Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Le beau geste politique du film se situe ailleurs : dans le fait de capter une circulation des désirs loin de toute classification, d'étirer les scènes jusqu'à ce que l'enjeu dramatique se désagrège ou encore d'appréhender les inégalités sociales comme une donne qui interfère dans les rapports éphémères entre les individus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une (nouvelle) bonne surprise brésilienne, qui célèbre sur un mode bon enfant et entraînant les vertus de l’empathie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L'intime et le social sont au cœur d'un scénario et d'une mise en scène qui, à l'image du héros, sont sans tabous. Ils captent, derrière l'ivresse fébrile de ce corps électrique et sexué, la tristesse d'amours déjà perdues et l'inquiétude d'un futur incertain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
L’aspect apaisé du film empêche le réalisateur d’approfondir le regard sur les contradictions et les tensions sociales que cette mixité sociale peut représenter. Comme si, en voulant à tout prix mettre l’accent sur la normalité, presque la banalité, de l’homosexualité dans le monde de l’usine, il neutralisait le potentiel dramatique, et politique, du film.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L’essentiel reste la richesse humaine de ce film quasi musical aux multiples seconds rôles. Rien n’est laissé au hasard par le cinéaste, qui parvient à suggérer un sentiment pas si évident qu’il y paraît : l’impression de naturel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Lunn
La tonalité mélancolique et le naturel des acteurs sauvent l'ensemble de l'anecdote.
Transfuge
par Damien Aubel
"Corpo Eletrico", et c’est le grand paradoxe, et aussi la grande réussite du premier long de Marcelo Caetano, c’est la chronique d’une solitude sans tragédie. D’un détachement qui n’a rien de dramatique.
Télérama
par Pierre Murat
On se croirait, par moments, dans une version courte et humble de Mektoub my love, d’Abdellatif Kechiche, avec tous ces corps et ces cœurs qui s’embrasent avec un seul but : ne rien laisser échapper de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Du charme, des personnages attachants (et bien interprétés), quelques soirées pittoresques, mais aussi des redondances et peu d'enjeux dramatiques.
Première
par Michaël Patin
Ni fable politique queer, ni vraie coming-of-age story, c’est l’instantané d’une jeunesse dont la sexualité semble aussi libre que son rapport au monde est nonchalant. Reste la vigueur du naturel, entretenue par des acteurs impeccables, et cet arrière-goût mélancolique si particulier qu’on appellera saudade.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Le beau geste politique du film se situe ailleurs : dans le fait de capter une circulation des désirs loin de toute classification, d'étirer les scènes jusqu'à ce que l'enjeu dramatique se désagrège ou encore d'appréhender les inégalités sociales comme une donne qui interfère dans les rapports éphémères entre les individus.
L'Humanité
Une (nouvelle) bonne surprise brésilienne, qui célèbre sur un mode bon enfant et entraînant les vertus de l’empathie.
L'Obs
L'intime et le social sont au cœur d'un scénario et d'une mise en scène qui, à l'image du héros, sont sans tabous. Ils captent, derrière l'ivresse fébrile de ce corps électrique et sexué, la tristesse d'amours déjà perdues et l'inquiétude d'un futur incertain.
Cahiers du Cinéma
L’aspect apaisé du film empêche le réalisateur d’approfondir le regard sur les contradictions et les tensions sociales que cette mixité sociale peut représenter. Comme si, en voulant à tout prix mettre l’accent sur la normalité, presque la banalité, de l’homosexualité dans le monde de l’usine, il neutralisait le potentiel dramatique, et politique, du film.
Les Inrockuptibles
L’essentiel reste la richesse humaine de ce film quasi musical aux multiples seconds rôles. Rien n’est laissé au hasard par le cinéaste, qui parvient à suggérer un sentiment pas si évident qu’il y paraît : l’impression de naturel.
Ouest France
La tonalité mélancolique et le naturel des acteurs sauvent l'ensemble de l'anecdote.
Transfuge
"Corpo Eletrico", et c’est le grand paradoxe, et aussi la grande réussite du premier long de Marcelo Caetano, c’est la chronique d’une solitude sans tragédie. D’un détachement qui n’a rien de dramatique.
Télérama
On se croirait, par moments, dans une version courte et humble de Mektoub my love, d’Abdellatif Kechiche, avec tous ces corps et ces cœurs qui s’embrasent avec un seul but : ne rien laisser échapper de la vie.
Le Journal du Dimanche
Du charme, des personnages attachants (et bien interprétés), quelques soirées pittoresques, mais aussi des redondances et peu d'enjeux dramatiques.
Première
Ni fable politique queer, ni vraie coming-of-age story, c’est l’instantané d’une jeunesse dont la sexualité semble aussi libre que son rapport au monde est nonchalant. Reste la vigueur du naturel, entretenue par des acteurs impeccables, et cet arrière-goût mélancolique si particulier qu’on appellera saudade.