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Benito G
677 abonnés
3 162 critiques
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2,5
Publiée le 24 avril 2013
Là ou maintenant, tout les petits ne connaissent que les derniers nés. Pour une prof datant des années 60, celui ci est d'un bon niveau. Avec une histoire bien plus prenante qu'a l'accoutumée chez Walt Disney. Et ou les dessins se montrent plus accrocheurs (pour maintenant non, mais pour l'époque ; c''est t'une réussite ou l'on constate que le visuel est deja bien avancé). LEs chansons qui quant à eux, lassent un brin le public (peut être faute d'être un peu trop nombreuse ou tout simplement pas assez prenante, touchante... Cela reste donc purement enfantin, mais on se laisse embarquer facilement par cette histoire et même les remakes sont le reflet de la version original qui tapé dans le mille pour le temps de sa sortie.
Il est difficile de ne pas trouver ces boules de poils adorables. Cependant, l'intrigue est un peu creuse et le film un peu court pour que l'on puisse s'attacher à tous les personnages. Il y avait, notamment, la possibilité de faire beaucoup mieux avec la méchante et ses acolytes, souvent trop cartoonesques.
Bien que d'une ambition modeste (en témoigne le design très particulier du film et le peu de travail sur les personnages vu leur multiplicité), les 101 Dalmatiens parvient néanmoins à tenir la dragée haute parmi les Classiques Disney grâce à sa science du rythme qui fait rebondir l'histoire fort à propos, et la malignité des séquences où les animaux en remontrent aux humains. Pétri de bons sentiments, le film demeure un spectacle familial réjouissant.
Un dessin animé culte. On y suit l'histoire de ces chiens, sans temps morts. Avec une méchante réputée de nos jours. La morale n'est pas importante. Mais ce qui est bien, c'est qu'on est très loin des Disney classique de l'époque. Pas trop de nievrerie avec des histoires d'amours qui dégoulinent. Pas trop de chansons. On est bien !
Bijou du cinéma d'animation traditionnel, les 101 Dalmatiens est l'équivalent des aristochats en version "canine". Si l'animation couleurs pastel des années 60 a terriblement mal vieillit, le film s'en sort grâce à un humour so british, et à ses parodies des western.
On dit que la réussite d'un film dépend beaucoup de celle du méchant. Si l'on en juge par le personnage de Cruella d'Enfer, celui-ci est très réussi. Et puis ses affidés sont tellement ridicules ! Enfin, les petits chiots sont si mignons et rigolos...
Encore un classique reconnu de Walt Disney animation!"Les 101 dalmatiens"(1961)est un gentil conte canin,qui marquait une évolution dans la manière de dessiner:de la peinture à la xérographie pour un résultat crayonné.Si les chansons sont pratiquement absentes(excepté Cruelle sorcière,chantonnée par Roger),le dessin animé se lâche au niveau des insultes(gentilles,c'est entendu)et surtout bénéficie avec Cruelle d'enfer d'une incroyable méchante.Sorte de grande perche qui cocotte et fume sans arrêt,se déplaçant dans sa limousine panther et voulant tuer de pauvres petits dalmatiens pour se faire un immense manteau de fourrure.Quand on y pense,c'est révoltant.Heureusement,Pongo,Perdi et les 99 petits chiots ont plus d'un tour dans leur sac,et un incroyable instinct de survie.Les paysages des banlieues londiennes des années 50 sont recréees et la neige tombante en fait un divertissement privilégié pour les fêtes de fin d'année.La longue séquence où différentes races de chiens aboient pour alerter la disparition des dalmatiens est très amusante,avec un clin d'oeil à "La belle et le clochard".L'ensemble est un peu trop gentil,en vantant les valeurs de la famille nombreuse,mais ces chiens sont si craquants qu'on est quand même enchantés.
Enfin une mouture Disney qui est esthétiquement impeccable, à l'intrigue mature et aux personnages attachants sans avoir recours aux chansons culculs (gros atout, pour ma part). Cruella est effrayante à souhaits (elle apparaît dans une terrible scène d'orage qui fait frémir après l'attendrissement de l'accouchement des dalmatiens), et Horace et Casper sont deux nigauds qui font beaucoup rire par leur maladresse. Depuis que le film a marqué toute une génération d'enfants devenus adultes aujourd'hui, tous les dalmatiens s'appellent Pongo et Perdita, assez peu commode mais drôle lorsque les maîtres rappellent leur chien au parc. Les maîtres du film sont absolument charmants et forment un couple loin de la niaiserie disneyienne, étonnamment mature. L'animation est fluide et personnellement les défauts de dessins laissés sur la pellicule me rendent le film encore plus beau. Pas de héros qui va sauver la belle demoiselle en détresse, ici on nous offre un couple de parents et de parfaits inconnus qui s'entraident pour sauver des enfants qui sont les leurs...ou pas. Et les adoptent sans condition. Et les maîtres aussi. Bref, ça fait chaud au cœur, et on en a bien besoin. Le dessin animé de Noël qui ravira toute la famille, avec sa tendresse, ses gags et ses frissons, et son esthétique délicieuse.
Une des toutes premières animations. 1961, ça commence à faire dater, mais quand nous voyons l'évolution des animations aujourd'hui, c'est impressionnant !!! J'ai bien aimé mais ce n'est pas l'histoire qui m'aura le plus emballé.
Tendre, drôle, passionné! Un très bon Disney qui ne s'étire pas en longueur et qui se concentre sur l'émotion du long métrage! Un Disney qui plait forcément autant aux grands qui s'y reconnaissent qu'au petit qui admire la bravoure de ces actes! L'animation main est fluide et sans le moindre problème!
On ne peut avoir que de l’empathie pour ces adorables chiens blanc et point noir et de leurs sympathiques congénères, une heureuse solidarité animalière. 50 au compteur s’élèvera jusqu’à 101 nième chiots dans cette histoire d’aventure canine où s’inséra l’intrigue Cruella d’enfer. L’échappée belle de sa prison manoir désenchantée gardés par ses deux sbires malfrats pour en faire un vile dessein. La transformation en fourrure dalmatienne, un objectif contrecarrer, une apparition plaisante du congénère disponible depuis « la belle et le clochard ». Un soutien d’appel à l’aboiement au clair de la lune et le bon dessin animé griffonné qui aime nous faire de doux rêves canins, l’enfant est un adulte maintenant.
Exactement la même trame que les Aristochats (enlèvement, solidarité des animaux dans la recherche, et périple du retour maison) avec Cruella en plus. Bon Disney, sans surprises, avec des longueurs, et qui s'en sort grâce au charme de son graphisme à l'ancienne.
Adaptation du roman de Dodie Smith : « The One Hundred and One Dalmatians » paru en 1956, Les 101 Dalmatiens (1961) est le 17ème long-métrage d’animation des studios Disney, avec cette fois-ci,, un changement de taille dans l’utilisation de l’animation, puisque cette fois-ci, le procédé de la Xérographie est principalement utilisé (il s’agit de photocopies de dessins sur des cellulos, offrant ainsi un aspect crayonné). Le procédé étant moins chère, la qualité n’en reste pas moins tout aussi réussie et l’histoire quant à elle, passionne du début à la fin ! Ce film se permet aussi quelques clins d’œil à quelques œuvres antérieures de Disney comme La Belle et le Clochard (1955) où l’on retrouve quelques chiens du film dans la vitrine d'une animalerie et Bambi (1942) pour la séquence sur le lac gelé. Signalons enfin le remake éponyme en prises de vues réelles en 1997 (toujours par Disney) et sa suite, intitulée 102 dalmatiens (2001).