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    Un Beau Soleil Intérieur
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    220 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2017
    Allez y pour voir Juliette Binoche. N'y allez pas pour tout le reste...sauf peut-être pour Depardieu, dans un rôle facile, au générique...si vous n'etes pas parti avant :-)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2017
    Mais quel ennui !!! Le scénario est inexistant. Les dialogues sont plats. Même l'excellent Juliette Binoche ne peut sauver ce navet. Christine Angot, si douée à critiquer et abimer les invités d'ONPC, aurait pu nous éviter cette nullité. Est-ce qu'on est légitime à critiquer autant les autres avec autant de méchanceté quand on est capable de co écrire un scénario aussi plat, ridicule. J'ai hésité à quitter la salle au bout de 20mn (quand même). L'expérience a été très pénible... Je ne vous remercie pas !!
    Alexandre Metzger
    Alexandre Metzger

    8 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2017
    Un beau film mené par la grande Binoche pour une galerie de personnages et de situations très sympathiques
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2017
    Je suis rarement allée voir un film aussi nul et je n'ai jamais vu un si mauvais jeux d'acteur sur la toile.
    On est au niveau de Plus Belle la Vie voire Hélène et les Garçons niveau jeu d'acteur.
    Il y avait de l'idée dans le sujet abordé pourtant et matière à le développer...
    J'ai cependant tenu 1h10 avant de me libérer de ce navet en sortant de la salle...
    To'o Vaega
    To'o Vaega

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 octobre 2017
    Aucun homme n'est épargné dans cet enchaînement de scènes interminables.
    Une demi-étoile pour Binoche.
    Titre, affiche et synopsis trompeur!
    Marie Christine H.
    Marie Christine H.

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    J aime le cinéma mais la je dois dire que ce film est d un ennui mortel et d un narcissisme bourgeois. Les dialogues sont fades, on tombe soit dans le melo soit dans le ridicule, Juliette Binoche n est pas du tout convainquant. Mais qu est ce qui lui a pris de tourner un tel film. Pas une seule seconde n attire le spectateur, ni ne le fait rever, ni même réfléchir.... bref surtout n allez Pas dépenser votre argent pour ce navet......
    john_john57
    john_john57

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 octobre 2017
    Un drame qui n'a rien de dramatique, une comédie qui n'a rien de drôle, une romance qui n'a rien, mais alors rien, de romantique. Une intrigue totalement artificielle; A fuir...
    Jean-Philippe T.
    Jean-Philippe T.

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2017
    Les grands talents de Juliette Binoche, Valeria Bruni-Tedeschi ou Gérard Depardieu ne réussissent pas à sauver ce film d'un ennui implacable et d'un scénario désespérant de platitude... Une apparition surréaliste de Philippe Katerine vient comme une cerise sur un gâteau dont on aurait oublié le sucre... Rien d'autre que de la déception en sortant du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 octobre 2017
    Ils s’appellent Vincent, François, Fabrice, Sylvain où Marc… Ils sont banquier, acteur de théâtre, galeriste, ex-mari ou simple quidam… Qu’importe, avec les hommes, Isabelle n’y arrive pas. Artiste peintre, divorcée, un enfant, la cinquantaine bohème, elle assure à peu près le quotidien. Pour le sexe, ça irait encore car elle est séduisante, assez directe et plaît aux hommes. Mais pour l’amour durable rien à faire. Elle n’est que dans les aventures jetables. S’accroche à l’inaccessible amour, comme un noyé à une bouée.
    Les rencontres se glissent, Isabelle patine. Au bal des prétendants, elle reste la reine du sabordage. Comme handicapée des sentiments, elle vit une succession « d’agonies amoureuses ». Tous ces échecs sont encadrés par deux magnifiques rencontres, censées être de bon sens. Le malicieux Philippe Catherine qui la prévient au début : « on veut tout réussir et on ne peut pas, alors on est bien obligé de choisir ». Et Gérard Depardieu, en improbable médium, qui lui conseille finalement de rester « open » pour éviter d’être utilisée.
    Le film de Claire Denis est une comédie de mœurs assez enlevée et pleine d’humour, mais un peu volubile et répétitive. La mise en scène est très réussie, avec un beau Paris de nuit et une Creuse toujours belle de jour. Le scénario est écrit à quatre mains avec Christine Angot, et on retrouve dans les dialogues la précision, la modernité et la cruauté de l’écrivaine. Du côté des acteurs, un joli casting masculin évite le piège de la galerie de portraits. Surtout, Juliette Binoche est magnifique dans tous les registres, de la femme névrosée à l’amoureuse insatiable. Elle rayonne sur le film comme un beau soleil intérieur.
    alpha-pixel
    alpha-pixel

