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    Les 101 Dalmatiens
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    3,9
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    184 critiques spectateurs

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    Fan2contes
    Fan2contes

    66 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2013
    Un bon disney dans l'ensemble mais qui est un peu trop avare en chansons. Il n'y en a que deux ( et encore, la deuxième que l'on entend à la fin est vraiment très courte). C'est dommage. Ca reste quand même un bon disney, distrayant, et qui mértite de faire partie des classiques de disney. Allez, je le mets en seizième position dans mon classement Disney.
    mx13
    mx13

    249 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2018
    un des meilleurs Disney que je regardais en permanence étant petit splendide graphisme dont l'ancienneté met en avant la beauté. Je le déconseille aux moins de 3 ans. 4/5
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    32 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 décembre 2012
    Alors je vais vous dire : moi, les classiques de Mr Walt, ils ont bercés mon enfance et je suis plutôt fier d'avoir reçu cette première « éducation cinématographique » des vieux Disney. Les 101, je les ais vus au moins vingt fois, et ce parce que j'adorais, je me régalais de ce périple dans la neige et de cette ambiance graphique londonienne, et bien sûr pour Cruella d'Enfer. Après cette redécouverte grâce à la sortie blu ray (cela dois bien faire une douzaines d'années que je ne l'ai pas approché du bout des doigts), je trouve cela très amusant, car j'aime ce dessin animé toujours autant et pour les même raisons. C'est d'autant plus croustillant de constater, avec le recul que j'ai aujourd'hui, que ces deux points préfigurent déjà un futur petit fan de Burton en puissance. Les 101 constituent un film charnière sur le destin du fabuleux studio Disney, un tournant esthétique qui déplut au grand manitou de la firme dans un premier temps. L'utilisation d'un nouveau procédé, la xérographie, basé sur l'utilisation de photocopieuses afin d'éviter le travail démentiel qui consistait en la reproduction de toutes les tâches de chaque dalmatien, brisait déjà le côté très artisanal des films de Disney. Il faut ajouter à cela un coup de crayon extrêmement versé dans un style précis, qui donne un aspect de croquis quasi caricatural aux décors, et une personnalité très différente des anciens chef d’œuvres. Ce qui en aucun cas ne signifie une chute libre de la qualité des 101, il s'agit d'une réaffirmation, d'un renouveau mené avec un talent inégalable, sans lequel la société aurait peut-être pu glisser lentement vers une série de films répétitifs pour achever de s'essouffler complètement une dizaine voire une vingtaine d'années plus tard. De quoi me plaire au plus haut point (la prise de risque au niveau artistique). Dès le générique très british, je plonge dans cette œuvre qui me captive à chaque plan, pour ne la lâcher que le lendemain voire le surlendemain, la musique me trottant sans cesse dans la tête et l'air de Cruella ne me lâchant pas avant une bonne semaine. La narration, d'abord à travers Pongo pour le démarrage de l'intrigue, puis à travers les fantastiques tableaux que nous offre l'Angleterre contemporaine, est d'une efficacité redoutable, le rythme est si maîtrisé qu'on décèle à peine le changement par rapport aux productions d'aujourd'hui, pourtant beaucoup plus rapide. Que ce soit la ville grise aux angles tranchants et difformes, les campagnes désertes et brumeuses, le visuel enchante et enveloppe le spectateur de toute parts. L'arrivée de l'hiver marque un tournant dans le récit qui se fait alors plus dramatique et éprouvant, tout en restant adorable. En effet les 101 dalmatiens n'est pas si drôle, les touches d'humour sont légères et parsèment élégamment l'ensemble du long métrage, au final on rit plus parce qu'on est attendrit que pour les gags (même si la parodie du colonel en vieux chien est à se tordre). Le final tourne carrément en film d'aventure avec une poursuite délirante, qui se termine en atteignant une intensité fulgurante en osant pousser excessivement la transfiguration de son méchant bien plus loin que les autres Disney ne l'avaient fait auparavant. Diablement excitant, émouvant et empli d'un charme unique, les 101 dalmatiens est un chef d’œuvre que je range directement parmi de mes 20 dessins animés préférés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    Regardé alors que j'étais enfant ce film est très sympathique et très rocambolesque nimbé de quelques touches d'humour. Un classique !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 août 2010
    Un bon dessin animé comme Walt Disney sait les faires.
    J31frites
    J31frites

