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Alexandre J.
4 abonnés
4 critiques
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2,0
Publiée le 2 octobre 2017
Quel ennui ! Un film qui parle trop... pour ne rien dire ! Une héroïne dès plus agacante bien qu'interprétée par la magnifique et talentueuse Juliette Binoche
très belle affiche, très beau titre, et film nullissime, jamais je ne me suis autant ennuyée au cinéma, pour Binoche et elle seul j'ai résisté au bout de ce mortel ennui, pour arriver à une fin complètement ridicule,je n'avais rien compris au film, en fait il est comique !!! Qu'Angot fasse des livres et ne pollue pas d'autres domaines ! et vous courez voir autre chose....
Hormis tout le charme de Juliette Binoche, le film est vraiment sans intérêt. Des dialogues digne de parodies télé ou tout est dans la longueur. On s'ennuie à mourir.
Heureusement que Juliette Binoche joue dans ce film. Elle montre qu'elle est une bonne actrice. Les autres acteurs surjouent, ou en tout cas suivent une direction d'acteurs un peu lourde, qui crée des scènes un peu interminables, même si elles sont drôles à certains moments. Les hommes sont décevants et odieux dans ce film mais Gérard Depardieu nous fait rire à la fin, et même s'il n'arrive pas - comme Juliette Binoche - à totalement sauver le film, il nous récompense d'être restés jusqu'au bout. La dépression a du bon finalement. Pour finir, on ne peut pas nier qu'il y a une certaine réflexion sur la vie de couple, la recherche de l'idéal amoureux, et les déceptions amoureuses, mais cela est trop bourgeois/bohème pour être vraiment crédible et pertinent.
Une catastrophe , j'y suis allé pour Juliette. Je l'adore, elle est magnifique en quinquagénaire. Mais ce film quelle honte. Tout n'est qu'â peu près. On se moque, c'est méchant. Un parti pris province paris et bobo contre la France moyenne. Riches contre pauvres. Pas de fond, un scénario au ras des pâquerettes, ça couche à tout va. On arrive pas à se situer dans le temps. C'est d'un ridicule. Les spectateurs quittaient là salle, je suis restée en espérant, j'ai vraiment perdu mon temps.
Du bavardage qui fait du statu-quo, c'est rigolo pendant 5 minutes pour un sketch télévisuel, mais au cinéma, pendant 1h30, c'est lassant. Alors bien sûr, il y a de bonnes répliques (manquerait plus que ça), des portraits réels (et notamment peu flatteurs pour la gente masculine) et de bonnes interprétations (Juliette Binoche est épatante) mais c'est loin d'être suffisant pour en faire un bon film.
Un beau soleil intérieur, le dernier Claire Denis, est une oeuvre à la fois drôle et sensible, une quête de l'amour impossible sublimée par une Juliette Binoche exceptionnelle dont la présence irradie l'écran. Le scénario co-ecrit par Christine Angot est assez acide et cruelle, tour à tour amusant et mélancolique, cette méditation sur l'impossibilité de tomber amoureux abuse néanmoins des stéréotypes sur les classes sociales. La dernière scène avec Gérard Depardieu particulièrement savoureuse participe à la réussite d'un film à la fois grave et léger qui prouve que Claire Denis est capable de changer de registre sans perdre sa singularité.
un beau soleil intérieur peut cacher une météo maussade J’étais partie au cinéma confiante : la salle (Montélimar, pendant le festival de l'écrit à l'écran) était pleine à craquer, Juliette Binoche s’annonçait légère et lumineuse. C’était le film idéal pour finir la journée. J’aurais dû me méfier. Claire Denis voulait adapter «fragments d’un discours amoureux». Les ayant-droits refusent. En rencontrant Christine Angot, elles décident d’écrire sur leurs déboires avec les hommes. Je ne peux pas croire que toutes leurs histoires aient été aussi ratées, leurs rencontres des fiascos. J’aurais dû me méfier. Je suis sortie non pas allégée mais alourdie. Par la position de voyeur pour laquelle ce film place le spectateur. Par le mépris qui suinte de tous les dialogues. Par le nombrilisme complaisant qui m’énerve ou me fatigue. Il n’en demeure pas moins que Juliette est toujours aussi belle, qu’elle joue très bien cette artiste qui sape consciencieusement toutes ses histoires d’amour. Les personnages masculins jouent très bien leur partition. Cela n’empêche pas le sentiment, à la sortie, de gâchis qui m’aura davantage vidée qu’emplie d’un grand et beau soleil intérieur. Artiz
Un jeu d'acteurs tellement triste, tellement sans vie.. sans conviction.... Un scenario, si tant est qu'il y en ait un... assez affligeant pr un tel sujet!!!! Un grand moment de solitude dans le cinema.....