    28 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Surtout, ne pas se méprendre sur le sujet… Ne pas penser que Claire Denis a filmé les embarras et les tâtonnements de l’amour, comme pourraient nous le faire imaginer certaines critiques évoquant les Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes. De l’Amour dans ce film, tout au contraire, il n’y en a pas. Et on le regrette bien en tant que spectateur assoiffé d’émotions. Il n’y en a pas et c’est le problème d’Isabelle, cette belle artiste galeriste quinquagénaire superbement incarnée par Juliette Binoche. Elle est éperdument à sa recherche, mais il ne se présente pas. Dans sa quête, elle sacrifie toute sa liberté de femme, y met des trésors d’indulgence, enfile des cuissardes impossibles, mais l’Amour reste aux abonnés absents. Isabelle se prend claque sur claque, vacille, trébuche et pleure devant le vide récurrent de sa vie non dépourvue d’hommes, mais dénuée d’amour, sauf parfois avec un tout petit a. Le film aborde la difficulté que peut rencontrer une femme à trouver l’homme de sa seconde vie, et c’est là tout son intérêt. Beaucoup grâce au talent de Juliette Binoche, on sort bien sensibilisé à cette question. Un film aussi sur la déprime par la solitude urbaine. Sur une insupportable suffisance de certains milieux parisiens. Sur l’amour illusion quand il est un peu tard. Des thèmes intéressants donc… Mais cinq fois hélas...
    Hélas, le film se fragmente, passant d’un amant à l’autre sans jamais approfondir les relations, et ce malgré des flots interminables de paroles. Rohmer avait avec sobriété tellement plus de choses à dire sur la peine à aimer ! Ou encore un roman tel que « Dans le jardin de l’ogre » de Leila Slimani montre combien on peut penser plus loin sur ce sujet de l’amour tardif au féminin.
    Hélas encore, les hommes sont montrés avec un point de vue si critique et caricatural que cela frise la misandrie. Irrésolution chronique, futilité immature, nombrilisme maladif, vulgarité et bassesse, tout défile. Malgré les beauferies bien répandues, machismes et autres indélicatesses masculines, il doit être possible de trouver certains hommes réunissant quelques qualités. Isabelle n’a certes pas cette chance. À moins que la scénariste Christine Angot ne règle avec les tous hommes des comptes mal soldés avec certains. Imaginons un instant d’inverser les sexes : un homme d’âge mûr rencontrant diverses femmes, nombreuses, mais toutes infréquentables. On crierait avec juste raison à la misogynie la plus détestable.
    Hélas toujours, Juliette Binoche est parfaite. Je veux dire trop jolie, trop maquillée, trop coiffée… Défaut bien classique du cinéma français que de mettre en scène de trop beaux visages. Des acteurs si superbes que le spectateur, loin d’oublier qu’il est au cinéma, voit une vedette sapée poudrée à l’écran et pas un personnage normalement fagoté dans sa vie. Josiane Balasko aurait selon moi mieux convenu au rôle.
    Hélas aussi, les facilités de mise en scène abondent : les flous de nuit avec saxo de jazz, les slows érotisant les rencontres, les couples accoudés devant leur whisky au bar d’un hôtel classe… On a trop vu ces vieux clichés.
    Hélas enfin, le milieu artisto-bobo-luxo-nombriliste que Claire Denis a choisi de montrer est très loin du vrai monde de 99 % des vrais gens. Alors, les problèmes existentiels de ces gavés immodestes et assez méchants, ça ne sollicite pas bien l’intérêt du spectateur Lambda, en tout cas pas le mien.
    Trop d’hélas et c’est dommage, car Un beau soleil intérieur frise le beau portrait de femme, et l’émotion suscitée par Juliette B-Isabelle dans certaines scènes est bien là. Face au génial Depardieu dans la forte scène finale en particulier. Malgré tous les immenses défauts, il reste un film marquant sur la solitude irrésolue de cette femme, et on n’est pas près d’oublier son image.
    virgileblacksmann
    virgileblacksmann

