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Sylvain P
341 abonnés
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2,0
Publiée le 1 octobre 2017
Du bavardage qui fait du statu-quo, c'est rigolo pendant 5 minutes pour un sketch télévisuel, mais au cinéma, pendant 1h30, c'est lassant. Alors bien sûr, il y a de bonnes répliques (manquerait plus que ça), des portraits réels (et notamment peu flatteurs pour la gente masculine) et de bonnes interprétations (Juliette Binoche est épatante) mais c'est loin d'être suffisant pour en faire un bon film.
parisianisme et snobisme, sont les attributs de cette chose. les états d'âme d'une bourgeoise en mal du vrai amour. le ridicule ne tue plus depuis longtemps , mais là on atteint des sommets. je t'aime, je t'aime plus, je te re-aime, etc, des non scènes, des non dialogues. et pour finir le monologue insipide et ridicule de Gérard Depardieu . C'est du grand déballage de stupidité mais ça y croit ferme. bref une belle inutilité.
Le genre de film qui pourrit le cinéma français. Une femme qui couche avec un tas de mecs y compris mariés sans savoir ce qu'elle veut, mais qu'on qualifiera de femme libre et forte pour couvrir son immaturité. les hommes ne s'en tirent pas mieux. Elle est divorcée avec une mioche mais visiblement a un temps libre infini.Le tout dans un milieu parisianiste (hallucinant comme le comportement des gens dans le smilieux parisiainistes sont stupides dans les films si c'est la réalité c'est terrifiant) avec des dialogues ridicules.
En un mot : insupportable. ce film suinte le parisianisme bourgeois de toute part, ce même parisianisme - nombriliste et vaniteux, d'une vacuité sidérale - qui fait agoniser le cinéma français depuis des décennies. Ce film est d'un ennui rarement rencontré au cinéma. C'est insupportable d'assister aux péroraisons masturbatoires de ces cinéastes parisiens déclinant vers la vieillesse et s'accrochant encore à des tentations infantiles. Un beau soleil intérieur ? Un vacuité intersidérale !
Juliette Binoche, Juliette Binoche, Juliette Binoche.......un véritable Stradivarius qui donne chair (dans toute l'acception du terme), resplendissante aussi bien dans le mal-être (souvent) que dans la plénitude (rarement), à un personnage qui cherche l'amour ou plutôt quelqu'un pour combler sa solitude. Claire Denis ne nous avait guère habituée à ce style de film très volubile, aux dialogues ciselés pourtant écrits par Christine Angot que je ne prise guère. Mais sa chronique de moeurs dépressive surprend par sa drôlerie, son côté très aérien et sa façon très charnelle de filmer ses personnages aussi sensuelle que dans "Beau travail". Un film qui paraîtra très intello mais qui s'avère être un coin de ciel gris bleu dans la filmographie de la réalisatrice.
Juliette Binoche cherche l'amour d'abord avec un banquier marié ensuite avec un acteur de théâtre puis avec son ancien mari finalement d'hommes en hommes elle souffre sans jamais être heureuse. la fin du film avec Gérard Depardieu est grandiose....quel acteur.
Quelle rigolade ! Ce film est un musée des bras cassés : une cinquantenaire crédule comme une midinette (Juliette Binoche) n'attire à elle que des loosers du cœur, un macho, un torturé du bulbe, son pauvre ex en quête de reconquête... tous plus minables les uns que les autres. Le film ne fait pas dans la dentelle : le seul qui sortira du lot sera un provincial sans gros bagage culturel. On saisit le message, il est grossier. Cela dit (et sans doute pour les moins nombreux d'entre les spectateurs qui sont passés au-delà de la grossièreté apparente du sujet pour y trouver autre chose d'infiniment plus fin) l'important n'est pas là: l'important, c'est que cette galerie de pieds-nickelés du sexe et du sentiment, que cette pauvresse trop affamée d'amour nous montrent de façon éclatante que l'être humain est en général imbu de lui-même, à un point tel que le domaine où par excellence il devrait faire abstraction de soi pour n'être que générosité pour le(la) partenaire est celui dans lequel son orgueil, son égoïsme et sa vulgarité peuvent s’avérer les plus nocifs. En face de ces monstres, Juliette Binoche, parfaite en chèvre de monsieur Seguin, attendrissante et pure (et bien peu clairvoyante souvent, il faut l’avouer). A la toute fin, comme une énorme cerise sur ce délicieux gâteau (indigeste pour beaucoup manifestement), Depardieu Gérard, dans une scène dont il ne faut rien dire, afin que ceux qui n’en savent rien la découvrent et la savourent de bout en bout. Depardieu, merveilleux acteur, et Binoche, quoi. Quand même, si c’est pas une Actrice, ….
Les mésaventures de la quinqua recherchant encore & toujours le GRAND AMOUR ! ! ! Non ce serait plutôt "Bienvenue chez les bobos" : ceux qui existent en enfilant bières sur bières puis laissent, sans vraiment compter, une liasse de billets afin de régler l'addition - ceux qui débouchent du Champagne car ils n'ont malheureusement rien d'autre dans la carrée - ceux qui se demandent à longueur de journée ce qui finalement les meut, là aujourd'hui dans leur vie d'artiste toute trépidante. Le seul qui sait à peux près où il va reste l’inénarrable enfoiré de banquier, qui lui deviendrait ainsi plus concret - physiquement parlant. On apprend aussi que les poissonneries restent hautement recommandées : lieu de rencontre idéal pour tailler la bavette (faute de boucherie....) voire même tenter un coup de drague (là c'est pour les morues des grandes profondeurs ou les vieilles Lottes qui y séjournent aussi :-) le tout dans une ambiance chaleureusement iodée. Les démêlés amoureux plus ou moins trash de la splendide Juliette Binoche finissent bien vite par lasser et le roupillon nous guettent rapidement . . . Bref on s'ennuie (pour faire poli) ferme assez vite, sur cette farce qui impacte d'abord le couillon de spectateur qui lui paie son billet plein pot Passez vite votre chemin et économisez une dizaine d'€uros pour plutôt investir malin dans 1 litre de moules & quelques frites "maison" arrosées d'une bonne bière.... puis revoir peinard en DVD 35 Rhums ou White Material !
L'ultra realisme : extremement bien vu. Des scenes savoureuses,surtout la dernière. On se reconnait. Ou pas. Binoche est divinement belle. Il aurait pu s'appeler tais-toi. Une jolie prise de tête.Utile, on espère.
Un beau navet ! Quelle perte de temps. A aucun moment j'ai compris l'intérêt du film. Les dialogues sont nuls et le jeu des acteurs pathétiques, je ne vous parle même pas du scénario. je me demande pourquoi juliette binoche vient se perdre dans ce nanard sans queue ni tête a part pour payer son électricité ?!
Présenté en ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs 2017, Un beau soleil intérieur de Claire Denis chronique les fragments de la vie sentimentale de son héroïne principale interprétée par Juliette Binoche. En reflet, la galerie de portraits masculins, rehaussée par une bande-son jazzy composée par Stuart A. Staples, expose les faiblesses du genre humain. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
Un si beau casting mais un scénario pénible et ennuyeux... Lorsqu'au générique on voit le nom de la co-scénariste.... ceci explique cela.... Quel dommage car le thème abordé peut être intéressant. Malheureusement, ça ne décolle pas, c'est long et on attend avec impatience l'épilogue tout aussi imbuvable. Bref, une perte de temps incroyable...