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Chris46
517 abonnés
978 critiques
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3,0
Publiée le 18 juillet 2016
" New York 1997 " bon film de John Carpenter . L'histoire se déroule en 1997 ou Manhathan est devenu une immense île-prison ou sont retenus 3 millions de détenus organisés en bande rivales . A la suite d'un attentat l'avion du président des États Unis ( Donald Pleasence ) se crashe en plein milieu de cette gigantesque prison qu'est devenu Manhathan . Le chargé de la sécurité Bob Hank (Lee Van Cleef ) décide d'envoyer un prisonnier nommer Snake Plissken ( Kurt Russell ) pour le récupérer . Lâché à l'intérieur de la prison Snake va devoir se frayer un chemin en évitants les loubards et les cannibales qui peuplent Manhattan pour trouver et ramener le président ... " New York 1997 " est un film de science fiction culte des années 80 signé par Jonh Carpenter ( Halloween , Christine , The thing , Fog ... ) . Le film est globalement pas mal même si il n'est pas dénuer de défauts . L'histoire bien que basique est efficace , plutot originale et prenante celle d'un prisonnier qui va devoir aller sauver le president des États Unis perdu au milieu de New York devenu une prison gigantesque remplit de millions de prisonniers dégénérer et sa va être explosif ce qui va donner lieu à son lot de suspense et de bonnes scènes d'actions ( la course poursuite sur le pont , le combat sur le ring ...) . Jonh Carpenter à mis en scène avec ce Manhathan en ruine devenu une gigantesque prison un univers apocalyptique génial où on s'évade avec grand plaisir . Le film dont l'action se déroule pratiquement que de nuit contient une ambiance nocturne et apocalyptique excellente . Les décors qui donnent vie à Manhathan devenu une gigantesque prison sont vraiment réussit surtout que le budget du film est trés modeste . La musique est excellente et accentue l'ambiance effrayante et apocalyptique du film. Le problème de ce film c'est qu'il met un peu de temps à vraiment décoller . Il faut vraiment attendre la dernière demi heure pour que sa bouge vraiment . Avant ça le rythme est assez lent et on n'attend que sa bouge réellement bien qu'on reste captiver par l'intrigue et par l'ambiance et l'univers apocalyptique du film . Et le film a quand même pris un sacré coup de vieux par moment . Bon malgré tout on passe un bon moment . Le film est porter par un très bon casting avec à sa tête Kurt Russell excellent et très charismatique dans le rôle du cultissime Snake ce prisonnier qui va devoir se démener pour aller sauver le président des États Unis bien interpréter par Donald Pleasence ( on ne vit que deux fois , Halloween ... ) . Son look badass est excellent et définitivement culte . Kurt Russell fut révéller avec ce film . Le reste du casting est également très bon avec entre autre Lee Van Cleef ( le bon la brute et le truand , et pour quelques dollars de plus ... ) dans le rôle de Bob Hank le chargé de la sécurité qui va envoyer Kurt Russell sauver le président . Sans oublier Ernest Borgnire ( l'aventure du Poseidon ...) dans le rôle d'un chauffeur de taxi qui va apporter son aide à Kurt Russell pour sauver le président . Un bon film Sf des années 80 à voir et à revoir .
New York 1997 est une dystopie qui nous plonge dans une vaste prison très punk et peuplée de dégénérés en tous genres, aux côtés d'un baroudeur, un vrai. Et pour cause, "Snake" Plissken est un vétéran musclé, borgne et qui se trimbale un peu partout en Marcel. Véritable deus ex machina ambulant et au cache-œil cintré, son arrivée dans la prison à ciel ouvert coïncide exactement avec le crash d'Air Force One dans cette même prison. Il s'agira donc pour notre héros de tirer le président des États-Unis des griffes crasseuses d'une bande de va-nu-pieds assoiffés de sang et de liberté, pour qui les tours croulantes de Manhattan ne suffisent plus comme cour de récréation. L'ambiance est sympa mais c'est bien tout, le scénario n'est pas abouti, hormis la fin qui réserve quelques surprises, et les différents personnages sont peu travaillés. C'est dommage car il y avait matière à réaliser un bon film dans ce décor apocalyptique.
