvient, par la force de sa mise en scène, à faire tenir debout ce scénario de série B, et donne à voir une nouvelle itération, plus drôle, de son art.
Les Inrockuptibles
Du cinéma en prise directe avec notre chaos planétaire et nos peurs collectives.
Libération
Grinçant et poétique.
Mad Movies
Le très sérieux auteur de "Creepy" se déride en faisant un détour imprévu par la comédie de science-fiction. Mais c'est pour mieux revenir à son obsession pour la persistance de l'amour par-delà la mort et les frontières de l'espèce humaine.
Positif
Tout au long de l'aventure, on pense notamment à "Rendez-Vous avec la peur" de Jacques Tourneur (1957) et surtout à "L'Invasion des profanateurs de sépultures" de Don Siegel (1956). On retrouve chez Kiyoshi Kurosawa la même poésie bricolée. Cette idée naïve et grandiose que pour filmer la fin du monde, il suffit d'un peu d'audace et de beaucoup d'imagination.
Transfuge
Si la disparition, l’évanouissement, la perte de soi ont toujours été traités dans les grands films de fantômes du réalisateur de "Kaïro" à "Vers l’autre rive", jamais il ne l’avait abordé comme ici, c’est-à-dire à la façon d’une comédie bouffonne et ubuesque.
Critikat.com
En refusant de jouer pleinement la carte du genre dans lequel il s’inscrit, en le détournant pour aller vers une forme de comédie absurde, et en entretenant volontairement une hybridité de tons, Avant que nous disparaissions est à la fois le plus radical et le plus léger des films de Kurosawa.
La Croix
Malgré cette morale un peu candide, le film est à la fois drôle et touchant, mais atteint rapidement ses limites et souffre d’une fin un peu poussive.
La Voix du Nord
Etonnant.
Première
Comme souvent chez Kurosawa, les codes du fantastique procèdent du glissement de nos perceptions, pour opérer une critique féroce de la société moderne. Mais à mesure que les enjeux se dévoilent, c’est le mélodrame qui revient à la charge et, avec lui, une émotion vive et simple, d’autant plus surprenante qu’elle éclot dans un environnement particulièrement instable.
Télérama
C’est quand le récit bascule dans le mélodrame qu’il devient passionnant. L’histoire d’un couple en crise est, au fond, le vrai sujet d’Avant que nous disparaissions. Un couple, qui, belle idée de scénario, va se retrouver grâce à l’arrivée d’un extraterrestre en son sein…
aVoir-aLire.com
Dans la veine de son cinéma fantastique et métaphorique, Kiyoshi Kurosawa livre un récit prenant, et confirme son aptitude à créer une atmosphère mêlant onirisme et réalisme.
L'Obs
Si l'on a vite compris que le scénario travaillait les phobies et les plaies de la société nippone, il n'en reste pas moins que la mise en scène clinique ne parvient pas à créer le sentiment d'inquiétude nécessaire à nous emporter.