    10 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2023
    Les 101 dalmatiens", sorte "d'ancetre des "aristochats", est un Disney qui peut se regarder encore pour son humour sympathique, son animation agréable pour l'époque et sa méchante culte, j'ai nommé Cruella.
    En dehors de ça, tout fait le job sans plus. Une bonne chanson "cruella devil", des personnages attachants, quelques bonnes idées.
    Beaucoup de remplissage.
    Vieilli, que ce soit dans l'animation dont l'arrière plan ne bouge pas, les dialogues un peu débiles, naïfs, simplifiés, enfantins (à part en ce qui concerne les motivations de Cruella spoiler: qui veut quand même écorcher 101 chiots tout mignons pour faire un manteau de fourrure
    ) ou simplement le rythme du film qui finalement ne raconte pas grand chose pour 1h30.
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    57 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2010
    Très très sympa, bon divertissement, quelle nouveauté pour l'époque !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 mars 2011
    Les 101 dalmatiens est un bon Disney. Pas de grandes lignes directives moralisatrices, mais une histoire douillette pour un enfant à chérir.
    Redzing
    Redzing

    1 147 abonnés 4 497 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    "101 Dalmatians", c'est du Disney gentillet destiné principalement aux chères têtes blondes. Le scénario est très simpliste, et les personnages limités à un seul trait de caractère : les deux chiens veulent protéger leurs enfants, Cruella est très méchante, le maître déteste Cruella... et sa femme est transparente ! Les personnages les plus développés sont en fait Jasper et Horace, les voyous et apprentis taxidermistes ! L'animation n'a pas toujours bien vieilli, mais soyons honnêtes, quelques images marqueront les plus jeunes, qui apprécieront sans doute les chiens mignons et leurs déambulations. Pas grand chose à se mettre sous la canine donc, toutefois ceux qui goûtent peu aux films musicaux seront soulagés : on n'y trouve que deux chansons...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Le film est en quelque sorte un premier jet des aristochats. L'enlèvement, la musique, les animaux sauveteurs.
    En vérité trop de personnages secondaires, une action finalement serrée sur la quête des petits et une naïveté un peu désuète aujourd'hui
    Le début est une longue introduction seulement.
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2017
    Le film a ce charme vintage des vieux Disney, une mignonne histoire qui crée facilement l'empathie et, surtout, une méchante particulièrement charismatique qui, pour la première fois sans doute, vole la vedette aux héros.
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2020
    Classique de Disney incontournable, encore à l'ancienne avec les jolis dessins plein de couleur et de charme. On suit avec plaisir les péripéties de cette grande ribambelle de chiots. Attention ce film contient des mignonneries !
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2019
    « Les 101 dalmatiens » est une oeuvre majeure produite par Disney, déjà convaincu de son potentiel pour la mise en images de chiens, « La belle et le clochard » n'est pas loin... Nous suivons donc les aventures de Pongo, le dalmatien principal et narrateur de l'histoire, ne pas confondre avec l'ours Bongo, autre personnage culte de Disney qui sera mis en images également dans un des nombreux classiques, le décevant « Coquin de printemps ». Pongo en a assez du célibat de son maître, Roger, et organise ainsi sa rencontre culte avec la ravissante Anita, propriétaire de Perdita, future conquête de Pongo et mère de ses bébés chiots.
    Comme pour beaucoup de classiques Disney de l'époque, nous retrouvons le cadre charmant de Londres dessiné avec passion ! Nous sommes en 1961 et nous assistons à un grand renouveau d'animation : la xérographie qui permettra de mettre en images un nombre très important de chiots lors de certaines séquences ! C'est aussi la création d'un personnage méchant mythique : Cruella d'Enfer qui souhaite tuer les dalmatiens pour s'en faire un manteau de fourrure ! Il n'y a qu'à en regarder le dessin pour en comprendre l'ingéniosité, enfant je ne remarquais pas la difformité des joues de ce personnage singeant une chirurgie esthétique foireuse qui va de pair avec sa passion pour les fourrures ! Un personnage caricatural qui mettra tous les autres dans l'ombre s'attribuant presque le monopole du succès de l'oeuvre. Qui de mieux que Glenn Close pour interpréter ce mythe dans la version film...
    Cette version de 1996 bien que servie par une distribution intéressante n'ajoute rien au classique animé des années 60, au contraire, beaucoup de séquences ne fonctionnent pas et le rythme en prend un coup. Rien ne vaut l'original que j'ai revisionné récemment ! Lors de cette (re)vision tout est revenu avec la même force que celle d'antan, je me suis souvenu de chaque séquence culte avant que celle-ci ne me soit remontrée : celle où Pongo analyse les femmes et les chiennes qui passent dans la rue (les chiens ressemblant systématiquement aux maîtres), la rencontre dans le parc (dans le lac), l'accouchement de Perdita où Roger est tout aussi stressé que Pongo, l'effacement des traces de pattes dans la neige lors de la poursuite finale, le lait des vaches nourrissant les 101 dalmatiens. En réalité je pourrais citer toutes les séquences tant nous allons de surprise en surprise.
    chatiment
    chatiment