" Escape From New York " est un chef-d’œuvre époustouflant dans lequel, un criminel doit sauver le président des États Unis , prisonnier dans un Manhattan apocalyptique et in-carcéral. John Carpenter est un mythe . Le plus grand réalisateur du cinéma fantastique et du film d'horreur américain. Le film est génial. Parfaite maitrise de la réalisation , sublime travail de l'image et un scènario d'enfer avec des personnages originaux. Un film de science-fiction redoutablement efficace servi par l'interprétation de Kurt Russell , impressionnant dans le rôle principal. Du Carpenter à l'état pure.
Sorti en 1981, réalisé par le pape du cinéma fantastique, ce film est une vision apocalyptique de la société, New york transformée en prison géante dont les occupants, population décadente où se mélange gangs, zombies et marginaux dépravés en tout genre. Film d'anticipation et visionnaire, les plans aériens de Manhattan, les décors rappelant Kubrick, les effets spéciaux qui n'ont pas pris une ride. Et la scène troublante de l'avion sur le World trade center!..?? La musique signée comme toujours par Carpenter, angoissante, qui accompagne tout le film. Enfin Kurt Russel, anti-héros taiseux et nihiliste avec des seconds rôles aux "gueules charismatiques" Lee Van cleef, Dean Stanton, Isaac Hayes et Ernest Borgnine dans un rôle à contre-emploi. Un grand film du genre, à voir au moins une fois dans son existence, précurseur de nombreuses réalisations de science fiction.
Un film d'anticipation à la sauce Carpenter avec Kurt Russell dans son rôle culte de Snake Plissken, une sorte de cowboy qui refuse toute hiérarchie. Son personnage pue le charisme à des kilomètres à la ronde. Un très bon film de Science fiction aux scènes d'action correctes et au scénario accrochant. Les plans nocturnes de la ville de Manhattan sont bien occupés et dépaysent réellement. New York 1997 a beau être un film culte et aussi un film à ne pas rater, il n'empêche que le temps lui porte défaut et lui donne un sacré coup de vieux surtout lorsqu'on le revoit après tant d'années. Toujours aussi efficace et poignant.
Mon film préféré!!! Toute la maestria de John Carpenter réuni dans ce film, une ambiance bien sombre, une mise en scène cure, Kurt Russel dans son meilleur rôle en anti-héros Snake Plissken devenu depuis une icône du cinéma!!! Un film devenu culte avec les années, certes les effets visuels ont un peu vieilli mais le message qu'il fait passer 30 ans après la sortie du film reste toujours aussi fort!!! Mais qui dit Carpenter dit aussi les thèmes musicaux et celui de New York 1997 est tout simplement de la crème chantilly auditive, avec l'aide de synthétiseurs dont le réalisateur utilise pratiquement à tous ses films, la musique est reconnue comme un modèle du genre s'accordant avec style visuel de Carpenter!!! New York 1997 est un film à avoir dans DVD thèque!!! Une chef d'œuvre!!!
Avec "New York 1997" John Carpenter nous donne une vision apocalyptique d'un Manhattan transformé en prison géante où Snake Plissken (Kurt Russell), prisonnier, est envoyé par le chef du système de sécurité (Lee Van Cleef) pour sauver le président des USA s'étant crasher dans la zone. Considéré encore aujourd'hui comme culte, notamment grâce au charisme de son héros, ce film a tous de même prit un sacré coup de vieux et est au final assez simpliste dans l'intrigue, mais il s'en dégage tout de même un certain charme rétro-futuriste fort sympathique porté par une bande originale sublimissime. Cela reste un pur divertissement très 80's, on ne s'ennuie pas une seconde bien qu'on puisse avoir un peu de décalage avec le côté kitsch et caricatural des décors et costumes. A voir en toute décontraction avec un grand bol de pop corn.
