Ce dix-septième classique Disney sorti en 1961 et réalisé par Clyde Geronimi, Wolfgang Reitherman et Hamilton Luske est très bon ! On est parfois déçu de revoir ce genre de film que l'on aimait tant étant plus jeune car on y voit tous les défauts que l'on ne voyait pas avant, tout simplement. Et c'est pourquoi j'ai eu un peu peur avant de le revoir mais au final, il ne m'a pas du tout déçu ! Le film est adapté du livre homonyme écrit par Dodie Smith mais ne l'ayant pas lu, je ne peux pas dire si le scénario en est fidèle ou non. Bien-sûr, nous sommes devant un Disney, l'histoire et certes originale mais malgré tout, ne va pas chercher bien loin. Nous sommes devant quelque chose d'assez cliché mais surtout de très manichéen, en gros ici, les pauvres sont gentils et les riches sont méchants, c'est presque une œuvre anti-capitaliste (étrange venant d'une entreprise aussi grosse que Disney ?). Les personnages sont aussi très clichés, notamment Cruella étant l'archétype du méchant et puis ses deux acolytes, copies conformes de Laurel et Hardy. Mais bon, chez Disney, cela ne nous dérange pas tant que ça car on apprécie tout simplement le fait d'être devant un dessin animé sympa. Les dessins sont très bons, cela me conforte d'ailleurs dans mon idée de préférer la 2D à la 3D qui est beaucoup plus jolie et beaucoup plus douce. L’animation des humains est géniale, de même que celle des chiens qui est saisissante de réalisme. Cependant, ce qui m'étonne le plus, sans pour autant me déranger, c'est le fait que le film a une absence quasi-totale de musique, ce qui fait pourtant habituellement la force d'un film des studios. Malgré tout, on se rend compte après coup qu'elle n'était pas forcément indispensable dans une histoire comme celle-ci. "Les 101 Dalmatiens" est donc un très bon Disney et fait d'ailleurs parti, en tout cas pour moi, des meilleurs du studio.
Les "101" est l'un des plus grands chefs d'oeuvre du studio, une réussite intemporelle. Dès la première scène, où Pongo regarde défiler dans la rue de jeunes femmes et leur chienne, un classique, on est emporté. Et que dire du design de Cruella d'Enfer par le maître Marc Davis dans ce qui reste sa meilleure animation (avec Maléfique dans La Belle au Bois Dormant) ? Pour tous ceux qui aiment l'univers gentil et coloré de Walt Disney, cette incontournable histoire est faite pour vous. A regarder en famille !
Le dix-septième classique d'animation des studios Disney, sorti en 1961, recèle une intrigue relativement simple mais totalement captivante. Cela est essentiellement dû à la présence du personnage de Cruella d'Enfer, une véritable méchante accompagnée de volutes de fumée nauséabonde. Son obsession pour se faire fabriquer un manteau en fourrure de chiots dalmatiens est à la fois terrifiante mais procure un vrai sentiment de satisfaction lorsqu’elle finit par échouer. Bref, un bon divertissement qui séduira autant les jeunes que les plus grands tant il évite la niaiserie et maintient le suspense.
Roger, Anita, Pongo, Perdita, Lucky, Cruella d'Enfer... des personnages superstars, inoubliables et cultes de Disney depuis 1961 et qui le resteront éternellement. Les dessins ont conservé leur charme inlassable, l'histoire reste toujours aussi passionnante, Cruella toujours aussi charismatique et les célèbres 99 chiots restent et resteront les plus attachants du monde de l'animation. Un oeuvre majeure de Disney qui traversent les décennies avec une puissance identique et inépuisable. Sans oublier évidemment cette mémorable bande sonore, qui fait assurément partie des meilleures de l'empire Disney.
Après un début un peu lent, le film finit par trouver son rythme avec l'arrivée de la méchante Cruella D'Enfer et le kidnapping des chiots. Le graphisme a un peu vieilli mais possède un très grand charme et chaque personnage est haut en couleurs. Divertissant.