    15 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2016
    un très bon disney, une histoire que j'apprécie beaucoup....un bon graphisme, une cruella au top....un bon divertissement
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Les "101 dalmatiens" sorti sur les écrans en 1961 marque une étape charnière dans l'histoire des studios Disney. Walt Disney, le père fondateur, se passionne depuis le début des années 50 pour l'ouverture de son premier parc d'attractions (Disneyland ouvert le 17 juillet 1955) qui outre lui avoir apporté une diversification de son activité, lui génère des revenus réguliers importants. Le désastre financier et critique de "La belle au bois dormant" (le film d'animation le plus coûteux jamais réalisé à l'époque) sorti en 1959 le détache encore un peu plus de l'implication directe dans les projets d'animation. "Les 101 dalmatiens" qui sera le 17ème classique d'animation des studios marque donc une rupture radicale de ton et surtout d'esthétique avec "La belle au bois dormant" auquel on avait reproché de trop rechercher une perfection plastique jugée trop froide et réaliste, gommant l'aspect féérique et enfantin qui était jusqu'alors la marque de fabrique des productions Disney. C'est donc le fidèle scénariste Bill Peet qui prend en charge le projet de cette adaptation d'un roman pour enfants de Doodie Smith. Le style visuel qui marquera la décennie 60 avec "Merlin l'enchanteur", "Le livre de la jungle", "Les aristochats" ou "Robin des bois" est donc inauguré de brillante manière avec cette histoire de kidnapping qui a quelques analogies narratives avec "La belle et le clochard", une des plus belles réussites de Disney. C'est le retour en force des animaux de compagnie qui est ici célébré avec pas moins de 99 petits dalmatiens animés à moindre coût grâce à la xérographie, technique mise au point par les studios, permettant la duplication directe par photocopie des dessins sur la pellicule procurant un précieux gain de temps et d'argent. Les personnages humains sont désormais moins réalistes et les décors en aplat mis en valeur par un jeu très subtil sur les couleurs. Tout était donc réuni pour surprendre les spectateurs petits et grands. Le succès fut au rendez-vous. On est en effet transporté sans effort dans ce Londres contemporain où le chien Pongo, narrateur de l'histoire, en mal d'une compagne de sa race décide de secouer son maitre célibataire endurci, absorbé par sa vocation d'écrivain. Une fois la jonction opérée grâce à la ruse de Pongo avec une jolie dalmatienne et sa maitresse, on suit avec plaisir le parallélisme des couples. L'étape naturelle suivante qui est celle de la parenté amène quinze petits chiots dans le foyer. Assez pour attirer la méchante ""Cruella d'enfer" qui rêve de se faire un manteau tacheté de noir et de blanc. Cruella, visuellement inspirée de l'actrice Tallulah Bankhead, qui apparait assez peu et dont le contour psychologie est relatviement sommaire, s'impose d'emblée comme une des méchantes les plus emblématiques de la longue liste des classiques Disney. Elle sera reprise et développée sous un autre nom dans "Les aventures de Bernard et Bianca" mais elle sera surtout personnifiée avec talent par Glenn Close en 1996 dans le film de Stephen Herek qui prolonge la légende avec des acteurs en chair et en os. L'enlèvement des petits et leur sauvetage par la confrérie des chiens est dans la plus pure tradition du savoir-faire des studios Disney, laissant la part belle à l'anthropomorphisme qui souvent décrié reste quoiqu'on en dise l'attrait principal du dessin animé. Un retour aux sources salutaire qui nous ravit encore aujourd'hui.
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