Encore un film sympa et culte de l'ami Carpenter. Loin d'être le meilleur de sa filmographie, il reste cependant un divertissement de qualité même si ici il cède à l'action plus qu'à l'accoutumée. C'est donc avec réjouissance que l'on suit les aventures du malheureux Snake Plissen qui est obligé, sous peine de mourir, de secourire la fille du président. Tout au long du film il s'en prend plein dans la tête, se faisant malmener par un espèce de chasseur de primes, en la présence de Lee Van Cleef (tiens-donc !), et par des gangs de prisonniers sur l'île de Manhattan (et vas-y que je te castagne dans tous les sens). Même si le film a mal vieilli, il reste réellement agréable a suivre, avec un casting crédible (Kurt Russel trouve ici son rôle le plus célèbre), des effets spéciaux parfois un peu ratés mais souvent convaincants, un scénario pas top mais efficace et une mise en scène sans concession de Carpenter (qui a quand même été déjà plus inspiré) qui nous offre comme souvent une vision pessimiste de l'avenir. Pas mal.
Encore une fois un bon divertissement signé John Carpenter. Comme souvent dans ces vieux films, l'idée de base est assez original et vraiment bonne, on est plongé dans un futur (enfin en 1997 mais le film a été tourné en 1981), où Manhattan est une prison géante, le président est coincé la bas, et on envoie Kurt Russell pour le sauver. De quoi donner un bon film, et c'est ce qu'on a, il y a bien des défauts, malgré quelques bonnes idées scénaristique, j'ai trouvé le déroulement parfois un peu trop prévisible. Mais dans l'ensemble, ça reste captivant, avec une ambiance vraiment prenante, (bien aidé par un superbe thème musical). De plus il arrive toujours à mettre quelques réflexions sans que ce soit trop lourd pour le déroulement du récit. La mise en scène est bien faite, tout comme les rues de Manhattan. Kurt Russell est parfait, et voir Lee Van Cleef fait toujours plaisir. Un bon film, captivant.
Ce qui m’impressionne avec ce film, c’est véritablement qu’il représente un modèle d’écriture. On pose la situation très simplement, et surtout ce héros, Snake Plissken, est juste parfait. Rendez-vous compte : on ne sait rien de lui, rien sur son passé, même s’il semble être connu de tous et réputé dangereux, il parle peu, il ferme sa gueule sauf pour balancer des vannes ou des trucs cool. Et j’adore ça. Rien pour casser le charisme du personnage, c’est vraiment très fort. Le film en lui-même est un excellent divertissement, ça dure 1h30, juste ce qu’il faut, la narration est très maîtrisée et très simple. J’aime bien aussi le décor de ce New York dévasté, j’avais entendu que le film avait vieilli mais je ne trouve pas le moins du monde. Les héros badass sont éternels. Ça ne m’étonne pas que Kojima s’en soit largement inspiré pour son propre Snake. La réalisation est largement efficace, mettant en valeur Snake, épousant très bien l’action. Alors oui, ce n’est pas ce qu’il y a de plus dynamique au monde, mais c’est bien foutu (et c’est pas du George Lucas non plus, heureusement !). Vraiment, je suis impressionné par l’écriture de ce film, difficile de faire mieux finalement en termes de divertissement et de héros classe et solitaire. On n’a pas fait la même erreur que pour Ripley dans Aliens ou on l’avait transformée en mère poule. Là, c’est juste jouissif de voir Snake déambuler dans les rues de NY dévasté, ne disant rien du tout, si ce n’est « Où est le président ? ». Comme quoi, la preuve en est qu’avec pas énormément de moyens mais beaucoup d’idées et de talent d’écriture (et de réalisation tout de même) on peut faire de grandes choses. Ha et la musique me reste en tête. Je finirai en parlant de la toute fin SPOILER avec la cassette FIN SPOILER. Plus réjouissant tu meurs. Non vraiment, j’ai été conquis.