Les 101 Dalmatiens est un film très attachant de la part de Walt Disney. L'histoire est un peu limitée mais est compensée par ses personnages. Les chiots dalmatiens sont des héros particulièrement attachants. Le personnage de Cruella d'Enfer est une méchante haut en couleur et particulièrement fantasque (avec son plan particulièrement machiavélique consistant à enlever le plus de chiots dalmatiens pour les tuer, les dépecer et en faire un manteau de fourrure). Les gags marchent très bien auprès des enfants (sans doute un peu moins auprès d'un public adulte, même si le résultant n'est pas forcément lassant). L'animation est très jolie, un peu vieillotte certes dans le style 2D classique que l'on connaît de Disney jusqu'aux années 2000. Le film fait tout de même partie des 1ères productions des studios Disney (il s'agit du 17e classique d'animation et le film date des années 60). Le doublage en version française est plutôt irréprochable. C'est pas mal comme Disney. Si je devais en retenir un, ce ne serait pas celui-ci mais il fait tout de même partie de la bonne phase des studios de Mickey.
Superbe animation, musique formidable, personnages attachants, de l'humour, de l'aventure, que demander de plus? Les 101 Dalmatiens sont un excellent film d'animation, probablement l'un des plus réussis des studios Disney. Une petite merveille.
Ce 17ème «Classique d'animation» des studios Disney bénéficie d'une histoire un peut trop simple, limité, qui manque d'enjeu, d'émotions notamment de tendresse ainsi que de scènes et de chansons marquantes. Malgré cela le dessin fourmille toujours autant de détails et c'est très jolie. Les animaux sont mignons et les personnages sont réussis que ce soit le capitaine, le sergent Tibs ou les méchants comme Jasper, Horace ou Cruella qui est un personnage très charismatique qui aura marqué son époque. Ils arrivent à faire sourire assez souvent mais pas à nous touché. Les 101 Dalmatiens n'est pas le meilleur Disney mais sauras ravir les enfants, un peut moins les adultes.
Second grand classique, second film mettant en vedette en quasi totalité des animaux, sur celui-ci, des dalmatiens, Disney innove ici par une toute nouvelle technique d'animation faisant du film un visuel de peinture expressionniste vivante, ou visuel de B.D. ou nos évolue notre jeune couple jusqu'alors seul et menant une bien banale vie. Une rencontre provoquée par l'intrépide Pongo qui rencontrera par la même occasion, sa belle Perdita. Puis la nouvelle vilaine, de la mode cette fois, la cruauté démonstrative, obsession meurtrière pour la fourrure luxuriante, Cruella d'enfer en diable Prada, bourgeoise extrême très bien penser mais ne prêtant aucune attention à son environnement personnel. Epaulée par ses 2 complices peu débrouillards, Horace et Jasper forment le duo iconique de Disney tant il n'y en aura réellement eu qu'un seul, voir 2, à travers l'historique des films. Musicalement jazz, notre maître Roger signera la bande-son culte de chacune des scènes d'anthologie (principalement les scènes de maison), un décors d'appartement Londonien culte ou évolueront nos héros avant une aventure hivernale décapante. Autre scène mythique, l'écho canin de toute les races de Londres allant jusqu'à la vaste campagne ou la seconde partie sera menée tambour battant avec la vraie cruauté sadique de Cruella. Sa demeure, sombra et en état de siège, fait partie des décors les plus impressionnant pour un vilain Disney et offre des scène également culte ou nos ennemis secondaires en prendront pour leur grade. Les animaux secondaires restent évidement les éléments phares du films en apportant la ruralité pure et l'humour bien venue. Premier des années 60, "les 101 Dalmatiens" marquent un premier tournant artistique pour le studio, par forcément le meilleur à côté des précédents mais rempli son contrat. "Cruelle diablesse, Cruelle diablesse..."
Une histoire de chiens franchement mignonne ! La force de ce dessin-animé est clairement son histoire, ses personnages, et son animation. Devenu mythique, le dessin-animé nous transporte dans un univers franchement beau, mignon à souhait, où les enjeux au final lourd de sens, nous amènent à suivre avec grand intérêt les péripéties. Une jolie histoire de chiens estampillée Disney.
Voilà un film vraiment mignon sur toute une clique de dalmatiens menacés par une méchante et riche femme, Cruella. Celle-ci veut capturer les bébés chiens afin de se confectionner des manteaux de fourrure et n'a aucune sensibilité à l'égard des animaux. C'est un sujet intéressant et l'enlèvement des animaux est un thème qui sera repris dans Les Aristochats. La vilaine Cruella d'Enfer constitue sûrement l'un des plus gros méchants de toute l'histoire de Disney, elle a marqué les esprits par sa folie et son statut de monstre. Le film a demandé énormément de boulot (trois ans et 750 dessinateurs) et nous présente un couple de chiens, Pongo et Perdita, incroyablement humanisés face à la perte de leur progéniture. Un film qui a grandement popularisé les dalmatiens aux yeux public.