Le dix-septième classique d'animation des studios Disney, sorti en 1961, recèle une intrigue relativement simple mais totalement captivante. Cela est essentiellement dû à la présence du personnage de Cruella d'Enfer, une véritable méchante accompagnée de volutes de fumée nauséabonde. Son obsession pour se faire fabriquer un manteau en fourrure de chiots dalmatiens est à la fois terrifiante mais procure un vrai sentiment de satisfaction lorsqu’elle finit par échouer. Bref, un bon divertissement qui séduira autant les jeunes que les plus grands tant il évite la niaiserie et maintient le suspense.
Quelle belle histoire ! Que de beaux personnages ! Que de beaux dessins ! Oh.. j’aime ! J’aime.. j’aime ! C’est fabuleux. Absolument fabuleux. Un excellent moment devant l’écran. Les dessins sont très bien réalisés, l’histoire est prenante — j’ai versé des larmes — le personnage de Cruella D’Enfer est absolument génial et ça donne envie de la détester, j’ai énormément apprécié ce « réseau international d’entraide interanimale », ça donne du baume au cœur et c’est une thématique que je n’avais jamais vue abordée avant dans un film, c’est extrêmement bien pensé. J’ai vraiment apprécié cette histoire remplie d’amour, de mignonnerie, et de truffes glacées ! Je recommande à tous ce film d’animation extrêmement chaleureux ! C’est à voir !
Une des toutes premières animations. 1961, ça commence à faire dater, mais quand nous voyons l'évolution des animations aujourd'hui, c'est impressionnant !!! J'ai bien aimé mais ce n'est pas l'histoire qui m'aura le plus emballé.
De tous ce que j'ai vu, c'est le meilleur film Disney ! Les autres j'ai pas du tout accroché. Le film est bien réalisé pas d'effets spéciaux j'm le naturel
Une magnifique film, de mon enfance, J'ai eu la chance inouïe de grandir au sein d'un entourage absolument pas versé dans la culture populaire américaine, bien au contraire, accumulant zèle sur zèle pour s'en détourner dans certains des plus absurdes et touchants acharnements. J'imagine que c'est une grande chance aujourd'hui de découvrir un dessin animé du studio de la donzelle blanchâtre et des sept nabots avec des yeux un brin plus adultes... car, comme chacun sait, le souvenir d'un regard enfantin n'est pas le meilleur juge pour discuter de la qualité d'un film et donne parfois certaines des plus épiques conneries lors de discussions à propos de telle ou telle oeuvre animée au nom à l'indistincte renommée. Même si j'ai regardé plein fois ça reste la même note 4,5/5
Un bon Disney, dont le charme est resté intact soixante années après sa sortie... L'animation reste jolie, même si certains plans ont un peu vieillis (comme les plans larges sur la ville de Londres), mais rien de dramatique; Le scénario (inspiré du roman de Dodie Smith) est captivant; Notamment pendant la deuxième moitié du film (où les dalmatiens sont traquées par le trio de méchants); Il y a une vraie ambiance; Cette partie est réussie... Le premier quart d'heure est bon également, avec la présentation des personnages (et le chien Pongo à la narration); Ces derniers sont bien écrits et attachants (Pongo, Perdita et leurs maîtres Roger et Anita)... Le film a un petit problème de rythme au milieu, notamment quand des chiens indiquent à d'autres chiens que les bébés dalmatiens ont été volés; Cette séquence s'étire un peu; Au passage la scène du vol est assez ratée (mal écrite)... Mais il y a un problème plus gênant; C'est Cruella... Les scénaristes se sont un peu foirés sur ce personnage; En tout cas sur sa personnalité; Elle ne fait pas vraiment peur, elle n'est pas charismatique; On ne nous livre pas ses émotions; Ni le pourquoi de ses intentions; Puis ses répliques sont assez neutres; Comme le reste... Jasper et Horace, ne sont pas très bien écrits non plus... Passons. (...) Une particularité des "101 dalmatiens", c'est le peu de présence des chansons; Il y en a que deux, dont "Cruelle diablesse" (en VF) qui est assez drôle et réussie; Cela n'handicap en rien le film au contraire; Au final, il est bien, même si le coup de cœur espéré avant le visionnage, ne s'est pas produit hélas.
Un Disney que j'ai pu regarder en boucle petit. Un classique drôle avec des personnages emblématiques comme Cruela. Il a vieilli mais se regarde toujours avec plaisir.
Les 101 Dalmatiens. Une Oeuvre Légendaire ! si on aime le funk et la soul. Par contre, le film est lent, et dès que Cruella, entre en jeu, on voit un mélange entre Ophélie la basketteuse de Nordoutwichtr, et la princesse sirène de Esmerikaltra. elle sait gérer son budget et veut des chiens, pour qu'elle lui porte lacouture. elle n'aime pas se mettre déshabillée, et ses deux gredins, font les sacs à main à sa place, et aussi, ses factures. elle est coquettes. bonje m'enfonce... c'est un film digne des premiers walt, qui fait rire surtout quand les chiots se rebellent, et qu'on voit toutes sortes de frimoiusse de chiots, courir dans tous les sens, et le second degrés de certaines blagues causives et pour adultes. une magistrature de l'élegance, pour la crane, et l'ingéniosité visuelle, et amoureuse.