Cette parfaite série B d’anticipation est tout ce que les séries A de SF d’aujourd’hui ne sont plus : une vraie proposition de cinéma, contestataire dans son fond et d’une incroyable tenue dans sa forme, un film de cinéma pur, au pouvoir d’évocation visuel demeuré intact et au discours toujours d’actualité (les Etats-Unis transformés en Etat policier, la gestion catastrophique des problème de sécurité et l’amorce d’une dictature mondiale de la pensée unique – sans compter cette incroyable épisode d’un avion détourné par des terroristes qui le font s’écraser sur New-York…). Carpenter révèle pour la première fois une conscience politique très virulente (et légèrement anar), et confirme sa capacité à embrasser les genres avec inventivité (après le thriller urbain, le slasher – qu’il inventa avec Halloween – et le film de fantômes), en y apposant à chaque fois sa signature spécifique (une hallucinante capacité à créer une atmosphère anxiogène, à créer une inquiétante étrangeté, mais aussi à enchanter le monde – jusque-là tous ses films s’apparentent à des contes). Comme pour ses premiers opus, le jeune metteur en scène fait preuve d’un sens de l’espace (et du scope) digne des plus grands (Lang, Hitchcock) et d’une parfaite maîtrise de la dramaturgie aristotélicienne (unité de temps et de lieu). Certes, les personnages sont plus que jamais dessinés à gros traits (le héros infaillible tout en punch-line) et le cinéaste ne s’embarrasse pas de psychologie, mais c’est à la fois cohérent avec son geste (l’univers du conte, mais aussi dans ce film celui de la BD et du western), et cela n’empêche pas d’atteindre à une certaine vérité humaine (une grande noirceur domine les rapports humains et le vrai-faux happy end est très crépusculaire). Ce film est aussi l’occasion pour Carpenter d’enfin réaliser un western, où des personnages de professionnels à la Hawks sont plongés dans un univers violent et désenchanté à la Anthony Mann. On ne se lasse pas de la beauté majestueuse de ce film, qui retrouve à chaque plan la magie et la poésie du cinéma des origines.
Un film culte d'anticipation avec Kurt Russell génial dans son personnage de Snake Plissken !!! Un vrai dur à cuir !!! Par le réalisateur d'Halloween , de Christine , de l'Antre de la folie !!! L’île de Manhattan est devenue une prison et un redoutable criminel engagé par le gouvernement pour sauver le Président des Etats-Unis de l'enfer de New York City !!!
Je crois bien que je fait parti des nombreux fans de New York 1997, même si je lui reproche quelques défauts (due au manque de budget), j'en suis fan dans le vrai sens du thermes. Mais ceci ne va pas m’empêcher de commencer ma critique en citant ses quelques et principales défauts: Déjà, pour commencer, New York 1997 est un film à budget très restreints donc ce film est plus ou moins une série B (mais une bonne série B), John Carpenter, malgré ses talents de réalisateur, n'arrive pas trop à maîtriser un si petit budget pour un film d'une tel ampleur, ce qui fait que le film souffre parfois de petits soucis techniques surtout lors des scènes d'actions très fréquentes qui aurai pue paraîtres épiques, donc ce film aurait due posséder un budget plus important pour pouvoir être au sommet de son oeuvre. Passons à présent au qualités, déjà ce film possède une qualité de mise en scène et de photographie incroyable signé Carpenter, d'autre part ce film anticipe un futur paraissent proche (au mouvement de la société d'aujourd'hui), ce film sert surtout à éviter ce genre futur. Sous ses haires de film à la Rambo, New York 1997 est un film anti héroïsme spoiler: montrant un personnage qui au lieu d'aider l'état Américain va le rabaisser en montrent un personnage qui (chute final) va échanger la cassette diplomatique du président (qu'il va essayer de trouver durant tout le film avec le président) avec une autre n'ayant rien à voir et avec ceci, il trompe le gouvernement et envoie un énorme doigt d'honneur à cette horrible sociétéspoiler: . Donc pour conclure, si je suis fan de ce film c'est peut-être à cause de sa photographie ou de son personnage principale (Snake Plissken) interprété par Kurt Russell,et de ses morales anti héroïsmes, c'est vraiment un très bon divertissement et à découvrir si ce n'est pas déjà fait !
Ce film de série B est bourré de défauts: erreurs de script, ellipses, scène d'actions à la ramasse....et la liste est longue ! Seul point positif la BO.
Alors je sais que ce film date d'une autre époque mais bon, je peux pas m'empécher de penser qu'il est quand même à la limite du nanar... c'est quand même plus que moyen tout ça ! Kurt Russell joue plutôt bien son rôle de prisonnier qui doit sauver le président, mais le reste fait très très cheap. 2/5