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Sebastien02
43 abonnés
51 critiques
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2,5
Publiée le 21 octobre 2020
Le film suit le quotidien d’un jeune gay à Sao Paulo : son travail de styliste dans un atelier de confection textile, ses sorties avec ses collègues, ses rencontres d’une nuit, etc. L’acteur principal est charmant et les comédiens sont naturels. Mais l’histoire manque de consistance et finit par être ennuyeuse.
Elias a vingt-cinq ans à peine. Il vient d'arriver à São Paulo. Ses journées sont bien occupées : il exerce des fonctions d'encadrement dans une usine textile aux côtés de la patronne. Mais ses soirées ne le sont pas moins : Elias multiplie les rencontres et les conquêtes masculines.
Le cinéma brésilien nous réserve de belles surprises. "Aquarius" - dont Marcelo Caetano avait dirigé le casting - avait enthousiasmé la Croisette en 2016 et emporté un beau succès en salles (156.000 entrées en France). "Gabriel et la montagne" nous entrainait en 2017 en Afrique orientale sur les pas d'un étudiant brésilien idéaliste. "Les bonnes manières" osait en 2018 le film vampire lesbien.
"Corpo Eléctrico" ne trouvera pas sa place dans ce palmarès. Mais ce n'est pas faute de qualités.
"Corpo Eléctrico" est un film dyonisiaque qui exalte sans tabous la joie de vivre et d'aimer. D'ailleurs il aurait pu sans rougir détourner à son profit le titre de Christophe Honoré : Plaire, aimer et coudre.
Corpo Eléctrico n'est pas sans rappeler "Mektoub my love". Comme Abdellatif Kechiche, Marcelo Caetano filme les corps, leur beauté solaire, leur sensualité provocatrice. Comme Kechiche, Caetano aime filmer des groupes de jeunes qui se croisent et se frôlent. Il le fait parfois avec un peu trop d'afféterie : ainsi de ce long traveling arrière dans les rues de São Paulo où Elias et ses amis déambulent d'un bon pas. Mais il faut lui reconnaître le don rare de réussir à capter la vie comme elle va.
"Corpo Eléctrico" a les défauts de ses qualités. Son refus du dramatique lui fait parfois friser l'insignifiance. Son goût prononcé pour les scènes de groupes l'empêche d'isoler les caractères. Sa manie d'étirer les plans tourne parfois à la pose. Sous ses aspects faussement cool, il n'en reste pas moins un film politique en affirmant que les différences de race et de sexualité, que les inégalités de classes peuvent se dissoudre dans un hédonisme post-moderne. (Dé)culotté.
deux étoiles parce que les garçons sont beaux gosses la langue est agréable a l'oreille si l on s'en tien au scénario une étoile serait largement suffisante quel ennui
Sur un sujet assez banal: une vie professionnelle ennuyeuse dans un atelier textil et la « découverte » de la vie nocturne avec une bande de copains, plus ou moins « folles » ....Vraiment ça valait pas le coup de faire un long-métrage, un court aurait largement suffi.... Avec des dialogues inconsistants, un scénario décousu et des acteurs médiocres, la mayonnaise ne pouvait pas prendre.... Ne vous laissez pas séduire par la bouille du protagoniste, ni par la bande d’annonce, ce ne sont que des leurres..... Je me suis ennuyé à mort et si je ne suis pas partie avant la fin, c’était plutôt par respect aux rares spectateurs qui avait dans la salle...
Attention, bande annonce, titre et affiche mensongers... ils sont fort en marketing et paillettes chez optimales dis donc... Un film qui ne sert à rien, ennuyeux à souhait, plein de mecs (il n'y avait que des hommes dans la cinquantaine) sont partis, personnages creux... marre du marketing queer (je pense aussi au "couteau dans le cœur", nul dans le même genre)
Pfff.... quel ennui..... beaucoup de bla bla bla sans intérêt, suite de scènes assez décousues, un comble pour un atelier de confection..... J'ai tenu une heure......