Ça m'a fait du bien de revoir ce classique Disney (dépourvu ou presque de musique). On éprouve une affection immédiate pour ces petits chiots. Cette solidiraté qu'ont les animaux pour sauver les Dalmatiens fait chaud au cœur.
Une belle histoire simple, mais qui créait de l'empathie pour nos animaux. Une animation vintage qui nous parle. La ville de Londres est bien représentée ! La seconde partie de l'animation est riche en aventures et en émotions. La grande solidarité dont les chiens font preuve nous touche.
Second grand classique, second film mettant en vedette en quasi totalité des animaux, sur celui-ci, des dalmatiens, Disney innove ici par une toute nouvelle technique d'animation faisant du film un visuel de peinture expressionniste vivante, ou visuel de B.D. ou nos évolue notre jeune couple jusqu'alors seul et menant une bien banale vie. Une rencontre provoquée par l'intrépide Pongo qui rencontrera par la même occasion, sa belle Perdita. Puis la nouvelle vilaine, de la mode cette fois, la cruauté démonstrative, obsession meurtrière pour la fourrure luxuriante, Cruella d'enfer en diable Prada, bourgeoise extrême très bien penser mais ne prêtant aucune attention à son environnement personnel. Epaulée par ses 2 complices peu débrouillards, Horace et Jasper forment le duo iconique de Disney tant il n'y en aura réellement eu qu'un seul, voir 2, à travers l'historique des films. Musicalement jazz, notre maître Roger signera la bande-son culte de chacune des scènes d'anthologie (principalement les scènes de maison), un décors d'appartement Londonien culte ou évolueront nos héros avant une aventure hivernale décapante. Autre scène mythique, l'écho canin de toute les races de Londres allant jusqu'à la vaste campagne ou la seconde partie sera menée tambour battant avec la vraie cruauté sadique de Cruella. Sa demeure, sombra et en état de siège, fait partie des décors les plus impressionnant pour un vilain Disney et offre des scène également culte ou nos ennemis secondaires en prendront pour leur grade. Les animaux secondaires restent évidement les éléments phares du films en apportant la ruralité pure et l'humour bien venue. Premier des années 60, "les 101 Dalmatiens" marquent un premier tournant artistique pour le studio, par forcément le meilleur à côté des précédents mais rempli son contrat. "Cruelle diablesse, Cruelle diablesse..."
Roger est musicien et maître du dalmatien Pongo. Ce dernier force le destin pour que Roger et Anita se rencontrent. Anita est la maîtresse du dalmatien Perdita. Cette dernière accouche de 15 chiots dont Rolly, Patch, Biscotte et Penny. Ils adorent regarder les aventures du chien Ouragan à la télévision. Cruella est une des méchante emblématiques des Disney. Ce n’est pas ma préférée parce qu’elle a clairement une mine à faire peur. La cruelle diablesse kidnappe 99 chiots dalmatiens, aidée par ces idiots de Jasper et Horace, pour se créer un manteau de fourrure. Tous les animaux de la ville aident Pongo et Perdita à semer les méchants. Ce n’est pas un Disney que j’ai vu beaucoup mais il est très plaisant à regarder, surtout le moment de la course poursuite. Anita et Roger décident de devenir éleveur de dalmatiens. Ils ont de quoi faire puisqu’ils en ont 101.
LES 101 DALMATIENS (1961): Angleterre, Londres, un couple passionné de dalmatiens, une femme dont la méchanceté sera sans limite, deux bandits idiots, et quinze adorables petits chiots. Beaucoup de scènes mémorables, dont celle qui montrera cette passion débordante des petits dalmatiens pour la télé. Une société canine qui communique, s'entraide, ouvre ses portes à d'autres espèces, bien vivante et très efficace pour braver le danger. Une histoire où la monotonie n'aura pas de place, où les gags feront sourire (pas mal le décryptage assez confus du morse Toutou), un scénario facile à suivre et amusant. Ce dessin animé aux traits forts et légers est un vrai plaisir à regarder (des dessins réalisés à la main, les 9 sages étaient encore là), une animation fluide, des décors essentiellement composés d'à-plats, parfois sans colorations, en noir et blanc, un style me faisant penser au pire, mais non, bien au contraire, ça fait artisanal (Walt Disney n'aimait pas cette patte). Une grande évasion à l'intérieur de magnifiques tableaux aux paysages anglais. 2021, cette aventure à maintenant 60 ans, elle restera pour la plupart d'entre nous une belle pépite de l'animation. Un très bon moment de cinéma pour petits et grands.