    21 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Quelle rigolade ! Ce film est un musée des bras cassés : une cinquantenaire crédule comme une midinette (Juliette Binoche) n'attire à elle que des loosers du cœur, un macho, un torturé du bulbe, son pauvre ex en quête de reconquête... tous plus minables les uns que les autres. Le film ne fait pas dans la dentelle : le seul qui sortira du lot sera un provincial sans gros bagage culturel. On saisit le message, il est grossier. Cela dit (et sans doute pour les moins nombreux d'entre les spectateurs qui sont passés au-delà de la grossièreté apparente du sujet pour y trouver autre chose d'infiniment plus fin) l'important n'est pas là: l'important, c'est que cette galerie de pieds-nickelés du sexe et du sentiment, que cette pauvresse trop affamée d'amour nous montrent de façon éclatante que l'être humain est en général imbu de lui-même, à un point tel que le domaine où par excellence il devrait faire abstraction de soi pour n'être que générosité pour le(la) partenaire est celui dans lequel son orgueil, son égoïsme et sa vulgarité peuvent s’avérer les plus nocifs.
    En face de ces monstres, Juliette Binoche, parfaite en chèvre de monsieur Seguin, attendrissante et pure (et bien peu clairvoyante souvent, il faut l’avouer).
    A la toute fin, comme une énorme cerise sur ce délicieux gâteau (indigeste pour beaucoup manifestement), Depardieu Gérard, dans une scène dont il ne faut rien dire, afin que ceux qui n’en savent rien la découvrent et la savourent de bout en bout. Depardieu, merveilleux acteur, et Binoche, quoi. Quand même, si c’est pas une Actrice, ….
    Myriam S
    Myriam S

    15 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2017
    Malgré un début trés chaud , les dialogues qui se veulent réalistes mais qui nous ennuis... dommage.
    Frédéric P
    Frédéric P

    15 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    En résumé, les mecs sont des salauds et le personnage de Binoche est incorrigible et retombe sur des salauds.
    Depardieu en coach/voyant pervers est drôle.
    Cette collaboration Claire Denis / Christine Angot aboutit à quelque chose d’aigre et désenchanté.
    FrBoll
    FrBoll

    14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 octobre 2017
    Ce film est vraiment ennuyeux
    Ce n'est pas mon habitude mais j'ai bien failli quitter la salle avant la fin.
    Cela ne finit pas d'en finir...
    L_huitre
    L_huitre

    82 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2017
    Ce film vaut d'abord pour Juliette Binoche. Une actrice d'une sensibilité rare qui a une fâcheuse tendance à s'égarer dans des films d'auteurs très arides, peu ouverts au grand public. Quoi qu'amoureux du cinéma dans son universalité, je n'avais pas trouvé récemment de convergence entre son cinéma et le mien. Quel plaisir donc de la retrouver ! Elle est lumineuse et sait passer du rire aux larmes avec un naturel confondant. "Un beau soleil intérieur" lui donne un bon rôle de composition, celui d'une femme seule, déboussolée, vivant mal sa solitude et désespérément en quête d'amour. Un rôle touchant qui traduit bien la détresse de nombreuses femmes célibataires ou divorcées, qui après un certain âge, peinent à trouver l'âme soeur. Ce combat au quotidien méritait bien un joli film... Hélas, la réalisatrice Claire Denis traite le sujet avec des gros sabots qui nuisent à l'équilibre du film. Si la belle Juliette est magnifique dans sa détresse et son inconstance, les personnages masculins sont des caricatures grossières, des hommes calculateurs, grossiers, immatures, égoïstes ou faibles, dominés pour la plupart par leur libido. Seul l'homme de la boîte de nuit montre un peu de hauteur de vue, mais ce n'est que parce qu'il ne parle quasiment pas. Quelle misère ! Le personnage du banquier ( un banquier, vous -dis-je, ficelle un peu facile ! ) est tellement odieux qu'on se demande ce qu'elle a pu lui trouver. C'est à vrai dire très improbable !... Sauf si le propos de la réalisatrice était de dire que la femme de cinquante ans est condamnée à ne rencontrer que la lie de la société, et donc à rester seule. Message très positif comme on voit, qui saura, sans nul doute, capter l'attention des intéressées. Aussi, Claire Denis réalise une petite pirouette finale avec l'intervention de Gérard Depardieu dans un personnage de voyant prêchant pour sa propre paroisse. Malin, même si cela n'apaise pas le caractère désespéré du propos. J'ai peur qu'une fois de plus, la géniale Juliette se soit un peu fourvoyée. Le sujet méritait un traitement plus subtil. Ne serait-ce que pour les millions de célibattantes...
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