Le sujet est intéressant et correspond aux interrogations que nombre d'hommes et de femmes peuvent rencontrer... Toutefois les lenteurs sont récurrentes, Juliette Binoche est dévalorisée par des tenues vulgaires qui ne correspondent pas à son image, et le fin du film sans véritable issue
Isabelle, la cinquantaine, est perdue dans sa vie sentimentale. Elle va d'amants en amants, cherchant l'amour mais ne trouve que des déceptions. La faute à ses rencontres (faites d'indécis, de machos et de gens trop différents d'elle) mais aussi à l'incapacité de l'être humain à communiquer convenablement. Parfois drôle, quelquefois touchant, "Un beau soleil intérieur" est également agaçant, donnant souvent l'impression de tourner en rond à l'image de son personnage principal, interprétée par une Juliette Binoche tout à fait rayonnante. L'actrice donne vie à une héroïne parfois agaçante mais en même temps tellement touchante dans son désarroi. Le film, pourtant court (1h34), finit toutefois par souffrir de terribles longueurs car les longues scènes dialoguées et hésitantes (qui sont cependant très écrites) sont inégales, parfois interprétées avec talent (Nicolas Duvauchelle, Bruno Podalydès), parfois avec mystère (Gérard Depardieu) mais aussi avec une fausseté qui saute aux yeux (Xavier Beauvois, Paul Blain). Le film, bien que délicieusement porté par Juliette Binoche, donne tout de même l'impression de ne parler pour ne rien dire et n'apporte pas grand-chose si ce n'est un certain charme.
Si la quête du prince charmant peut être un rêve pour les petites filles, c'est pour Isabelle, un leitmotiv ! A plus de 50 ans, est ce bien raisonnable de croire encore aux contes de fées ? ai-je envie de dire mais, il faut bien une idée de départ pour monter un projet cinématographique.
Associée à Christine Angot -romancière sulfureuse- pour l'écriture, Claire Denis nous entraîne dans un mélo où la gent masculine n'est clairement pas montrée sous son meilleur jour. Dès lors, le chemin pour trouver l'amour promettait d'être long pour notre héroïne... Et nous mêmes !
Non seulement, il nous aura fallu endurer des personnages masculins aussi orgueilleux, suffisants et envieux les uns que les autres, mais aussi, supporter des mouvements de caméra des plus originales au plus désagréables. Un seul rayon de Soleil dans ce film dépressionnaire, le face à face solaire de notre Gégé National avec une Juliette Binoche resplendissante.
Claire Denis qui n'a jamais réalisé de film grandiose, voire mémorable, bénéficie de la bienveillance du petit milieu cinématographique parisien qui lui permet de rassembler une belle brochette d'acteurs et de bénéficier, malgré les énormes défauts de cet opus, d'un encensement quasi-général des "professionnels de la profession". On serait mort d'ennui à l'écoute des dialogues de ce film (Au secours, Christine Angot était à la manœuvre !) ou en visionnant ces scènes répétitives de galère s'il n'y avait la lumineuse présence de Juliette Binoche (qui serait géniale même dans une pub de yaourt). Les acteurs semblent laissés à eux-mêmes, déroulant des improvisations (enfin, j'espère !) dignes du café du commerce. On devine la détresse de cette belle quinqua un peu perdue au début du crépuscule de sa vie amoureuse, mais il me semble qu'on peut faire plus simple. Je ne m’appesantirai pas davantage sur l'inutile quart d'heure depardien qui en fait des tonnes.